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Romans historiques

Les larmes d'Auschwitz Tome 1 : Résistance

"La guerre éclate en 1939 et avec elle, les espoirs et les rêves d'Anna s'envolent vers l'oubli. Une vie semée d'horreurs mais aussi d'amour lorsqu'elle croise le regard d'Adam, un soldat polonais engagé dans la Wehrmacht. A deux, ils s'impliquent dans la Résistance jusqu'au 6 juin 1944, jour du débarquement synonyme d'espoir pour les Français. Anna pensait naïvement que l'heure de la délivrance avait enfin sonné mais la réalité est tout autre. . ".

02/2019

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XXe siècle

La fille qui s'échappa d'Auschwitz

En franchissant les portes d'Auschwitz, Mala comprend que personne ne quitte jamais le camp vivant. Profitant de sa position d'interprète pour grapiller ce qu'elle peut, elle refuse de laisser la mort triompher et tente d'aider ses codétenues. Mais c'est en rencontrant Edward, ancien combattant et prisonnier politique, que son espoir renaît réellement. Selon lui, malgré les barbelés, les projecteurs et les mitraillettes, il y a une issue. Ils se font alors une promesse : ils s'enfuiront ensemble, ou ils mourront ensemble. L'histoire vraie de Mala Zimetbaum et Edward Galinski est l'une des plus grandes histoires d'amour du XX ? siècle.

09/2023

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Littérature anglo-saxonne

Moi, Dita Kraus. La bibliothécaire d’Auschwitz

Dita Kraus est née juive à Prague en 1929. Elle voit, avec les yeux d'une enfant, la montée du nazisme, puis est déportée à Auschwitz avec ses parents. Là-bas, elle est en charge de la bibliothèque. A la Libération, à 16 ans, elle retourne seule chez elle en Tchécoslovaquie. Ne trouvant plus sa place, elle choisit de partir en Israël où elle pourra enfin essayer de construire une vie. C'est une partie de l'histoire des Juifs ashkénazes que l'on découvre à travers ce récit. Celle d'une population qui, après avoir survécu à la guerre, s'est retrouvée face à la montée du communisme dans les pays de l'Est. Qui s'est vu à nouveau confisquer tous ses biens et s'est retrouvée contrainte d'émigrer dans un pays qui lui était étranger. Sans jamais céder au désespoir, Dita Kraus est restée une passeuse de savoir. Elle s'est battue pour l'éducation des esprits en devenant professeure, puis en allant témoigner aux quatre coins du monde afin d'honorer la mémoire des victimes de la Shoah et d'éviter que de telles atrocités se reproduisent.

08/2021

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XXe siècle

La fille qui s’échappa d’Auschwitz

Le nouveau roman d'Ellie Midwood, après le succès de La violoniste d'Auschwitz. Des millions de personnes ont franchi les portes d'Auschwitz, mais elle a été la première femme à s'échapper. Ce puissant roman raconte l'histoire vraie et inspirante de Mala Zimetbaum, dont l'héroïsme ne sera jamais oublié et dont le destin a changé le cours de l'histoire... Personne ne quitte Auschwitz vivant. Mala, matricule 19880, comprend qu'elle vient d'arriver en enfer au moment où elle descend du wagon à bestiaux à Auschwitz. En tant qu'interprète pour les SS, elle utilise sa position pour sauver autant de vies qu'elle le peut, faisant passer des miettes de pain aux autres détenus. Edward, matricule 531, est un ancien combattant du camp et un prisonnier politique. Bien qu'il ressemble à tout le monde, avec une tête rasée et un uniforme rayé, il est un combattant dans la résistance souterraine. Et il a un plan d'évasion. Mais quand ils se rencontrent, l'ombre sombre d'Auschwitz est illuminée par une lueur d'espoir. Edward fait croire à Mala l'impossible. Qu'en dépit d'être encerclés par des fils électriques, des mitrailleuses et des projecteurs, ils quitteront ce camp de la mort. Une promesse est faite - ils s'enfuiront ensemble ou ils mourront ensemble. Ce qui suit est l'une des plus grandes histoires d'amour de l'histoire...

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Historique

Adieu Birkenau. Une survivante d'Auschwitz raconte

En avril 1944, à 19 ans Ginette Kolinka est déportée au camp d'extermination Auschwitz II-Birkenau. Elle n'en parle pas durant 50 ans, avant d'accepter d'être filmée pour la "Shoah Foundation", que Steven Spielberg vient de créer. A la grande surprise de la septuagénaire, les souvenirs enfouis rejaillissent. Elle se lance à corps perdu dans le témoignage. En octobre 2020, à 95 ans, elle permet à Victor Matet et Jean-David Morvan de l'accompagner lors d'un de ses voyages de groupe en Pologne, à l'issue duquel elle décide de ne plus jamais revenir. Dans cet album bouleversant mis en images avec pudeur et puissance par Efa, Cesc et Roger, elle fait le point entre son premier et son dernier passage dans " le plus grand cimetière du monde " avec ce mélange unique de force, d'humour et d'espoir qui la caractérise.

09/2023

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Histoire de France

Signora Auschwitz. Le don de la parole

Un livre d'une rare densité qui s'inscrit dans la liste des ouvrages indispensables de la littérature de la Shoah. "Signora Auschwitz" est le nom qu'une lycéenne donne à Edith Bruck lors d'un de ses témoignages. Edith Bruck fait ici le récit de sa vie de rescapée et de témoin du génocide des Juifs. Elle raconte la douleur autant morale que physique née de deux aspirations apparemment contradictoires qui la tiraillent. D'un côté, témoigner pour se libérer en rendant justice aux victimes de la Shoah. De l'autre, ne plus parler d'Auschwitz pour tenter de revenir à une normalité pourtant définitivement perdue au camp. Tous les thèmes centraux liés au mal-vivre du survivant sont abordés : la perte irréparable des proches et du monde de l'enfance, l'incrédulité des auditeurs, l'impossibilité de transmettre la réalité d'Auschwitz et l'éloignement irrémédiable de cette expérience, le rôle et la place du témoin et la fatigue qu'Edith Bruck ressent face aux "jeunes", fatigue que son ami Primo Levi avait déjà exprimée. Signora Auschwitz bouscule l'image trop souvent naïve d'une mission juste et sage de témoigner.

10/2015

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Histoire de France

Dire Auschwitz. Ce que peuvent les mots

Le témoin est celui qui sait pour avoir vu. Henri Borlant a fait de son regard, non pas un métier, mais une activité dont l'essence fut la promesse faite à ceux qui ne sont pas revenus : Tu leur diras. Henri Borlant est un homme de parole. Il tient parole. Mais comment dire ? Avec quels mots ? des mots qu'il faut savoir adapter à des auditoires différents. Les mots d'Henri Borlant renferment des vies. Témoigner c'est enquêter sur les mots. Evoquer la Shoah c'est d'abord renoncer aux synonymes. Ce corps à corps avec le langage épuise, construit parfois l'insatisfaction de ne pas avoir été à la hauteur de ses promesses. Témoigner c'est encore accepter son impuissance à bâtir, comme le dit Henri Borlant, le récit exact des faits. Mais témoigner c'est aussi faire confiance à celui qui vous écoute et qui saura, dans les silences, les hésitations, les attitudes du témoin, y mettre ses propres mots. Auschwitz n'a pas englouti la parole, car l'interrogation sur le "comment dire", quatre-vingts ans plus tard, témoigne à son tour de notre condamnation à comprendre ce que fut cet improbable mais réel ailleurs : Auschwitz-Birkenau. Le terme génocide, la notion juridique de crime contre l'humanité dit, à son tour, la capacité de l'homme à créer un langage au plus près de ce que fut l'indicible. Les mots portent en eux la puissance de la vérité.

10/2019

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Histoire de France

Auschwitz. Les nazis et la "Solution finale"

Le 27 janvier 1945, l'armée Rouge pénètre dans le camp de concentration d'Auschwitz et libère les survivants. Le monde découvre un système d'une barbarie inouïe, jamais vue dans l'histoire de l'humanité : la " solution finale ", les chambres à gaz et les fours crématoires. S'appuyant sur les meilleures sources historiques et sur une centaine d'entretiens inédits avec d'anciens bourreaux comme avec des rescapés, Laurence Rees nous permet de comprendre de l'intérieur le fonctionnement de cette machine à tuer. La force et l'originalité de cette enquête unique sont de montrer comment les décisions qui ont abouti à la construction des camps ont mûri des années durant. Et l'on découvre, incrédule, qu'aujourd'hui encore nombre d'anciens nazis justifient leurs crimes par cette phrase simple et atroce : " Je pensais que c'était une bonne chose. "

09/2008

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Théâtre

Lait noir ou Voyage scolaire à Auschwitz

Pour Thomas, un adolescent à la dérive, ce voyage scolaire à Auschwitz est sa " dernière chance " avant l'exclusion. Ce nom n'évoque pas grand-chose pour lui. Mais ce qu'il découvre en visitant le camp provoque un tel choc qu'il rejette en bloc son identité allemande, et fugue. Il se retrouve au commissariat où le policier polonais Tomasz tente de reconstituer son histoire. Avec persévérance, en jouant sur les langues (il en parle quatre), il cherche à découvrir qui est ce jeune muet sans papier au crâne rasé. A la manière d'un thriller, la pièce va aussi révéler d'autres histoires dans l'Histoire... Ainsi Isabella, la fille de Thomasz, découvre-t-elle dans le grenier familial le journal d'une jeune fille, Marika, écrit pendant l'hiver 41/42. Quel lien avec sa propre histoire ? Une pièce en prise directe avec les problématiques contemporaines à la fois de mémoire et de xénophobie dont le titre Lait noir fait référence à un poème de Paul Celan, repris à la fin de la pièce.

10/2018

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Déportation

Génia et Aimé. Survivre ensemble à Auschwitz

Déportée en 1943 à Auschwitz, Génia est internée dans le bloc 10 des expérimentations. Elle a 19 ans. Au plus profond de l'horreur survient cette rencontre inattendue et salvatrice avec Aimé, résistant communiste, arrivé par le convoi dit des " 45 000 " et affecté un temps au bloc 11. Ensemble, ils résistent. Séparés lors de l'évacuation du camp et des marches de la mort qui les conduisent l'une à Ravensbrück, l'autre à Mauthausen, ils se retrouvent à Paris. Tous deux décideront de faire activement savoir ce qu'ils ont vécu. Le récit inédit de Génia, qui épousera Aimé Oboeuf après leur retour en France, fait triompher au coeur des camps de la mort, la force de l'amour et de la solidarité.

05/2022

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XXe siècle

J'ai raté le train pour Auschwitz

Le roman de sa vie commence comme une mauvaise histoire juive. Raflé à quatre ans par la milice, laissé à quai parce que ses ravisseurs décident de fêter Noël, Louis Durot est caché jusqu'à la fin de la guerre chez une éleveuse de chèvres avec treize autres enfants. Il découvre la sculpture en modelant dans la glaise les personnages qui dansent dans sa tête. Devenu un élève surdoué, il gagne sa vie en passant les examens des autres, tourne gigolo à Pigalle, s'engage dans les Jeunesses communistes avec Pierre Goldman et fréquente l'avant-garde artistique des années 60 : Arman, Martial Raysse, Christo, et surtout Jean Tinguely et Niki de Saint-Phalle ; il est aussi l'ami du sculpteur César dont il devient le bras droit. Un peu comme la mousse de polyuréthane, dont il est spécialiste en tant qu'ingénieur chimiste et qu'il a génialement façonnée pour lui donner la forme de ses rêves, Louis Durot utilise la matière de ses souvenirs pour livrer un récit tendre et mélancolique, irradié de vie et d'humour.

01/2024

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Généralités

"Auschwitz en héritage". De Karlsbad à Auschwitz, itinéraire d'une jeune fille dans l'enfer de la Shoah

"C'est bien" . Ce 15 avril 1945, Ruth Fayon est libérée par la 2e armée britannique. Elle a survécu à l'horreur de l'extermination des juifs par les nazis. Mais l'adolescente juive originaire de Tchécoslovaquie n'a pas la force de se réjouir. Elle est clouée sur sa paillasse puante du camp de Bergen-Belsen où les nazis, en pleine débandade l'ont déportée avec sa mère et sa soeur. Ruth, 16 ans, est à bout de force. Elle ne peut que lâcher ces quelques mots avant de sombrer dans le coma. "Je ne pesais plus que 30 kilos" , raconte aujourd'hui cette Genevoise d'adoption dans un témoignage exceptionnel qui retrace son parcours dans l'enfer de la Shoah. Theresienstadt, Birkenau, Hambourg et Bergen-Belsen... Celle qui est née à Karlsbad en 1928 est passée par les pires camps de concentration et d'extermination du régime hitlérien.

07/2021

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Histoire de France

LA VERITE EN HERITAGE. La violoncelliste d'Auschwitz

Nombreux furent les rescapés de l'extermination nazie à se demander, au lendemain de la guerre, comment dire l'indicible. Anita Lasker-Wallfisch, devenue depuis une violoncelliste de renommée internationale, a préféré garder le silence pendant plus de cinquante ans. Aujourd'hui enfin, elle raconte - pour ses enfants et ses petits-enfants. Inoubliable et bouleversant. Arrêtée avec sa soeur Renate en 1942 à Breslau, après la déportation de ses parents, cette jeune fille issue d'une famille juive cultivée va connaître la prison, puis l'enfer des camps. D'Auschwitz à Bergen-Belsen, les deux sœurs sont séparées, puis réunies. Sauvées par les talents de musicienne d'Anita qui est intégrée par Alma Rosé - la nièce de Gustave Mahler - à l'orchestre du camp, c'est grâce à leur détermination, à leur ingénuité parfois, et aussi à quelques hasards qui tiennent du miracle, qu'elles échapperont à la mort. Des années de cauchemar, une famille anéantie, un drame dont Anita Lasker-Wallfisch témoignera en 1945 au procès de Lüneburg où seront jugés ses bourreaux. C'est avec une sobriété exemplaire et un souci de stricte exactitude que l'auteur retrace son terrible parcours. Récit d'une force et d'une justesse extraordinaires, contribution essentielle au devoir de mémoire et de transmission aux générations à venir, le livre d'Anita Lasker-Wallfisch continue de nous hanter longtemps après avoir été refermé.

01/1999

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Histoire internationale

La peur. L'antisémitisme en Pologne après Auschwitz

La Pologne de 1945 est sans doute la seule nation d'Europe où l'on dissimule le fait d'avoir sauvé des Juifs durant la guerre. Le pays a alors perdu 90 % des 3,5 millions de Juifs qui y vivaient. Malgré cela, les rares survivants sont accueillis avec animosité à leur retour des camps de concentration ou de leur exil en URSS. L'antisémitisme est très virulent : davantage de Juifs y sont tués après 1945 qu'avant 1939. Et le plus meurtrier des pogroms en temps de paix se déroule dans la ville de Kielce le 4 juillet 1946. Jan T. Gross tente de comprendre comment cela fut possible. Il reconstitue minutieusement le pogrom de Kielce, en s'appuyant sur des documents d'archives et des témoignages, et étudie les réactions des Polonais témoins du meurtre de leurs concitoyens juifs. Il dissèque les réactions, en particulier au sein de l'intelligentsia, que suscitèrent ces meurtres, ces lapidations publiques. Partant du postulat que l'antisémitisme persistant n'est pas la simple continuation des comportements d'avant-guerre, Gross analyse les positions de la résistance polonaise, de l'Eglise catholique et des forces liées au régime instauré en Pologne après le conflit. Il s'attaque notamment au mythe du " judéo-communisme " polonais, qui voudrait que les Juifs aient participé à l'instauration du nouveau régime. Ce dernier a au contraire achevé de vider la Pologne de ses derniers Juifs. Depuis plus d'un demi-siècle, la culpabilité et la honte ont entouré le sort des derniers survivants de la Shoah en Pologne. Avec passion mais lucidité, Jan T. Cross fait enfin la lumière sur ces événements.

09/2010

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Histoire de France

Rester humain ! Leçons d'Auschwitz et de Ravensbrück

Les Juifs sont des gens comme les autres Cette déclaration d'Adélaïde Hautval, scandalisée par l'obligation faite aux juifs de porter l'étoile jaune, en juin 1942, lui vaut d'être marquée à son tour comme n Amie des Juifs u. Au camp de Pithiviers, elle assiste à l'arrivée, puis à la déportation des familles du Vel' d'Hiv', dont elle tente comme médecin de soulager la peine. Elle est elle-même déportée à Auschwitz puis Ravensbrück en janvier 1943, dans le convoi dit des " 31 000 u, avec plus de deux cents résistantes françaises, dont Danielle Casanova, Charlotte Delbo, Marie-Claude Vaillant-Couturier. Refusant systématiquement d'aider les médecins nazis du Block 10 dans leurs "expériences", Haidi (son surnom à Ravensbrück) organise une multiplicité d'actes de résistance pour protéger et sauver ses co-détenues. Après la guerre elle a témoigné des actes criminels des médecins nazis, a été nommée très tôt Juste parmi les Nations, et s'est engagée pour des causes humanitaires. Grâce à la persévérance de Georges Hauptmann, son nom a été attribué à un hôpital en région parisienne, une allée et un groupe scolaire.

06/2018

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Documentaires jeunesse

Voyage à Auschwitz. Récit d'un jeune Rrom

En 2014, Nikolaï un jeune garçon rrom, part à Auschwitz pour commémorer le génocide qui a frappé sa communauté durant la Seconde Guerre mondiale. A travers son témoignage poignant, il évoque le choc de cette visite dans l'ancien camp de la mort qui le pousse à s'interroger sur l'intégration des Rroms aujourd'hui en Europe. Avec sensibilité et justesse, l'auteur évoque les drames vécus dans son enfance et les difficultés rencontrées au quotidien. Courageux et lucide, il fait face aux préjugés, à la bêtise et à l'ignorance.

07/2020

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Histoire de France

Auschwitz et après. Tome 2, Une connaissance inutile

Alors vous saurez qu'il ne faut pas parler avec la mort c'est une connaissance inutile Une connaissance inutile est le troisième ouvrage de Charlotte Delbo sur les camps de concentration. Après deux livres aussi différents par leur forme et leur écriture que Aucun de nous ne reviendra et Le Convoi du 24 janvier, c'est dans un autre ton qu'on lira ici Auschwitz et Ravensbrück. On y lira plus encore une sensibilité qui se dévoile à travers les déchirements. Si les deux précédents pouvaient apparaître presque impersonnels par leur dépouillement, dans celui-ci elle parle d'elle. L'amour et le désespoir de l'amour - l'amour et la mort ; l'amitié et le désespoir de l'amitié - l'amitié et la mort ; les souffrances, la chaleur de la fraternité dans le froid mortel d'un univers qui se dépeuple jour à jour, les mouvements de l'espoir qui s'éteint et renaît, s'éteint encore et s'acharne... Auschwitz et après, aux Editions de Minuit : I. Aucun de nous ne reviendra (1970), II. Une connaissance inutile (1970), III. Mesure de nos jours (1971).

01/2016

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Romans historiques

L'irréparable. Pithiviers, sur le chemin d'Auschwitz

Juillet 1942. Après la rafle du Vel d'Hiv, parents et enfants vont être parqués dans des camps d'internement dans l'attente d'un départ pour Auschwitz. Deux fillettes vont se retrouver, l'une juive, l'autre non, l'une libre, l'autre non. Elles se sont liées d'amitié trois ans plus tôt durant un séjour en colonie de vacances. Elles vont échanger par-delà les barbelés. Mais bientôt, leur destin va basculer. L'horreur, la peine, le chagrin, l'espoir vont se jouer des protagonistes. L'irréparable a été commis et fera naître un secret qui perdurera la guerre passée.

01/2017

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Histoire de France

L'homme qui s'est infiltré à Auschwitz

L'Homme qui s'est infiltré à Auschwitz raconte l'histoire véridique d'un soldat britannique qui s'est clandestinement introduit dans le camp de concentration de Buna-Monowitz, également connu en tant qu'Auschwitz III. A l'été 1944, Denis Avey était détenu, en tant que prisonnier de guerre, dans un camp de travail, l'E 715, près d'Auschwitz III. Au courant des violences infligées aux détenus, il a résolu d'être témoin de ce qui se passait là-bas. Il a conçu un plan consistant à prendre la place d'un prisonnier juif et pénétrer en catimini dans un secteur du camp où il a passé la nuit à deux reprises. Il a été témoin de la cruauté qui régnait en ce lieu où des travailleurs esclaves étaient condamnés à trimer jusqu'à ce que mort s'ensuive. Chose incroyable, il a survécu à la marche de la mort au cours de laquelle des milliers de prisonniers ont été tués par les Nazis à mesure qu'avançait l'Armée rouge. À l'issue de son long périple dans le centre de l'Europe, il a enfin été rapatrié en Grande-Bretagne. Pendant des dizaines d'années, il n'a pu se résoudre à revisiter le passé qui hantait ses rêves mais, à présent, Denis Avey se sent enfin capable de raconter son histoire - aussi prenante qu'émouvante. Son récit nous offre un rare aperçu de l'état d'esprit d'un homme ordinaire au courage insensé.

09/2012

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Philosophie

Le poncif d'Adorno. Le poème après Auschwitz

" Ecrire un poème après Auschwitz est barbare. " Ce " verdict " de Theodor Adorno, cité souvent par ouï-dire et répété à tout propos, a été transformé en poncif. Utilisé comme mantra. Sans égard au sens que la proposition, métamorphosée ainsi en " sentence ", pouvait avoir pour Adorno et ce qu'elle impliquait. Il est indispensable donc d'en voir le contexte. Il faut surtout relire d'autres écrits d'Adorno consacrés à cette question fondamentale et paradoxale : l'impossibilité et, en même temps, la nécessité de l'art dons un monde qui a survécu à sa propre ruine. Poète d'un tel monde, Paul Celan a cru, à tort comme on peut le constater, que c'était lui qui avait été visé par " le verdict ". La conception paradoxale de l'art que cela impliquait a métamorphosé sa poésie. Et il attendait d'Adorno - disparu avant de pouvoir le faire - qu'il consacre un livre à ses poèmes. Ce sont des heideggériens qui ont écrit de tels livres, en faisant de Celan " le poète de Heidegger ". Tout à l'opposé donc du supposé " verdict " d'Adorno - utilisé ainsi pour le discréditer avec toute la " théorie critique " en allant jusqu'à transformer Heidegger, à cause même de ses " errances ", et parce qu'il serait seul à l'écoute de " La Poésie du monde ", " le philosophe ayant sauvé "Auschwitz " ". Ce qui exige un retour sur sa philosophie.

10/2018

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Critique littéraire

Emile : j'ai survécu à Auschwiitz

L' histoire que je raconte est le témoignage de 3 déportés dont deux sont revenus des camps de concentrations et qui ont su survivre aux privations, aux coups, à la faim, aux maladies, à la misère et qui ont su rester vivant, pour deux d'entre eux, pour pouvoir témoigner de ce que les Nazis ont fait, leurs crimes, et pour ne plus voir ça !

02/2015

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Philosophie

L'HISTOIRE DECHIREE. Essai sur Auschwitz et les intellectuels

Auschwitz nous confronte à une déchirure de l'histoire qui ne cesse de s'approfondir, dialectiquement, au fur et à mesure qu'elle s'éloigne de nous dans le temps. Aujourd'hui central, voire obsédant dans notre mémoire du XXe siècle, le génocide juif a été presque ignoré par la culture occidentale au moment où il a été perpétré. Face à cet aveuglement - dont les Réflexions sur la question juive de Sartre constituent sans doute l'exemple le plus paradoxal et le plus frappant -, ce sont les exilés judéo-allemands et les rescapés du massacre nazi qui, entre les années quarante et soixante, essayent de penser Auschwitz. Ce livre leur est consacré. Il explore un paysage intellectuel qui va de Paris à New York, d'une Europe encore en ruine à une Amérique devenue terre d'exil. Il prête son attention à la philosophie (Adorno, Anders) et à la pensée politique (Arendt), sans exclure certaines manifestations littéraires (Levi, Améry) ou même poétiques (Celan). Ethique et épistémologique à la fois, la réflexion de ces intellectuels sonde la relation d'Auschwitz aux violences du XXe siècle, analyse la complicité inédite et terrifiante que les camps de la mort révèlent entre la modernité et la barbarie, entre la rationalité technique et l'extermination de masse, désigne enfin les interrogations que ce génocide pose et les blessures qu'il inflige à la culture. Autant de questions qui demeurent au centre du débat actuel.

09/1997

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Littérature étrangère

Les naufragés et les rescapés. Quarante ans après Auschwitz

" C'est arrivé et tout cela peut arriver de nouveau : c'est le noyau de ce que nous avons à dire. " Primo Levi (1919 - 1987) n'examine pas son expérience des camps nazis comme un accident de l'Histoire, mais comme un événement exemplaire qui permet de comprendre jusqu'où peut aller l'homme dans le rôle du bourreau ou dans celui de la victime. Quelles sont les structures d'un système autoritaire et quelles sont les techniques pour anéantir la personnalité d'un individu ? Quel rapport sera créé entre les oppresseurs et les opprimés ? Comment se crée et se construit un monstre ? Est-il possible de comprendre de l'intérieur la logique de la machine de l'extermination ? Est-il possible de se révolter contre elle ? Primo Levi ne se borne pas à décrire les aspects des camps qui restaient obscurs jusqu'à aujourd'hui, mais dresse un bilan pour lutter contre l'accoutumance à la dégradation de l'humain.

03/1989

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Histoire de France

Auschwitz et après. Tome 3, Mesure de nos jours

Et toi, comment as-tu fait ? pourrait être le titre de ce troisième volume de Auschwitz et après. Comment as-tu fait en revenant ? Comment ont-ils fait, les rescapés des camps, pour se remettre à vivre, pour reprendre la vie dans ses plis ? C'est la question qu'on se pose, qu'on n'ose pas leur poser. Avec beaucoup d'autres questions. Car si l'on peut comprendre comment tant de déportés sont morts là-bas, on ne comprend pas, ni comment quelques-uns ont survécu, ni surtout comment ces survivants ont pu redevenir des vivants. Dans Mesure de nos jours Charlotte Delbo essaie de répondre, pour elle-même et pour d'autres, hommes et femmes, à qui elle prête sa voix.

10/2011

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Documentaires jeunesse

Auschwitz. L'histoire d'un camp d'extermination nazi

Entre mars 1942 et janvier 1945, plus d'un million de Juifs ont été assassinés à Auschwitz-Birkenau, systématiquement et de sang-froid. Au cœur de l'Europe et au milieu du XXe siècle, des personnes apparemment ordinaires ont commis ce crime. Comment cela s'est-il produit ?

04/2002

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Histoire internationale

Auschwitz, l'horreur par ceux qui l'ont créée

Le 27 janvier 1945, l'armée soviétique libérait le camp d'Auschwitz. Soixante-quinze ans après, cet ouvrage reste un des quelques livres essentiels sur le sujet. Rudolf Höss a été pendu à Auschwitz en exécution du jugement du 4 avril 1947. C'est au cours de sa détention à la prison de Cracovie, et dans l'attente du procès, que l'ancien commandant du camp d'Auschwitz a rédigé cette autobiographie sur le conseil de ses avocats et des personnalités polonaises chargées de l'enquête sur les crimes de guerre nazis en Pologne. Conçu dans un but de justification personnelle, mais avec le souci d'atténuer la responsabilité de son auteur en colorant le mieux possible son comportement, celui de ses égaux et des grands chefs SS, ce document projette une lumière accablante sur la genèse et l'évolution de la Solution finale et du système concentrationnaire. Cet ouvrage rassemble de façon inédite trois documents dont les auteurs ne sont autres que des SS en fonction au camp d'extermination d'Auschwitz. Le premier est une partie des mémoires de Rudolf Höss, commandant du camp, mémoires qu'il rédigea en prison en attendant d'être jugé à Nuremberg et qui constituent le témoignage le plus complet sur le fonctionnement du camp d'Auschwitz. Son système d'extermination, ainsi vu par un haut responsable nazi, est décrit avec une minutie insoutenable... Vient ensuite le "Journal" de Johann Kremer, médecin du camp. Ce texte a été rédigé au jour le jour durant le conflit. Constitué principalement de notes personnelles, il expose les différentes expériences inhumaines auxquelles étaient soumis les prisonniers. Le troisième document est un mémorandum de Pery Broad, gardien du camp avant d'être nommé fonctionnaire de La Politische Abteilung, la Gestapo du camp. Après La guerre, sachant qu'il n'échapperait pas à la justice, Pery Broad se constitua prisonnier auprès d'un officier britannique. Espérant gagner les faveurs ou la clémence des vainqueurs, il décrit dans un manuscrit toutes les horreurs commises durant l'exercice de ses fonctions au camp. Un ouvrage qui entraine le lecteur dans un voyage au bout de L'enfer et qui permet de comprendre que la "Solution finale" était un processus planifié, organisé et réalisé par chacun de ses acteurs, chacun dans son secteur et chacun à La mesure de ses fonctions et de ses compétences.

01/2020

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Religion

Avec toi mon peuple ! Edith Stein, martyre à Auschwitz

Birkenau, terminus d'Auschwitz... Dès le début de l'année 1942, en pleine Seconde Guerre mondiale, les premiers convois de juifs arrivent dans le camp de concentration. Dans l'un de ces convois se trouvent Édith Stein - soeur Thérèse-Bénédicte de la Croix -, carmélite, et sa soeur Rosa. Très vite, la religieuse est surnommée dans le camp "l'ange de la consolation". Née dans une famille juive, "tendre et passionnée, ardente et loyale", Édith a mené une vie hors du commun. Avide de savoir, elle fait de brillantes études de philosophie, qu'elle enseigne, écrit beaucoup et se distingue par son engagement militant. Mais quel émerveillement pour elle lorsqu'elle découvre la foi catholique !

03/2013

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SHOAH,PERSECUTIONS ANTISEMITES

Ma grand-mère, cette jeune polonaise morte à Auschwitz

Dans ce livre, Dominique retrace la mémoire de sa mère, Louise, qui a toujours vécu en pensant avoir été abandonnée par sa mère biologique. Elle découvre que celle-ci était une jeune juive polonaise, déportée à Auschwitz en août 1942. Louise Lewkowitz, rebaptisée Liliane Demeuter, a été recueillie par un couple qui la protégera des nazis. Mais, à 12 ans, fini la clandestinité. L'adolescente doit reprendre sa véritable identité avec pour seule explication " ta mère ne viendra jamais te chercher ". Liliane se sent alors comme une étrangère. Mieux vaut ne pas poser de questions. Liliane répète pourtant souvent à sa propre fille : " tu te rends compte, elle m'a abandonnée. Je mourrai sans savoir à quoi elle ressemblait ". Dominique entame alors des recherches. Des documents attestent bien que Louise a été reconnue par sa mère biologique. Toutes deux ont des dossiers à l'Office des étrangers, aujourd'hui consultables. A 68 ans, " Liliane " y découvre une photo, un visage tant attendu. La sexagénaire visite alors la Pologne, les camps de concentration, arrête même ses antidépresseurs pourtant prescrits à vie... Les médias relateront son histoire touchante et bouleversante.

01/2023

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Histoire de France

Mélodies d'Auschwitz. Et autres récits sur les camps

" Deux ans se sont écoulés depuis la Libération et, malgré toutes les enquêtes qui ont été faites, malgré la quantité de livres parus, malgré même les films tournés sur les camps de concentration, mes interlocuteurs sont toujours stupéfaits chaque fois qu'il m'arrive de parler dAuschwitz en général, et de son activité musicale en particulier. "Comment ? disent-ils, il y avait donc une musique dans votre camp ? A quoi servait-elle ? Quel était son but ? Qu'y jouiez-vous ? Des marches funèbres ? " Bien d'autres questions encore m'ont été posées. Toutes m'ont paru naïves, mais justifiées, étant donné l'ignorance complète de la question. Or, il y avait bien une musique - Kommando Lagerkapelle - au camp dAuschwitz, comme il y en avait une dans chaque camp allemand qui se respectait... Et cette musique, partie essentielle de l organisation des camps, était, aussi paradoxal que cela puisse paraître, un accessoire, et non des moindres, de sa police intérieure." Ce volume réunit _les deux livres que Simon Laks écrivit sur l'orchestre d'Auschwitz-Birkenau qu'il fut amené à diriger pendant plus de deux ans. Le premier, Musiques d'un autre monde, fut publié peu après son retour en France, en 1948. Préfacé par Georges Duhamel, il reçut à l'époque le prix Vérité, et n'a jamais été reproduit depuis. Le second, Mélodies dAuschwitz, écrit en polonais trente ans plus tard, fut publié à Londres en 1979, avant d'être traduit en plusieurs langues. Sa version française, publiée aux Editions du Cerf en 1991, est reprise dans le présent volume, qui contient d'autres textes inédits, dont trois essais d'Annette Becker, de Frank Harders-Wuthenow, et du propre fils de Simon Laks, André Laks.

11/2018

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Histoire internationale

Le rapport Pilecki. Déporté volontaire à Auschwitz, 1940-1943

Varsovie, 19 septembre 1940 : un officier de réserve polonais se fait volontairement arrêter lors d'une rafle par l'armée allemande. Son nom : Witold Pilecki. Sa mission : être interné dans le camp d'Auschwitz pour y constituer un réseau de résistance. Témoin tragique d'une des pages les plus sombres de l'histoire de l'humanité, après presque mille jours passés dans l'antre du crime nazi, il est le premier homme à informer des conditions effroyables de détention à Auschwitz. Constatant qu'aucune intervention extérieure n'est menée, il s'évade au printemps 1943 pour raconter lui-même l'enfer concentrationnaire qu'il vient de vivre. "Dire ce que nous ressentions permettra de mieux comprendre ce qui s'est passé": le Rapport Pilecki constitue la mémoire vive d'un homme qui fut l'un des plus grands résistants de la Seconde Guerre mondiale. Arrêté et condamné pour espionnage par les communistes, il est exécuté clandestinement en 1948 à l'âge de 47 ans.

04/2014