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Freddy Krueger griffes

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Loisirs

Criminal - le jeu dont vous êtes les héros

Quatre jeunes se retrouvent seuls sur une île déserte, aux prises avec un serial killer... Aidez-les à survivre en prenant les bonnes décisions dans cette histoire dont vous pourriez bien être les héros ! Un jeu à la manière du livre dont vous êtes les héros Bienvenue dans le paysage lugubre de Criminal ! Accompagnez quatre jeunes sur une île retirée, à la recherche des grands-parents de l'un des leurs, dont ils n'ont aucune nouvelle depuis des années. Dès leur arrivée dans l'ancienne demeure familiale, un tueur apparaît dans un décor lugubre... C'est le début d'une traque infernale. Tentez d'aider les joueurs à échapper aux griffes de la mort et à s'enfuir avant qu'ils ne soient assasinés à tour de rôle ! Dans cette histoire-jeu pourun à quatre joueurs, vous allez vivre une fiction immersive interactive dans laquelle chacun de vos choix et chacune de vos décisions auront un impact significatif. Ici, pas d'aléatoire, pas de jet de dé, pas de plateau, uniquement une histoire avec 5 types de cartes qui formeront sur la table de jeu votre itinéraire avec vos doutes et vos arguments pour convaincre tous les joueurs d'aller vers une même décision. En fonction de vos choix, l'aventure de nos quatre héros se terminera plus ou moins bien et seulement 3 fins sur les 6 proposées connaîtront un bon dénouement . Tentez de tous les sauver ! Ce jeu qui va vous faire vivre un thriller aux couleurs gore contient 165 cartes dont : - 4 cartes personnages -125 cartes histoire : elles présentent les situations et les choix qui vous permettent de progresser dans votre aventure en prenant différents chemins. -30 cartes tueur, clés et traumas : au cours de votre aventure, vous pourrez choisir d'accumuler ou de vous délester de ces cartes. Certains chemins des cartes histoires ne peuvent êtresuivis que si vous avez les cartes clés correspondantes. Ainsi tout choix a des incidences sur la suite de l'histoire. 1 livret de règles du jeu une musique originale pour être plongés dans l'ambiance Ames sensibles s'abstenir - à partir de 16 ans et +

10/2022

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Littérature érotique et sentim

Dirty Devil

Il fera tout pour assouvir sa vengeance... et son désir Daria est capitaine des pom-pom girls. Miss Popularité. Celle qui fait la loi à All Saints High, celle qu'on admire et qu'on redoute. Derrière cette façade, nul ne suspecte le secret dévastateur qui la ronge, et c'est très bien comme ça. Seulement, son trône de reine du lycée menace de s'effondrer lorsque Penn revient dans sa vie... Penn est le capitaine de l'équipe de foot du lycée ennemi, celui où vont tous les rebuts de la société. Penn est sexy, rancunier, et prêt à tout pour briser Daria. Même à jouer avec le désir brûlant qui les pousse l'un vers l'autre. Depuis la tragédie provoquée par leur premier baiser, il y a quatre ans, il prépare sa vengeance. Et l'occasion rêvée de l'assouvir se présente lorsqu'il est placé en famille d'accueil... chez Daria. " Ajouter des griffes, des canines et des ongles vifs à votre vision de la romance étudiante, et vous avez All Saints High. Dans ce premier tome, Shen a construit une intrigue si originale qu'on croirait un genre entièrement nouveau. " Kennedy Ryan (Let You Love Me), autrice &H " Une vengeance à mille à l'heure, de la rivalité, de l'angoisse. Ce conte complexe et venimeux a des airs de Sexe Intentions et de Mean Girl, en plus moderne. Dirty Devil est impossible à lâcher, un coup de coeur absolu ! " Kindle Crack Book Reviews " Lecture suprême. Impossible à lâcher. J'en ai le souffle coupé. Quel suspense ! " Angie's Dreamy Reads " L. J. Shen nous offre une fois de plus une histoire puissante et pleine d'émotions, qui m'a laissée totalement accro, et en manque ! " Ratula, Bookgasms Book Blog. A propos de l'autrice L. J. Shen s'est imposée dès son tout premier roman comme une voix incontournable de la romance New Adult - un succès confirmé dès la parution de Vicious qui s'est immédiatement hissé en tête de tous les palmarès de vente. Elle vit en Californie du Nord avec son mari et leur petit garçon.

09/2020

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Littérature Allemande

Le Dernier Voyage de Soutine

La parution, en septembre, des Amants de Mantoue de Ralph Dutli, est l'occasion de redonner à lire, en collection de poche, son premier roman, Le Dernier voyage de Soutine, acclamé par la critique lors de sa parution au Bruit du temps en 2016. Caché dans le corbillard qui le conduit de Chinon à Paris pour y tenter l'opération qui seule peut le sauver de l'ulcère à l'estomac dont il souffre depuis des années, le peintre Chaïm Soutine, durant les 24 heures que va durer le trajet, se remémore, en un flux d'images parfois délirantes provoquées par la morphine, toute son existence. A demi fictif, à demi historique, le roman relate ainsi les divers épisodes de la vie de Soutine, depuis qu'il a choisi d'enfreindre l'interdit qui frappait les images dans le shtetl de son enfance : le rêve de devenir un grand peintre, poursuivi de Vilnius à Paris, alors capitale mondiale de l'art ; les années de bohème à Montparnasse et l'amitié improbable avec Modigliani ; le succès soudain, avec la rencontre du Dr Barnes, son mécène américain. Mais ces années dorées qu'accompagnent les deux figures féminines, Gerda Groth et Marie-Berthe Aurenche, prennent brutalement fin avec la guerre et ses persécutions, qui l'ont ontraint à fuir Paris malgré sa maladie et, finalement, au stratagème de ce dernier voyage et à tous ces détours pour échapper aux griffes de l'occupant. Dans son délire, Soutine, qui croit que seul le lait peut le guérir de son ulcère, s'imagine avoir été conduit dans un paradis blanc, à la fois hôpital et prison, où il rencontre un mystérieux Dr Bog, qui lui promet la guérison s'il renonce à la couleur... Le roman de cette existence tourmentée, écrit dans un style qui parvient à donner un équivalent de la fièvre qui anime les coups de pinceau du peintre, nous parle avec force de l'enfance et de l'exil, de la maladie et la douleur, de l'impuissance des mots et du pouvoir bouleversant de la couleur et de l'image.

10/2023

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BD tout public

Terra incognita Tome 2 : Hozro

Après avoir découvert Hozro, la cité des enfants tueurs, Erwan, Jezabel et Sal ont trouvé refuge au sein d'une grotte perdue dans la forêt. Yana, la farouche guerrière, commandité par les enfants les plus âgés, n'en poursuit pas moins la traque du trio de survivants. En vain. Celui-ci met à profit ces instants de répit pour apprendre le langage de Mani, le jeune indien qu'ils retiennent en otage. L'enfant leurs apprend ainsi que leur groupe de survivants n'est pas le premier « parachuté » dans la clairière, mais bien le dixième depuis qu'Hozro existe. Tous les dix ans, la « Lumière venue des étoiles » envoie un groupe de survivants sur cette nouvelle Terre. Des groupes d'humains sauvés de l'apocalypse terrienne du XXIIème siècle et qui, chaque fois, sont massacrés 30000 ans plus tard par les enfants de la cité. Ces derniers épargnent cependant les survivants d'origine amérindienne afin que la « Lumière des étoiles » puisse transférer leur mémoire dans la mémoire des nouveau-nés. Le prochain transfert de mémoire se fera au dépend de Cristobal Manchu, le maya qui accompagnait Sal, Erwan et Jezabel. Effarés, Erwan et Jezabel décident de libérer Manchu. Leur expédition va cependant tourner cours. Manchu est tué tandis que Erwan et Jezabel sont capturés par la farouche Yana. Erwan, impuissant, assiste alors au transfert de mémoire de sa compagne. Il parvient à s'évader et oblige Yana à le guider vers le sanctuaire où sont retenus prisonniers les survivants d'origine indienne. Il espère ainsi retrouver et libérer Jezabel des griffes de ses tortionnaires. Après une longue et pénible progression dans la jungle tentaculaire, Erwan débouche sur une ville en ruines. Il constate alors, abasourdi, qu'il marche sur le parvis de la piazza San Marco à Venise. Une Venise sortie de la nuit des temps où déambule une Jézabel privée de ses yeux et de sa raison. Fou de douleur, Erwan reprend le chemin de la cité avec l'espoir de pouvoir emprunter la « Lumière venue des étoiles » qui, tous les dix ans, emportent avec elle les enfants les plus âgés de la cité... Une Lumière qui semble être la clé de ce monde énigmatique...

12/2014

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Policiers

Le mausolée

Moscou, 2014. Dans la Russie trouble et tourmentée d'aujourd'hui, Tatiana gagne sa vie en dansant tous les soirs au Club 121, haut lieu de rencontres entre hommes d'affaires. Sa beauté ne laisse personne indifférent, et surtout pas Oleg Bezroukov. La jeune femme succombe rapidement au charme magnétique de ce dernier. Mais très vite, le doute s'installe dans la romance. Qui est cet homme mystérieux qui paraît si amoureux mais ne cesse de disparaître sans la moindre explication, et surtout, semble être doté d'un étrange et inquiétant pouvoir de prédiction ? Petit à petit, porté par le peuple qui voit en lui un nouveau prophète, Oleg va naturellement s'imposer sur la scène médiatique russe, allant jusqu'à se présenter aux élections présidentielles face à Vladimir Poutine. Quelle est la vérité, où commence l'imposture ? Tatiana va soudain réaliser que son destin se trouve peut-être ailleurs. Car depuis son enfance, Tatiana entend, dans son sommeil, une voix qui n'a cessé de lui répéter : "Tu vas sauver la Russie". Sa rencontre avec Piotr, un jeune séminariste aveugle doté de pouvoirs médiumniques, va faire basculer le cours des choses. La jeune femme va en effet découvrir l'existence d'une mystérieuse organisation secrète luttant depuis toujours contre les forces du Mal. Cette lutte entre le Bien et le Mal se cristallisera autour d'un monument emblématique, objet de tous les fantasmes, symbole d'une Russie partagée entre tradition et modernité, superstition et science : le mausolée de Lénine. Dans cette aventure, Tatiana devra accomplir une mission périlleuse : arracher le corps embaumé de Lénine des griffes d'Oleg et de ses comparses. Pourquoi un tel intérêt autour de ce corps ? Quels en sont les enjeux ? Pourquoi le Mossad et Al-Qaeda seront-ils obligés d'intervenir ? Et surtout, Tatiana parviendra-t-elle à tenir ce double jeu face à Oleg ? Mêlant Histoire, mysticisme et suspense, Édouard Moradpour signe un thriller habilement construit, aux personnages séduisants et à l'intrigue efficace, autour d'un des monuments les plus énigmatiques et fascinants du XXe siècle.

05/2013

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Poésie

Vous étiez ma maison

Je suis entrée chez vous. Comme dans un terrier. Je me souviens du feu dans l'âtre. Vous. Votre maison. Votre allure de fée. Une odeur de résine, de sauge et de plantain. Des bougies sur la table. Les flammes dans la cheminée. Des tissus, des tapis, des flacons. Un piano. Et des icônes de Marie. Vous. Votre douceur d'aïeule. Et mon corps qui se dénoue un peu, qui replie griffes et crocs. Vous me regardez dans les yeux. Vous me lisez. En creux. En silence. Au milieu. Violaine Lison guide ses lecteurs comme au travers d'un conte. Une narratrice voyage des rues pavées de la ville aux sentiers sinueux des forêts, entre les arbres et les fougères, parmi bêtes et plantes. Elle y croise une femme âgée, mi-fée, mi-sorcière, figure bienveillante qui rapièce et protège, joue du piano et de la machine à coudre. Cette dernière invite la visiteuse à passer le seuil de sa maison, à s'entourer de ses objets, de ses odeurs, des ronronnements du chat et des craquements du feu de cheminée. Une relation dense se tisse entre les deux femmes. Les lundis deviennent leur rendez-vous régulier avec la forêt et la vieille machine à coudre. Les vêtements, comme des secondes peaux, sont réparés avec soin, les blessures cicatrisent et les coeurs s'allègent. Votre maison appartient à la forêt. Il n'y a pas de frontière, pas de douane. Vous habitez les bois. Et les bois vous habitent. Des châtaigniers mangent à votre table. Votre potager a le pouls régulier d'un bocage. Mais lorsque la maison se vide sans prévenir, c'est un terrible silence qui s'installe. Questions et doutes refont surface : vers qui se tourner quand les repères disparaissent, quand les lieux familiers deviennent lointains et que les gestes rassurants perdent leur sens ? comment appréhender un tel héritage ? à nouveau la nature bienveillante sera le refuge... L'écriture à fleur de peau de Violaine Lison nous emmène, au rythme des nuits et des chapitres, à nous perdre en forêt et à y découvrir des chemins cachés, des clairières secrètes ou des cabanes de sorcières, pour mieux s'y retrouver ou pour se construire un lieu à soi.

09/2022

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Littérature française

Les couleurs de nos vies

Londres, 1910. Dans un lugubre orphelinat, deux jeunes filles se rencontrent, se lient d'amitié et décident de s'enfuir. De l'Angleterre à l'Afrique du Sud, de l'Argentine à l'Irlande, une quête littéraire les unit désormais : elles sont à la recherche d'un roman griffonné de la main du père de Louise, dont les lignes révéleraient un trésor. Les couleurs de nos vies est une histoire d'aventures et d'amitié, une course poursuite à travers le monde, au début du XXe siècle. Tout commence à Londres, en 1936, lorsque deux dames de la haute société se retrouvent dans le bureau du mystérieux Sir Clarke. Les deux femmes se détestent. La chose est de notoriété publique à Londres, alors pourquoi donc organiser une telle rencontre ? D'autant plus que leur hôte brille par son absence. Quand le majordome excuse le maître de maison et les prie de lire le manuscrit qu'il a déposé pour elles, les dames croient tout d'abord à une mauvaise plaisanterie. Pourtant, et bien malgré elles, elles entreprendront la lecture de ces écrits qui retracent leur vie depuis leur rencontre dans un orphelinat misérable de la ville. A cette époque, Louise rencontre Rose. Elles se lient d'amitié et décident ensemble de fuir l'orphelinat pour rejoindre l'Afrique du Sud. Le motif de cette fugue vaut son pesant d'or puisqu'elles partent à la recherche d'un roman annoté de la main du père de Louise, et dont des indices révéleraient la cachette d'un trésor. Mais pour fuir cet orphelinat, encore faudra-t-il passer au travers des griffes de Flynn, le terrible gardien en chef qui les retient prisonnières, et les a réduites en esclavage pour creuser les souterrains du métro de Londres. Il leur faudra ensuite réussir à embarquer sur un bateau les menant aux confins de la terre, et survivre à son équipage un peu particulier. En Afrique, puis en Argentine, aux Etats-Unis puis enfin en Irlande, les deux jeunes filles s'engageront dans de multiples et périlleuses péripéties, fuyant la tyrannie des hommes, et suivant les indices les menant jusqu'au livre dont les lignes pourraient révéler l'endroit où se cache le trésor.

04/2024

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Littérature française

Les abus dans les cérémonies et dans les moeurs

Le recueil des Abus, paru sous la griffe d'Henri-Joseph Dulaurens (1719-1793), présente une suite d'articles et contes satiriques dans la lignée de ceux de L'Arretin. Cela va du portrait ridiculisant à la parodie anticléricale en passant par la farce scatologique, le tout sur fond de pochade philosophique. Jamais réédité depuis 1793, l'ouvrage original soulève plusieurs interrogations de par sa conception et son contenu, notamment sur l'initiative de la publication, le choix des textes, la date exacte de parution, la diatribe de l'épître où l'on porte atteinte à l'intégrité de Rousseau... Autant d'éclaircissements que nous tentons d'apporter dans l'introduction à cet assortiment de textes conforme à l'édition d'origine, présenté ici en graphie modernisée. Dulaurens, abbé malgré lui et fugitif des Lumières, a été l'un des garnements littéraires les plus redoutables du XVIIIe siècle. La plupart de ses écrits, dont celui-ci, ont été condamnés au feu par les tribunaux civils et religieux, et à la vindicte des élites de plume. Il fut le mouton noir d'une Eglise qui ne lui pardonna rien autant que le trouble-fête des auteurs les plus en vue, mais aussi le chérubin d'un lectorat féru d'impertinences et autres désobéissances piquantes. Hélas, l'auteur en exil finira par être arrêté. En 1767, le tribunal ecclésiastique de Mayence le condamne seulement à la réclusion perpétuelle, eu égard à sa folie reconnue. Les Abus est l'un de ses derniers titres publiés, ultime réponse en forme de pied de nez à la condamnation de ce malheureux, mais tellement attachant, rejeton de Candide.

11/2019

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Littérature française

La nuit barbare

Nostalgie jubilatoire des années 1970 et 1980, enfance, adolescence d'un enfant issu de l'immigration, trajectoire d'un voyou studieux, enfant de la République, rat de bibliothèque, dansant, chantant, maltraité, abusé. D'oeuvre en lecture, du Caravage à Flaubert, de Dalida à Mozart, le narrateur se figure en écrivain. L'auteur se livre à l'exercice de l'autoportrait. Exilé dans le microcosme normand où les ombres hostiles des hauts-fourneaux côtoient les silhouettes consolatrices des abbayes, il crée son territoire. La génération des soeurs aînées fut sacrifiée. Que deviendront les autres, après lui, ces héritiers en déshérence ? Zadig Hamroune, d'un geste rapide, résilient, compose une fresque où la vie s'anime. Le temps n'absorbe rien, l'écriture griffe le béton. Ecrire pour survivre. Normand d'adoption, kabyle d'instinct, Zadig Hamroune se passionne très tôt pour la danse, l'art lyrique et la poésie. Après une carrière d'enseignant d'anglais et de traducteur, Zadig Hamroune se consacre à l'écriture. Il publie deux romans remarqués, Le Pain de l'Exil (Editions de La table Ronde, 2015) et Le Miroir des Princes (Editions Emmanuelle Collas, 2019). Très attaché aux questions interculturelles et à la problématique LGBT, il milite pour Act Up, Le Refuge et s'intéresse de près à l'Islam progressiste. Il participe à de nombreuses résidences d'écriture, anime des ateliers d'écriture créative, travaille à un projet de Festival à Ouistreham, dont la première édition verra le jour en octobre 2023. Il se consacre également à l'écriture dramatique et prépare une pièce en collaboration avec Marie-Armelle Deguy, Karine Saporta et Marie-Agnès Gillot. La Nuit barbare est son troisième roman.

04/2023

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Romans noirs

La cité des rêves

Après le magistral premier tome de la nouvelle trilogie explosive du maître du polar Don Winslow, La Cité en flammes, voici le deuxième volume aussi épique et ambitieux, La Cité des rêves. Sur la côte est, la guerre des gangs a fait rage et Danny Ryan a perdu. La Mafia, les flics, le FBI veulent tous le voir mort ou en prison. Avec son fils, son père vieillissant et les quelques rescapés de sa bande, il part tenter sa chance en Californie. A Hollywood, la ville où les rêves les plus fous se réalisent. Le sien est de mener enfin une existence tranquille et paisible. Sauf que les fédéraux le traquent : ils veulent lui demander une faveur qui fera de lui un homme riche, ou mort. Des rives du Rhode Island aux déserts californiens, des couloirs du pouvoir à Washington aux studios légendaires d'Hollywood, La Cité des rêves happe le lecteur et l'emporte dans une fresque épique, inoubliable. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Jean Esch A propos de l'auteur Don Winslow est l'auteur de vingt-deux best-sellers internationaux, dont Corruption, Savages et L'Hiver de Frankie Machine. Sa trilogie de La Griffe du chien, Cartel et La Frontière est en cours d'adaptation série par la chaîne FX. Il vit aujourd'hui entre la Californie et le Rhode Island. "? Un auteur qui a porté le polar aux sommets". François Lestavel, Paris Match "On reste pantois devant l'habileté de Winslow, capable de réduire le matériau homérique à son squelette pour le rhabiller d'une chair bien à lui". Alexis Brocas, Lire Magazine Littéraire

05/2023

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Littérature française

Oh là là !

Les inimitiés entre Anglais et Irlandais font encore de la fumée en Angleterre et en Irlande. Les frottements entre Turcs et Arméniens et entre Turcs et Kurdes dégagent toujours des effluves de rébellion en Turquie. Les désaveux et les haines entraînent Arabes et Juifs à s'entre-égorger pour la possession du sol depuis plus de soixante-dix ans en une guerre dont personne ne voit encore le bout. Les Corses sont français depuis le dix-huitième siècle et la Corse a donné à la France deux empereurs, un chanteur prolifique et le théâtre de l'une des plus belles nouvelles jamais écrites. Pourtant, les Corses sont traités par certains de "Français non de souche" . Longtemps avant les Corses, les Juifs ont fait partie du paysage français dès le premier siècle judéo-chrétien et ils ont été français avant les Mérovingiens, les Capétiens, la Franche-Comté, la Bourgogne et la Normandie. Pourtant, les Juifs sont jugés par certains de "Français greffés" , de "Français additionnels" ou de "Français surajoutés" . Lorsque les Italiens avaient commencé à immigrer en grand nombre en France à la recherche de jours meilleurs, il ne fut pas bon s'appeler Brazi, Barzini, Mancini, Flatini, Giacomo ou tout autre nom à consonance italienne sur les bords de Seine et de Loire pendant des décennies. Après les Italiens, ou en même temps qu'eux, ce fut au tour des Russes blancs, des Ukrainiens, des Polonais, des Bulgares, des Roumains, des Hongrois et des Espagnols d'être mis à l'index. Vint ensuite le tour des Sénégalais, des Maliens, des Portugais, des Maghrébins, des Chinois et de tous les autres. Tous ces autres "différents" venus chercher des jours meilleurs en France. Comme il est écrit dans le présent ouvrage, le racisme est d'abord et surtout un problème économique.

04/2018

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Droit international public

La justice, ses métiers, ses procédures. OHADA, Union africaine, CEEAC-CEMAC, CEDEAO-UEMOA, Nations Unies, Cameroun, 4e édition

Cet ouvrage s'adresse prioritairement aux universitaires en leurs différentes qualités, aux praticiens du droit, aux personnes désireuses d'accéder aux professions judiciaires ou auxiliaires et de les exercer. Ses destinataires privilégiés sont également ceux qui, directement ou indirectement, initient ou conduisent des réformes relatives à l'appareil judiciaire à l'échelle nationale ou supranationale. Le non-spécialiste "en situation" et le grand public en sont, enfin, les cibles par excellence. Dans une perspective à la fois explicative et analytique, les développements sont fortement illustrés et bâtis autour de trois axes majeurs. L'un des axes s'intéresse aux juridictions, qu'elles soient camerounaises ou supranationales : tribunal du premier degré, tribunal coutumier, "alkali courts", "customary courts", tribunaux de première et de grande instance, tribunal militaire, tribunal criminel spécial, commission provinciale du contentieux de la prévoyance sociale, tribunal administratif régional, tribunal régional des comptes, cour d'appel, haute cour de justice, cour suprême, cour commune de justice et d'arbitrage de l'OHADA, cour de justice et cour des comptes de la CEEAC et de la CEMAC, cour de justice de la CEDEAO, cours de l'UEMOA, cour africaine des droits de l'homme et des peuples, cour internationale de justice, cour pénale internationale. Le tableau est complété par les juridictions non étatiques qui se consacrent à l'arbitrage, à la médiation, à la conciliation, à la transaction... L'autre axe s'intéresse aux métiers de la justice, notamment à ceux qu'exercent les magistrats, avocats, huissiers de justice, notaires, fonctionnaires des greffes, personnel de l'administration pénitentiaire, officiers et agents de la police judiciaire, mandataires de justice. Le dernier axe s'intéresse aux principes fondateurs communs qui encadrent le service public de la justice et le procès : continuité, publicité, égalité, gratuité, indépendance, impartialité, dispositif...

03/2021

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Littérature française

Le Cousin

Camille, traumatisée par le décès de son frère, voit l'arrivée d'un cousin éloigné comme une joie. Il vient travailler comme mécanicien dans l'atelier de son père, à Paris, dans le quartier de la Salpêtrière. La petite fille retrouve le sourire et aime passer du temps avec ce jeune homme de vingt-trois ans qui lui offre de l'attention. Pourtant, à onze ans, elle est violée par ce dernier. Ces abus durent des années sans que Camille n'ose parler. La pression est de plus en plus forte quand elle réussit finalement à repousser son cousin. Les Trente Glorieuses apparaissent comme bien silencieuses sur la question de l'inceste et Camille n'arrivera à se délivrer de ce secret que longtemps après. Dans une langue sensible mais n'atténuant pas la cruauté des actes décrits, Michèle Aubrière livre le récit poignant d'une enfance brisée par trois fois : la mort, le viol et le silence. Un ouvrage fort, pour toujours lutter contre l'indifférence, car malgré la loi, il n'y a, en réalité, jamais de prescription dans ce genre d'affaire. "Depuis qu'elle lui résiste, ses caresses sont tout, sauf agréables. Il la triture, la malaxe, telle une pâte à pain, il lui fait mal. Ne pouvant lui échapper, elle cède et s'exécute, seul moyen d'avoir la paix. Mécaniquement, elle effectue le geste coulissant, en essayant de penser à autre chose, d'oublier sa main et le reste. Mais quand sa main à lui se pose sur son sein, elle est brutalement ramenée à la réalité. La sensation de plaisir provoquée par le pincement dure deux secondes et vire à l'insupportable. Alors, l'envie la prend, irrépressible, de le gifler, le griffer, le mordre". M. A.

01/2024

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BD tout public

Legio patria nostra Tome 1 : Le tambour

Et ainsi naquit la Légion Etrangère. Le 30 avril 1863 au Mexique, 62 légionnaires de la 3e compagnie du 1er bataillon du Régiment Etranger sont piégés par 2 000 soldats mexicains dans une hacienda délabrée du village de Camaron sur la route de Vera Cruz. Sous une chaleur de plomb, sans boire ni manger, ces légionnaires repousseront les assauts des Mexicains pendant près de douze heures. Ils ont juré à leur Capitaine de ne pas se rendre. Ils tiendront parole, écrivant ainsi sans le savoir l'histoire de la Légion, Camerone, la défaite devenue une légende. Sept ans plus tôt, à Lyon, Casimir, un gamin des rues, commet un meurtre en voulant protéger sa mère des violences de son souteneur. Contraint de fuir la ville, il entraine avec lui son meilleur ami Dino qui rêve d'un avenir meilleur. Mais échapper à son destin est un jeu dangereux, et c'est dans les griffes du Maure, un chef de bande tyrannique et pervers, qu'ils se trouveront pris au piège. Un piège mortel dont Casimir devra s'échapper seul, trouvant refuge à Toulon où sa rencontre avec Evariste, un ancien soldat, dandy et joueur invétéré, l'amènera à s'enrôler sous un faux nom dans les rangs d'un corps d'armée à la réputation douteuse : la Légion Etrangère. Mais pour la première fois depuis longtemps dans la vie de Casimir, un rayon de soleil apparait en la personne de Zélie, des immenses yeux verts et un tempérament intraitable, avec qui il envisage une nouvelle vie au-delà de la méditerranée. Sa décision est prise, il va déserter. L'histoire de Casimir commence à peine, il ne sait pas encore qu'il va devenir un héros... Pour sa première bande dessinée, Jean-André Yerlès, scénariste pour l'audiovisuel, s'associe au flamboyant dessin de Marc-Antoine Boidin pour nous plonger dans une épopée virtuose et romanesque aux sources de la Légion étrangère. Une institution aujourd'hui chargée de symbole et dont la légende s'est écrite dans le sang, au Mexique, lors de la bataille de Camerone de 1863. En 5 volumes, Legio Patria Nostra (" La Légion, notre patrie ", devise de la Légion) nous raconte autant cette histoire que le parcours initiatique d'un orphelin des rues qui trouvera sa famille dans la Légion et apprendra parmi eux à devenir un soldat, un guerrier et tout simplement un homme dans la France turbulente du Second empire.

10/2019

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Romans historiques

Sapiens Au matin du Monde Tome 2 : Par-delà les montagnes de la lune

Fuyant la haine de certains chefs et chamans de leur ancienne tribu, un petit groupe de jeunes humains s'avance en terre inconnue. Ils ont échappé à leurs poursuivants. Ils ont affronté les dangers de la nature, les bêtes sauvages, les torrents furieux. Ils ont bravé la neige et le froid, franchi des sommets noyés de brouillard et balayés par le vent. Devant eux, des collines, des vallées, des forêts s'étalent à perte de vue. Que vont-ils y découvrir ? Des animaux qu'ils n'ont jamais côtoyés ? D'autres clans ? hostiles ou amicaux. Un territoire où s'installer ? Parviendront-ils jusqu'au paradis mythique de leurs ancêtres ? Le clan semble bien faible face à la terrifiante puissance des éléments et ses membres se sentent tout petits en contemplant l'immensité de Ga'Hé. Ils n'ont que quelques armes de pierre à opposer aux multiples prédateurs qui hantent ces contrées inexplorées. Ils n'ont pas de fourrure pour leur tenir chaud, pas de crocs ni de griffes pour mordre et lacérer, ils ne courent pas assez vite pour attraper une proie ou échapper à un fauve mais ils possèdent un atout unique et formidable : leur cerveau. Grâce à cet organe mystérieusement alambiqué, ils ont développé les facultés essentielles à leur survie. Ils sont solidaires, ils prévoient l'avenir, ils coopèrent dans les tâches quotidiennes, ils créent, ils communiquent, ils inventent. Dans ce deuxième volet de la saga Sapiens, nous accompagnons ce petit clan dans sa quête de la terre promise. Lancés dans cette folle aventure semée d'embûches ils peuvent compter sur le courage et la pugnacité d'Aakin, le dévouement et les dons de Chahin, les médecines et l'oreille attentive d'Hozimi et Uhiri, les conseils avisés de Jocal, l'imagination débordante de Dahik. Ils profitent des talents de chasseurs de Sa'lou, iazin, Misukaï ou Odhran, de ceux des femmes qui ont en charge la vie du clan, de l'aptitude de Brago a apprivoiser les animaux. Thanyr et Meiko taillent des armes et des outils dans le silex salutaire. Ka ja, Dahik, Brago apprivoisent l'Art. Ils agrémentent les objets usuels de sculptures et de motifs qui les rendent agréables à regarder. Ils découvrent la notion du beau et le plaisir qu'elle engendre.

03/2012

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Littérature française

Les ténèbres du dehors

C'est dans une extravagante ripopée, un inénarrable melting-pot de cultures que vont se dérouler les années d'apprentissage d'Emma, l'héroïne de ce roman. Sa mère, Mme de Duran, grandiose personnage de théâtre, à la fois grotesque et sublime, est d'origine allemande. Son père, officier espagnol, a disparu dans la débâcle de la République après avoir combattu dans les rangs des gouvernementaux contre les insurgés franquistes. Mme de Duran et ses trois enfants, Emma, Alejo et Segismundo, ont fini par échouer à Bruxelles juste avant la déclaration de la Seconde Guerre mondiale. Mais qu'on ne s'y méprenne pas. Le roman d'initiation d'Emma n'est pas un recueil de souvenirs d'enfance. L'enfant, nous y est-il montré de page en page, est une invention des sociétés d'abondance. Dans le monde de la misère, de l'exil ou, si l'on préfère, dans les situations extrêmes, les catégories usuelles n'ont pas cours. Or tout ici est extrême, parce que tout est amplifié par l'acuité d'une vision où l'on chercherait en vain la fausse innocence que, dans le monde dit civilisé, on prête si volontiers au petit de l'homme. Qu'Emma observe les démêlés burlesques de sa famille avec la pauvreté, qu'elle raille l'espagnolisme exacerbé de ses frères, qu'elle daube, de façon fort incivile, la grandiloquence du discours des bien-pensants, qu'elle fasse mine de s'effarer devant l'énergie, toute germanique, avec laquelle sa mère somme le chancelier Adolf Hitler de la tirer des griffes de la Gestapo ou, trahie par son amant, Léon van Roodebeek, s'acharne à ranimer, chez cet écrivain raté, une ardeur depuis longtemps éteinte, la diabolique lucidité de la narratrice ne manquera pas de méduser le lecteur. Mais, du même coup, celui-ci sera entraîné, malgré qu'il en ait, à partager la passion inconditionnelle des Duran pour la folie, l'humour noir, la démesure. Car ce roman picaresque, terriblement espagnol, est aussi une ouvre où l'auteur, à travers ses divers truchements, semble avoir pris à tâche d'épuiser toutes les ressources de la langue française et toutes les combinaisons de la technique romanesque. Les personnages, le lecteur et l'auteur lui-même se trouvent interpellés, agressés, remis en cause à chaque instant dans un jeu d'esquive et d'illusion qui comblera l'aficionado littéraire.

04/1981

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Religions orientales

Les maîtres du karma

LES MAITRES - Les grandes religions donnent des noms divers à cet Homme parfait, mais quel que soit le nom, l'idée reste la même ; qu'il soit Mithra, Osiris, Krishna, Bouddha ou Christ, toujours Il symbolise l'homme devenu parfait. Il n'appartient pas à une religion seulement, Il ne fait point partie d'une nation seule, d'une famille humaine unique ; Il n'est point emprisonné dans les formes d'une foi particulière. Partout c'est Lui le plus noble, le suprême idéal. Toutes les religions Le proclament, en Lui est leur raison d'être à toutes. Il est l'Idéal auquel aspire toute foi et une religion ne remplit efficacement sa mission qu'en raison de l'intensité de la lumière qu'elle projette, de la précision des enseignements qu'elle formule sur la voie qui conduit vers Lui. Le nom de Christ qui désigne l'Homme parfait par toute la chrétienté est le nom d'un état bien plus que celui d'un homme. "Le Christ en vous, c'est l'espoir du triomphe", telle est la pensée de l'instructeur chrétien. Au cours de leur longue évolution, les hommes parviennent à l'état de Christ, car tous doivent accomplir en leur temps le pèlerinage séculaire et Celui qui est connu sous ce nom en Occident est l'un des "Fils de Dieu" qui ont atteint le but final de l'humanité. Ce nom a toujours comporté un attribut : l'Oint du Seigneur, qui indique un état, et cet état chacun doit l'atteindre. Il est dit : "Regarde au dedans de toi, tu es Bouddha" et "Jusqu'à ce que Christ soit né en vous". KARMA - Nous vivons dans le domaine de la loi, nous sommes environnés de lois que nous ne pouvons briser ; voilà qui est évident. Cependant, lorsque nous avons reconnu que ce fait est réellement une partie de notre vie, lorsque l'existence de ce fait nous apparaît dans le monde moral et mental aussi bien que dans le monde physique, nous sommes tentés jusqu'à un certain point de nous abandonner au sentiment de notre faiblesse, comme si nous nous sentions dans les griffes de quelque puissance redoutable, qui nous aurait saisis et nous ferait tournoyer à son gré, où elle veut.

04/2022

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Bricolage et création

Escape games à créer

La pratique de l'escape game ne cesse d'augmenter. Beaucoup de salles ont ouvert leurs portes ces dernières années en France. Sympa ! Mais encore mieux d'imaginer l'un de ces fameux jeux d'évasion et de le réaliser soi-même à la maison. Efficace pour animer un anniversaire ou tout simplement une journée pluvieuse entre copains et copines ! Ce livre propose à ses lecteurs 6 mondes imaginaires, avec un mode d'emploi clé en main et de nombreuses autres pistes. Scénarios, énigmes et accessoires Pour créer un escape game, on commence toujours par le scénario : le premier chapitre est consacré à cette mise en route. On y apprend aussi comment parfaire son costume de maître du jeu. Ensuite, il faut des énigmes ! on en trouvera une vingtaine aussi amusantes à créer qu'à résoudre. Et, comme il n'y a pas d'escape game sans beau décor, on découvrira comment fabriquer de jolies cachettes et proposer de chouettes trésors. Au final, les 4 copains, qui se répartissent les activités, donneront le mode d'emploi pour mettre en scène toutes ces créations et s'échapper des griffes des super-vilains, des sorciers, des pirates, des zombies ou sauver des elfes et des archéologues... Inventivité, fantaisie, débrouille et méthode Avant de se lancer dans l'aventure, les jeunes concepteurs doivent inventer des messages tous plus mystérieux les uns que les autres. Ils apprendront à masquer les informations avec des cartes, des odeurs, des liquides, des colliers, des puzzles, des blasons, des roues, des dés ou des pierres... et à imaginer des cachettes dans des ballons, dans des oeufs, sur des miroirs ou des mouchoirs, dans des boîtes magiques ou des pots repoussants... Action et réaction : une façon de doubler le plaisir ! Pour une convivialité sans équivalent Les jeux d'évasion exigent une solidarité sans faille. Pour s'échapper de situations compliquées, il faut activer ses méninges tous ensemble ! Partage et réflexion sont demandés à chaque participant. Avec frissons et rigolades au programme. Et, quand on les conçoit à la maison, rien n'empêche d'embarquer son (ou sa) meilleur(e) ami(e) dans la confidence. De quoi occuper de longs après-midi pluvieux avant de faire vivre à ses copains et copines de belles aventures. Petite mention spéciale pour les animateurs de centre aéré qui apprécieront eux aussi !

04/2023

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Littérature française

Le jeu continue après ta mort

Notre époque ayant autant de mémoire qu'un rhinocéros lancé au galop dans le vide, il ne nous a pas semblé vain de publier ces trois épais carnets aux pages couvertes d'une écriture enfantine, récemment trouvés au milieu d'un champ de fleurs sauvages, à l'est de la Silésie. Un jeune vagabond de vingt-neuf ans, mort d'épuisement dans son sac de couchage, les tenait serrés contre sa poitrine. Une première lecture nous a persuadé qu'il s'agissait des carnets de Thout' Nielsporte, ce chef facétieux qui, par l'entremise de son avatar aux yeux de caméléon, avait conduit les gamers du monde entier à s'affranchir des trois grands Editeurs qui tenaient entre leurs griffes l'ensemble des jeux en ligne et des univers persistants. Le "Petit Alexandre le Grand" des mondes virtuels n'avait pas encore dix-sept ans, dans les années 2029, quand il libéra les MMORPG et les unifia en un seul continent, "la Pangée Libre" , allusion au supercontinent qui devrait se former dans 250 millions d'années par la conjonction de l'Afrique, des Amériques et de l'Eurasie. Cette zone virtuelle libre, appelée aussi "Big Pizza" par ses usagers, était un immense conglomérat numérique rassemblant des jeux en ligne et des espaces 3D de toutes marques, qui n'avaient pas été conçus pour se retrouver connectés les uns aux autres. Thout' et ses guildes réussirent à créer des passerelles non prévues par les développeurs et à en prendre le contrôle. Ils entraînèrent des millions de joueurs dans un nouveau monde open source, géré directement par ses usagers, selon un système d'échange Peer-to- Peer où l'équipement informatique de chaque abonné était devenu un rouage du système global. La volatilisation soudaine de Big Pizza, le vendredi 18 février 2039 à 18 heures 09 GMT, est venue mettre fin à leur autonomie insolente, sans que les causes de ce Global Off n'aient jamais pu être clairement établies... Les trois carnets retrouvés apportent un éclairage inédit sur cet événement qui a précipité plusieurs millions de gamers professionnels dans la détresse la plus complète. Nous allions mettre sous presse ce témoignage sans attendre l'identification officielle du corps, lorsqu'est tombée la dépêche annonçant le résultat des analyses génétiques effectuées sur le cadavre. Il s'agit bien de Thout' Nielsporte, il s'agit bien de ses écrits.

03/2019

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Sports

Bad boys du rugby

Les joueurs et les histoires les plus dingues de l'histoire du rugby C'est sa faute, au rugby, de s'être toujours présenté comme " un sport de voyous pratiqués par des gentlemen ". Parce que depuis, ceux qui le pratiquent hésitent parfois entre les deux personnages, et certains ont une fâcheuse tendance à basculer plutôt du côté obscur. Dans cet ouvrage figurent toutes les fortes têtes et les têtes brûlées qui font aussi l'âme de ce jeu. Y sont présentés sans ambages leurs casiers judiciaires, parfois lourds, mais aussi les arguments de leur défense. Car les fortes têtes peuvent avoir un grand coeur. Quant aux têtes brûlées, ce sont ces joueurs, pas forcément " virils " qui n'ont jamais pu obéir à d'autre loi que la leur... Les joueurs inscrits sur ce tableau d'honneur (ou d'horreur) ont en tout cas suffisamment marqué les esprits pour être pour la plupart affublés d'un sobriquet qui résume leur tempérament : l'Animal (Sébastien Chabal), l'Exécuteur (Bakkies Botha), le Patron (Gérard Cholley), la Griffe (Peter Clohessy), Terminator (Jerry Collins), le Duc (Amédée Domenech), la Bête de Béziers (Alain Estève), le King (Barry John), Ferengi (Martin Johnson), le Sultan (Jean Sébédio), le Pin (Colin Meads), le Massif Central (Olivier Merle), Rapetou (Vincent Moscato), le Chiropracteur (Brian Lima), Ramsès (Michel Palmié), Casque d'Or (Jean-Pierre Rives), le Duc de Fer (Barry Windsor), le Pépé du Quercy (Alfred Roques) et quelques autres encore... dont Ernesto " Che " Guevara, que ses coéquipiers de Rosario avaient surnommé " Le Furieux ". Sont aussi racontés par le menu les matches les plus violents de l'histoire comme les troisièmes mi-temps mémorables et les coups de folie de ces barjots du rugby.

10/2020

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Littérature française

Maître-chien

A l'occasion d'un séjour à Rio. un jeune homme qui s'avoue un peu fâché avec la vie décide d'en finir avec. sa propre histoire et endosse presque par hasard l'identité d'un autre. Embauché par une entreprise de gardiennage spécialisée dans le dressage des chiens d'attaque, il va s'affirmer comme un parfait vigile au service de la haute société locale, laquelle se barricade, à deux pas de la misère des favelas, dans des résidences protégées connue des forteresses. Il va. aussi. se mettre au service de la femme qui règne sur ce petit monde de haute sécurité, après qu'il aura découvert qu'elle même est entre les mains de trafiquants sans visage qui la tiennent pour ainsi dire en laisse. Tout à la passion qui le lie bientôt à cette superbe " chienne " - le temps pour l'un et l'autre d'oublier la mort qui rôde -. il est bien loin d'imaginer que cet amour même se trouve manipulé de l'extérieur par un ennemi à qui rien n'échappe... On songe à la fatalité qui depuis toujours accompagne les figures féminines auxquelles fait escorte la meute aboyante : Hécate, Penthésilée... On s'effraie, surtout, de voir à l'œuvre un système de surveillance qui, donnant si bien de la griffe et du croc, n'a d'autre issue que la fuite dans une violence sans fin. Et l'on en vient à se dire, songeant au vieil adage pascalien, que dans une société à ce point emmurée par la terreur, qui pratique I'angélisme sécuritaire avec un raffinement si pervers. la véritable bête (qui est le maître ?.... qui est le chien ?....) n'est peut-être pas celle qu'on croit.

09/2004

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Littérature française

La pâqueline. Ou les mémoires d'une mère monstrueuse

Maudite année 1798 pour la Pâqueline ! D'abord le procès de son fils Victor, qui lui vaut une réputation ignominieuse. Et maintenant l'incendie de sa maison ! Réfugiée chez son rejeton, qui a fait fortune de son métier d'embaumeur et de trafics d'organes, exaspérée, elle accouche d'une idée diabolique : elle va lui jeter au visage les secrets dramatiques de son enfance, en couvrant les murs de ses écritures. Et ira jusqu'à le dépouiller de ses richesses... Mais quelle est cette femme, qui suscite le dégou^t autant que l'éclat de rire et l'émotion ? Et quel est donc ce roman extraordinaire, qui marie finesse et outrance, méchanceté et tendresse, érudition et imagination - jusqu'à l'apothéose finale ? Un chef-d'oeuvre étonnant et drôle, qui porte la patte d'un très grand écrivain, assurément. Après le succès de L'Embaumeur, prix Saint-Maur en poche et prix de la ville de Bayeux, Isabelle Duquesnoy nous livre le portrait d'une mère abominable, qu'on se surprendra étrangement à aimer, écrit dans une langue époustouflante, entre préciosité du XVIIIe siècle et démesure rabelaisienne. Un écrivain inclassable et majeur de ce début du XXIe siècle. ILS EN PARLENT : " Isabelle Duquesnoy est une surdouée, une raconteuse d'histoires incroyable : une magicienne ! " Gérard Collard, La Griffe noire " J'ai découvert l'univers pétillant et unique d'Isabelle Duquesnoy avec L'Embaumeur. Mon attente était folle pour La Pâqueline. Et bien plus que la combler, ce roman l'a transcendée ! " Caroline Vallat, Fnac Rosny " Un bijou comme il y en a peu. On a envie de le lire et le relire pour en tirer toute la substantifique moelle. " Lydie Zannini, Librairie du Théâtre

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Religion

La nouvelle messe, cinquante ans après. Chronique de l'après-Concile (1968-1974)

Avec une clairvoyance sans égale, un esprit critique nourri seulement de vérité, Louis Salleron donna une chronique sur les travaux de l'Eglise à un grand hebdomadaire parisien. Témoin, il l'a été avec une étonnante perspicacité. Il étudie les textes et constate les conclusions qu'on peut en tirer. Le sujet est grave mais cet ouvrage ne manque ni d'humour ni d'une douce ironie. L'auteur prévient. Il serait regrettable d'inquiéter trop tard, et quand on voit sa mère malade ou bafouée, on ne la griffe pas davantage. On l'aime comme elle est, mais on souhaite sa guérison. C'est I'état d'esprit de Louis Salleron, auteur d'une intelligence remarquable, qui ne veut pas ajouter de la peine à la peine. Aussi traite-t-il des aberrations, des désirs de nouveauté, des innovations postconciliaires, des chemins qui mènent à l'hérésie ou au dégoût de la religion. Il le fait avec tact, force, perspicacité et charité. Il aborde de front la toute puissance des bureaux, la dégradation de la loi dans l'Eglise, l'équivoque du retour aux sources, les changements parasitaires dictés par une forme dangereuse de sentimentalisme, l'abandon du latin que Jean XXIII avait rendu obligatoire dans les séminaires, la protestantisation de l'Eglise, la démocratisation des institutions, la communion dans la main, le mariage des prêtres, etc. Cinquante ans après l'introduction du nouveau rite de la messe, dit aujourd'hui ordinaire, cet ouvrage, écrit d'une belle plume, n'a rien perdu de son actualité, car en dépit même de certaines corrections et d'une accalmie dans les réformes, l'Eglise est toujours exposée aux assauts de ses ennemis, qu'ils soient de l'extérieur ou de l'intérieur. Cet ouvrage est une contribution remarquable à l'histoire de la liturgie et de l'Eglise.

01/2020

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Thrillers

De nulle part

Chatou. Fin des années 1990. Deux nouveau-nés sont trouvés et confiés à l'Assistance publique. Des jumeaux que l'existence va vite se charger de séparer. Trappes. 2020. Ballotté de foyers sordides en familles d'accueil, Antoine, dit " Tony " , s'est construit tant bien que mal avec l'idée que la vie est un combat. Il lutte pour mener de front études de droit et petits boulots, et qui sait : dépasser sa condition. Alors que tout ce qu'il réussit à faire est d'accumuler les dettes, se préésente un beau jour à sa porte un certain Raphaël. Raf, c'est son frère, sa copie conforme et son exact contraire, un héritier qui a les codes et la confiance qui va avec. Raf a un plan qui peut changer le destin de son frère. Passé la surprise de la première rencontre, Tony hésite à qualifier la visite de providentielle. Car il n'oublie pas : l'échec est inscrit en lui depuis son premier cri. Mais il reste l'espoir. Cet espoir qui engendre le supplice. Claire Favan livre un étouffant thriller psychologique et un cri de révolte contre la tragédie endurée par les enfants placés. A propos de l'autrice Claire Favan travaille dans la finance. Elle est l'autrice, entre autres, de l'inoubliable diptyque composé du Tueur intime (Prix VSD du Polar 2010, Prix Sang pour Sang Polar 2011) et du Tueur de l'ombre, de Serre-moi fort (Prix Griffe Noire du meilleur polar français 2016) et, récemment de La Chair de sa chair, lauréat du Prix des Petits Mots des libraires et du Grand Prix du Festival Sans Nom 2021. Roman après roman, elle poursuit son exploration des contre-jours de l'humanité.

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Romans noirs

Héloïse

" Toutes les femmes ont une histoire. La mienne est plutôt moche. " A la veille de ses trente ans, au cours d'une nuit entourée des fantômes de son passé, Héloïse va se dévoiler. Portée par les souvenirs et les remords, elle ouvre la boîte de Pandore. Héloïse est comme poursuivie par un malheur qui sait toujours où la retrouver : une enfance traumatisée, ballottée de foyers en familles d'accueil, et les décès, les uns après les autres, des êtres qui lui sont chers. Oscillant sans cesse entre ombre et lumière, elle nous amène à nous questionner sur nos propres zones grises. Noir, intime et dérangeant, un roman à la fois sombre et lumineux dans lequel les émotions sont à fleur de mots. A propos de l'autrice Née en 1980, Ophélie Cohen est fonctionnaire de police depuis plus de vingt ans. Elle habite à Nemours. Elle trouve dans la littérature un refuge. Des lectures éclectiques et le besoin de faire mille et un voyages au fil des pages, elle passe aujourd'hui de lecteur à auteur. Héloïse est son premier roman. " Un roman noir sans concession qui a trouvé son lectorat, tant le personnage principal tient l'histoire à bout de bras. " Sud-Ouest " Une merveille indispensable à tous les amateurs de romans policiers différents et originaux. " Gérard Collard, Librairie La Griffe noire " Ce livre rend hommage à toutes les Héloïse si fragiles, si nombreuses. " Librairie Pescalune " Roman sombre à souhait ! Plongez au plus profond de l'âme d'Héloïse qui se dévoile sans concession. Etre cassé, fracassé qui ne se laisse pas faire à sa façon. Quand le subconscient domine le conscient, quand les fêlures constituent la personne, que reste-t-il ? " Coup de coeur de la librairie du Hérisson, Nemours

04/2023

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Rome

Les larmes de Rome. Le pouvoir de pleurer dans l'Antiquité

La version poche d'un ouvrage devenu référence. Dans la Rome antique, les larmes étaient même un adjuvant du politique, l'arme des orateurs et le moyen de se distinguer du vulgaire. Une originale plongée dans la société de conquérants impitoyables, mais sentimentaux ! Aussi surprenant que cela puisse paraître, les larmes coulent en abondance chez les Romains. Les empereurs, le peuple, les sénateurs, les soldats pleurent. Débats publics, procès ou ambassades, tout est prétexte aux déversements d'émotions. Plus que les Grecs, déjà grands pleureurs, les Romains ont la larme facile. La variété du vocabulaire latin vient l'attester. Les verbes flere, deflere, lacrimare, deplorare, complorare, gemere, lugere, complangere, plangere, queri, désignent tous l'action de pleurer, de se lamenter, parfois de manière bruyante et spectaculaire, gestes à l'appui : on se frappe la poitrine, on lacère ses vêtements, on griffe son visage, on se roule par terre. Les Romains s'épuisent à pleurer, leurs yeux s'y abîment. Souvent dépeints en conquérants impitoyables (ce qu'ils étaient), les Romains sont trop rarement montrés dans leurs moments de fragilité ou d'égarement. Les Romains construisent des routes, des ponts et des villes, ils bâtissent un Empire, mais ne s'abaissent pas à pleurer, pense-t-on. Leur mauvaise réputation de rudesse a jusque-là découragé toute enquête générale sur leurs larmes, là où les lamentations des héros grecs ont déjà fait couler beaucoup d'encre. Dans cette histoire inversée de la force romaine, il faut accepter de ne pas s'y reconnaître, de perdre pied. Les comportements sociaux des Romains, souvent ponctués de larmes, nous dépaysent. Le parcours que propose ce livre est ainsi celui d'un paradoxe : saisir l'étrangeté de ces larmes d'hier si semblables aux nôtres, c'est aussi comprendre qu'elles n'ont pourtant rien de celles d'aujourd'hui.

12/2023

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Histoire de l'art

Une histoire intime de l’art. Yvon Lambert, une collection, une donation, un lieu

Coédition Dilecta / Cnap / Collection Lambert "A mon avis, les choses intéressantes se font quand on ne pense pas au futur, indépendamment de tout calcul historique". A l'occasion de la publication d'Une histoire intime de l'art. Yvon Lambert, une collection, une donation, un lieu, la Collection Lambert (Avignon) présentera une sélection d'oeuvres emblématiques de la Donation Yvon Lambert de mars à juin 2023. En 2012, le marchand d'art Yvon Lambert fait la donation à l'Etat français d'un ensemble unique de près de 600 oeuvres de sa collection personnelle, constituée principalement d'oeuvres acquises auprès des artistes qu'il exposait dans ses galeries de Vence, de Saint-Germain-des-prés puis de New York. Au-delà d'une "belle collection" , dont l'intérêt historique majeur légitimait que le Centre national des arts plastiques en accepte la donation, c'est une collection des plus originales et intimes qui s'offre à la vue de tous, une "succession d'émotions" acquise durant près de soixante-dix ans par un homme passionné et audacieux, à l'écoute des soubresauts de l'histoire de son temps. La Donation Yvon Lambert reflète cette clairvoyance du galeriste qui introduisit auprès d'un public français plusieurs générations d'artistes qui seraient certainement restés méconnus dans l'Hexagone sans son intervention. C'est pourquoi elle constitue un enrichissement exceptionnel pour les collections publiques françaises tant en quantité qu'en qualité. La volonté du collectionneur de partager "sa seule fortune" s'incarne également par l'ouverture au public en 2000 d'un lieu dédié dans sa Provence natale, à Avignon, et la mise en oeuvre d'une proposition culturelle singulière dont la fonction sociale est clairement revendiquée. L'ouvrage, coédité par le Centre national des arts plastiques (Cnap), la Collection Lambert et les Editions Dilecta, donne à voir un choix d'oeuvres emblématiques de la donation et à comprendre les évolutions, depuis les années 1960 jusqu'à nos jours, du monde de l'art occidental, comme le soulignent les contributions inédites des historiens de l'art invités à porter leur regard sur cet ensemble exceptionnel. Avec des oeuvres de Carlos Amorales, Carl Andre, Shusaku Arakawa, Miquel Barceló, Robert Barry, Jean-Michel Basquiat, Berndt et Hilla Becher, James Bishop, Jean-Charles Blais, Christian Boltanski, Slater Bradley, Candice Breitz, Marcel Broodthaers, Daniel Buren, André Cadere, Mircea Cantor, Christo, Francesco Clemente, Robert Combas, Jean Degottex, Daniel Dezeuze, Jan Dibbets, Marcel Dzama, Bernard Faucon, Spencer Finch, Hamish Fulton, Vincent Ganivet, Anna Gaskell, Nan Goldin, Douglas Gordon, Shilpa Gupta, Thomas Hirschhorn, Jenny Holzer, Roni Horn, Jonathan Horowitz, Douglas Huebler, Louis Jammes, Donald Judd, On Kawara, Zilvinas Kempinas, Idris Khan, Anselm Kiefer, Jeong A Koo, Joseph Kosuth, Joey Kötting, Jannis Kounellis, Delphine Kreuter, Barbara Kruger, David Lamelas, Bertrand Lavier, Louise Lawler, Sol LeWitt, Richard Long, Robert Mangold, Brice Marden, Agnes Martin, Gordon Matta-Clark, Adam Mcewen, Jonas Mekas, Jonathan Monk, Olivier Mosset, Rei Naito, Bruce Nauman, Rika Noguchi, Cady Noland, Dennis Oppenheim, Tsuyoshi Ozawa, Giulio Paolini, Adam Pendleton, Giuseppe Penone, Edda Renouf, Robert Ryman, Fred Sandback, Charles Sandison, Julian Schnabel, Rudolf Schwarzkogler, Richard Serra, Andres Serrano, David Shrigley, Ross Sinclair, Haim Steinbach, Jana Sterbak, Niele Toroni, James Turrell, Richard Tuttle, Cy Twombly, Salla Tykkä, Francesco Vezzoli, Lawrence Weiner

04/2023

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Cinéma

Le cinéma au défi des arts

Cet ouvrage rassemble des études s'efforçant de repenser à nouveaux frais la question des relations entre le cinéma et les arts plastiques. Cette question, vieille comme le cinéma, comporte une multitude d'"entrées", de facettes qui sont dans un premier temps synthétisées, puis explorées à partir de cas particuliers qui permettent de dépasser les généralités d'usage. Entre l'appel d'Aragon de 1918 à voir les avant-gardes s'emparer du cinéma et l'appropriation de plus en plus courante dans les arts actuels des techniques filmiques et du cinéma comme machine, spectacle, modalité temporalisée de la représentation, que s'est-il passé ? Pour qui se trouve, comme Charlot, à claudiquer de part et d'autre d'une frontière d'ailleurs incertaine entre ces deux "champs", la recherche des proximités et des différences s'impose sans cesse à l'esprit, mettant à jour l'inégalité de statut entre les oeuvres et leurs signataires de part et d'autre, mais aussi les continuels transferts, échanges, greffes et rapports de domination réciproque. Presque tous les grands artistes du XXe siècle ont été tentés (Picabia, Klein), ont pratiqué (Léger, Hains, Warhol, Serra, Nauman) ou ont côtoyé le cinéma (Picasso), y compris pour le refuser (Malevitch, Delaunay). Et bon nombre de cinéastes ont cultivé une affinité pictorialiste (Feuillade, Kubrick, Godard). Un curieux chassé-croisé règle bien souvent les rapports des cinéastes et des artistes : les premiers ont voulu très tôt légitimer leur "art" en reprenant à leur compte les valeurs esthétiques dont les artistes entendaient s'affranchir en recourant au contre-exemple du cinéma. De nos jours, les cinéastes indépendants et expérimentaux participent pleinement aux problématiques de l'art contemporain au point d'envisager leur "entrée au musée", et certains artistes opèrent un mouvement inverse en valorisant les attributs du cinéma industriel, son imagerie et es procédés narratifs. Les échanges et les contaminations n'ont donc pas cessé entre deux champs que l'économie continue cependant de séparer : les textes qu'on trouvera ici réunis abordent l'un "au risque" de l'autre.

03/2019

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Généralités médicales

L'histoire de la chirurgie. Du silex à nos jours, 3e édition revue et augmentée

Comme en témoigne la découverte d'ossements et d'outils, la chirurgie a connu depuis la plus haute Antiquité, un cheminement fait de luttes, de hasards, parfois d'erreurs, mais aussi de magnifiques avancées qui ont construit son Histoire, jalonnée de tâtonnements, de progrès et parfois de reculs. De Galien avec ses importantes recherches en anatomie, à Ambroise Paré, en passant par Vésale, Léonard de Vinci ou des chercheurs persévérants tels qu'Harvey, Malpighi, et bien d'autres, tous ces hommes ont contribué à la construction de l'édifice qu'est la chirurgie d'aujourd'hui. Reconnus comme médecins à part entière au début du XVIIIe siècle seulement, en France, puis rapidement dans l'Europe entière grâce au rôle déterminant du roi Louis XIV, les chirurgiens verront leurs interventions limitées du fait de l'absence d'anesthésie, et de la mortalité par infection. Au XIXe siècle, deux découvertes essentielles verront le jour : l'anesthésie (Wells et Morton) et l'asepsie (Semmelweis, Pasteur et Lister). Au XXe siècle se développeront la lutte contre l'infection, la transfusion sanguine, l'imagerie médicale, le laser chirurgical et les greffes d'organes. Une autre révolution, celle de la chirurgie endoscopique s'imposera à partir des années 80, grâce aux progrès de la fibre optique, de la caméra et de l'informatique. Les dix premières années de ce XXIe siècle seront particulièrement riches en innovations - chirurgie robotique, téléchirurgie, nanotechnologies - et en découvertes spécifiques dans chacune des disciplines chirurgicales. La chirurgie de demain nous promet des révolutions que l'on ne soupçonnait pas il y a une trentaine d'années, avec la possibilité d'intervenir au sein même de la cellule, de son noyau et dans les chromosomes eux-mêmes ! L'auteur nous invite à un voyage à travers l'Histoire de la chirurgie, à la rencontre de ses grandes personnalités, connues ou moins connues, et de leurs découvertes décisives pour le progrès de l'Humanité.

03/2018

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Histoire de la médecine

Allons médecins de la patrie.... Ce que la médecine civile doit à la médecine militaire

Quel est le point commun entre la blouse verte de votre dentiste, un bouillon cube, des neuroleptiques, un auto-injecteur d'insuline, le BCG et l'IRM ? Toutes ces innovations sont nées de l'inventivité et de l'expérience de la médecine militaire. "Médecine" , "militaire" , les deux mots semblent en totale contradiction. Quand le militaire blesse ou tue, le médecin soigne et sauve. Mais le corps étant l'outil de travail du soldat, le réparer et le préserver s'est vite avéré essentiel. En 1708, Louis XIV crée le Service de santé des armées et les premiers hôpitaux militaires. Il imagine même un établissement de soins de suite : les Invalides. L'inventivité des chirurgiens, médecins, pharmaciens et dentistes militaires pour soigner les combattants permettra des avancées médicales majeures. Ils les transmettront au monde civil. Parfois de façon originale : ainsi, un chirurgien de marine, fort de son expérience des épidémies, interviendra dans l'urbanisation de la ville de Rochefort, et l'auto-injecteur bien connu des enfants allergiques naîtra dans les trousses de secours des soldats. Car la médecine militaire s'invite plus souvent qu'on ne le pense au chevet des civils. D'Ambroise Paré, père de la chirurgie moderne et médecin de Charles IX, à Henri Laborit, découvreur des neuroleptiques, du "syndrome de stress post-traumatique" aux prothèses, de la kinésithérapie aux vaccins, en passant par les célèbres antibiotiques et les greffes de peau, l'auteur nous entraîne dans un voyage passionnant des champs de bataille aux hôpitaux. Après des études d'histoire, Elisabeth Segard s'est orientée vers l'information et la communication. Elle travaille comme journaliste à La Nouvelle République du Centre-Ouest. Auteur de plusieurs ouvrages, son livre Si fragiles et si forts, publié en 2021, a été le premier roman à présenter l'hôpital des Invalides au grand public. Il a été récompensé par le prix Srias Centre 2021.

02/2023