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Société et citoyenneté

Tous différents mais tous égaux ? Et toutes les questions que tu te poses sur le sexisme, le racisme et bien d'autres discriminations

L'égalité, ça veut dire quoi ? Une insulte, c'est une discrimination ? C'est quoi le sexisme ? Comment devient-on raciste ? Racisme, sexisme, xénophobie, homophobie... cet ouvrage illustré avec humour répond aux questions que les enfants se posent sur les discriminations !

02/2021

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Critique littéraire

Renart le contrefait, d'après le manuscrit BnF fr. 1630. Pack en 2 volumes

Roman encyclopédique rassemblant les savoirs d'un érudit du XIVe siècle, oeuvre reliquaire destinée à l'édification, "Renart le contrefait" est l'ultime épigone que le Moyen Age ait donné au "Roman de Renart". Son auteur, un clerc anonyme chassé des ordres pour bigamie, réécrit diverses aventures du goupil afin d'enseigner à ses lecteurs la voie étroite permettant d'utiliser l'art de Renart sans pour autant perdre son âme. Comme dans d'autres récits tardifs, le goupil incarne le mal qui ronge ce siècle, le modèle de ce qu'un "preudhomme" doit éviter, félonie, orgueil, luxure et gloutonnerie. Mais de manière plus inédite, il lui arrive de brider ses instincts animaux et d'obéir à la Raison. Il devient alors un exemple de la prudence et de la persévérance à suivre si l'on veut déjouer les coups du sort et les assauts de la Fortune, un miroir auquel s'identifier, une figure de l'auteur et du romancier. Le manuscrit BnF français 1630, qui conserve la première version de l'oeuvre, composée entre 1320 et 1327, n'avait encore jamais été édité en intégralité et n'était connu que par des extraits. La présente édition cherche à rendre justice au talent et aux mérites de ce clerc champenois injustement méconnu, tout en s'efforçant d'identifier les multiples textes dont s'est nourrie sa création.

10/2020

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Sociologie

Racisme et modernité. Actes du colloque Trois jours sur le racisme, 5-7 juin 1991, Créteil

Actes du colloque " 3 jours sur le racisme " organisé par le mensuel PASSAGES ET LA MAISON DES SCIENCES DE L'HOMME. Néo-racisme, racisme culturel, institutionnel, symbolique, subtil... en une vingtaine d'années, le concept de racisme n'a cessé de s'enrichir, en même temps qu'un constat s'imposait : le racisme contemporain ne peut plus, ou plus seulement, être pensé dans les catégories de sa période classique. Une inflexion - voire une rupture - s'est produite, au point qu'il faut aujourd'hui s'interroger. Jusqu'où le teme même de racisme est-il encore approprié, quelle continuité y a-t-il entre les doctrines organicistes du passé, et les expressions les plus récentes du phénomène, qui semblent souvent procéder avant tout de références à la différence culturelle ? Cet ouvrage se propose donc de construire, de reconstruire un objet - le racisme - qui s'est développé avec l'essor de la modernité et qui trouve un second souffle dans sa crise, voire dans ce que certains considèrent son dépassement postmoderne. Une telle mise au point ne peut supporter ni l'enfermement dans une seule discipline, ni l'ethnocentrisme. Elle doit prendre en compte, comme dans ce livre, l'épaisseur historique et la diversité du phénomène, et examiner les outils disponibles pour son analyse. Elle doit, enfin, apporter un éclairage utile à ceux qui ne se contentent ni de la bonne conscience de l'antiracismen, ni de celle que peut procurer la critique de l'antiracisme.

02/1993

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Histoire internationale

Rwanda, racisme et génocide. L'idéologie hamitique

La catastrophe extrême a été le génocide des Tutsi du Rwanda en 1994, accompagné du massacre de Hutu considérés comme traîtres à leur "sang". Les efforts de reconstruction sont visibles, parfois même spectaculaires. Mais, depuis vingt ans, les violences dérivées n'ont pas cessé dans la région, notamment dans l'Est du Congo. L'objet de ce livre se situe dans une longue durée, jusqu'au temps présent, mais surtout en amont de la crise des années 1990, afin de mettre au jour la construction de l'idéologie distinguant les "vrais Africains" des "faux nègres", ceux qu'on a appelés les Hamites depuis les années 1860 dans la littérature spécialisée de l'époque. Ce schéma racial est né dans le même creuset intellectuel que celui opposant Aryens et Sémites, c'est-à-dire le fantasme qui a embrasé l'Europe dans les années 1930-1940. Le génocide des Tutsi n'a pas été improvisé en fonction d'une conjoncture. Il n'était pas non plus une fatalité inscrite dans les gènes de la population rwandaise : ce n'est pas un objet ethnographique. Il est le produit, très moderne, d'une option politique extrémiste, jouant ouvertement du racisme comme arme de contrôle du pouvoir. Les médias qui en ont été les vecteurs efficaces l'attestent sans ambages. Mais cette mise en condition de tout un pays aurait été impossible sans l'inscription durable dans la culture de la région des Grands lacs d'une idéologie intrinsèquement raciste, discriminant, sous les étiquettes hutu et tutsi, des autochtones et des envahisseurs, une majorité naturelle et une minorité perverse, le "vrai peuple" rwandais et une race de "féodaux". Les auteurs ont travaillé depuis des années sur ce chapitre durablement méconnu de l'histoire de l'Afrique, qui est à la fois celui d'une anthropologie devenue folle et celui de manipulations politiques de diverses provenances.

09/2013

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Ethnologie et anthropologie

Sudalisme. L'imaginaire qui nourrit le racisme

Ce livre d'anthropologie s'appuie sur une longue expérience des milieux francophones de l'alphabétisation des migrants. Son objet n'est pourtant en rien le processus d'alphabétisation ou d'enseignement de la langue française à des migrants, mais bien la rencontre des imaginaires des deux groupes d'interlocuteurs principaux rencontrés par J. Piolat : les enseignants, majoritairement euro-descendants, et les migrants de première génération, en majorité musulmans. Au fil de sa recherche, Piolat constate que, si des relations amicales se nouent souvent entre les enseignants euro-descendants et le public migrant, certains discours et postures associatifs, relatifs aux migrants extra-occidentaux, se révèlent souvent disqualifiants, réducteurs, infantilisants, énonçant les univers de référence de ces derniers comme sexistes, intellectuellement assez vides, superstitieux et religieusement rigoristes. Dans ces discours associatifs, en phase avec ce que l'on entend dans les médias, l'islam...

02/2023

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Faits de société

Le racisme est un problème de Blancs

"Quand des Blancs feuillettent un magazine, surfent sur Internet ou zappent à la télévision, il ne leur semble jamais étrange de voir des gens qui leur ressemblent en position d'autorité. Les affirmations positives de la blanchité sont tellement répandues que le Blanc moyen ne les remarque même pas. Etre blanc, c'est être humain ; être blanc, c'est universel. Je ne le sais que trop, car je ne suis pas blanche". Après l'élection de Barack Obama, certains ont proclamé l'avènement d'une société post-raciale. Nous en sommes loin, montre Reni Eddo-Lodge dans cet essai important qui analyse les méfaits d'un racisme structurel persistant d'autant plus sournois qu'il avance masqué. Car le racisme va bien au-delà de la discrimination ou de l'injure personnelle : il imprègne le récit historique, l'imaginaire collectif, les institutions et les entreprises. Pourquoi les Blancs pensent-ils ne pas avoir d'identité raciale ? Pourquoi la simple idée d'un James Bond noir fait-elle scandale ? Comment une fillette noire en vient-elle à se persuader qu'en grandissant, elle deviendra blanche ? Le racisme n'est pas une question de valeur morale, mais d'exercice du pouvoir. Entretenir la légende d'une égalité universelle n'aide en rien. Au contraire. Car, pour déconstruire le racisme, il faut commencer par reconnaître l'étendue du privilège blanc.

09/2021

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Historiens

Racisme. Une autre histoire de l'Amérique

" Quand on se tourne vers le passé, on se demande souvent pourquoi des générations d'Américains n'ont pas résisté au commerce des esclaves, à l'esclavage, à la ségrégation, ou aujourd'hui à l'incarcération de masse. La raison, ce sont les idées racistes. " Dans ce récit au long cours, Ibram X. Kendi, penseur incontournable de l'antiracisme, nous confronte au passé sombre et douloureux des Etats-Unis, étroitement lié à celui de l'Europe coloniale. Loin de l'American dream triomphant, défilent sous nos yeux cinq cents ans d'une autre histoire américaine, celle des Noirs, celle des dominés condamnés à subir les inégalités raciales qui n'ont cessé de perdurer à travers les siècles. Le racisme n'a pas simplement prospéré grâce à l'ignorance et la haine. Il résulte d'un long et complexe processus historique qui a vu s'opposer les idéologies assimilationniste, ségrégationniste et antiraciste. Dans un contexte social à vif, marqué par les violences policières, les inégalités et le déploiement du mouvement militant Black Lives Matter, l'ouvrage d'Ibram X. Kendi décrypte les enjeux raciaux actuels et nous permet de prendre du recul sur l'un des problèmes socio-culturels les plus difficiles à résoudre. " Un récit historique absolument passionnant [...] La réflexion de Kendi prolonge pour nous Howard Zinn et son célèbre livre Une histoire populaire des Etats-Unis de 1492 à nos jours. " Fondation Lilian Thuram " Le racisme n'est pas une question individuelle et c'est ce que démontre le travail d'Ibram X. Kendi avec brio [...] Dans un élan salutaire, il nous offre des lunettes modernes pour comprendre le monde, le questionner et mieux le repenser dans une perspective enrichie par la pluralité des points de vue. " Rokhaya Diallo

10/2021

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discriminations, exclusion, ra

Où commence le racisme ?. Désaccords et arguments

Où et quand commence le racisme ? Pour y voir plus clair, nous avons réuni deux philosophes de la nouvelle génération qui sont aussi des militants de l'antiracisme. Ayant été confrontés très tôt, dans leur vie personnelle, à l'expérience du racisme, Marylin Maeso et Norman Ajari se livrent à une discussion franche et ouverte sur les divergences profondes qui les séparent, jusqu'à la définition même du racisme.

05/2023

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discriminations, exclusion, ra

L'autre et nous. Racisme et antisémitisme

Une recrudescence des discriminations frappe les sociétés démocratiques : sur les réseaux sociaux comme dans l'espace public, l'autre est de plus en plus souvent rejeté en raison de sa différence (couleur de peau, croyance, origine sociale, ascendance, préférence sexuelle, etc.). Ces aversions multiples sont-elles toutes de même nature ? L'antisémitisme est-il un racisme comme les autres ? Face à de telles questions, cet essai interroge les obsessions identitaires dans leurs expressions contemporaines (wokisme, indigénisme, décolonialisme, intersectionnalité, suprémacisme, etc.) pour penser les nouvelles lignes de fractures qui segmentent nos sociétés. Comment expliquer la remise en cause de l'universalisme qui condamnait toute ségrégation au nom d'un seul principe, l'unité du genre humain ? Quel rapport à l'Autre (re)construire pour garantir le respect et la dignité de chaque personne ?

10/2023

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Droit

Racisme dans la police - Mensonges ou Réalité ?

L'affaire d'Aulnay-sous-Bois et le viol présumé de Théo, un jeune noir de 22 ans, dont le contrôle d'identité a mal tourné, dans le courant du mois de Janvier 2017, a suscité et suscite encore de vives réactions dans les banlieues de la Région Parisienne et dans les villes de province, avec des manifestations regroupant des foules importantes, mais aussi, hélas, leur lot de casseurs, qui s'en prennent aux forces de l'ordre. L'émoi suscité par cette affaire soulève une question fondamentale dans notre République : NOTRE POLICE EST-ELLE RACISTE ?

03/2017

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Sociologie

Racisme, antisémitisme, antiracisme. Apologie pour la recherche

Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation, s'est inquiétée en février 2021 de l' " islamo-gauchisme " qui, selon elle, " gangrène " les Universités. Ses déclarations ont suscité émotion et colère parmi les universitaires, qui ont signé en grand nombre une pétition demandant sa démission. La ministre a demandé dans le même contexte une " enquête au sens sociologique du terme ", un " état des lieux ", un " bilan de l'ensemble des recherches " sur " l'ensemble des radicalités qui traversent notre société " - au risque d'alimenter les passions, mais aussi le climat néo-maccarthyste et les menaces pesant sur les libertés académiques. D'où ce rapport, qui ne s'arrête ni aux propos confus et mal informés de la ministre, ni aux réactions qu'ils ont entraînées. Il traite du fond, et apporte de quoi alimenter la réflexion par des éléments relatifs au racisme, à l'antisémitisme et à l'antiracisme tels qu'ils sont abordés par la recherche, non sans tensions ni dérives. Un pamphlet brûlant et qui vient éclairer les divisons qui agitent le monde universitaire comme le montre la mise sous protection policière de trois enseignants de Grenoble.

04/2021

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Histoire des mentalités

Aux origines du racisme moderne. 1789-1791

La naissance du préjugé de couleur. Débat esclavage / abolition au tournant de la Révolution. Qu'est-ce qu'un "? noir ? ", un "? métis ? ", un "? blanc ? " en plein siècle des Lumières, alors que la France pense créer la figure de l'homme universel ? Cet ouvrage fait revivre le grand débat qui vit s'affronter, sous la Révolution, adversaires et partisans du préjugé de couleur, querelle ouverte par la remise en cause de l'ordre esclavagiste dans les colonies françaises d'Amérique. Deux hommes s'opposent : Julien Raimond, riche métis libre des Antilles, fondateur de la Société des Citoyens de Couleur, et Moreau de Saint-Méry, porte-parole des colons et opposé à toute réforme. Le combat de Julien Raimond, lui-même propriétaire d'esclaves, ne porte pas d'abord sur l'abolition. Il veut avant tout défendre les hommes libres de couleur, qui en 1771 avaient été privés de leurs droits politiques. Ce n'est que peu à peu que sa position évolue et qu'il prône la fin de l'esclavage (effectivement aboli une première fois en 1794). A partir d'archives inédites, Florence Gauthier offre de nouvelles perspectives pour comprendre le clivage qui oppose en France et dans le monde les ambitions du différentialisme à celles de l'universalisme et de son unité affirmée du genre humain.

04/2024

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Sociologie

L'apôtre de la haine - Autopsie d’un crime raciste

Monsieur Dylann Storm Roof, avait l'intime conviction qu'il pouvait ôter la vie d'un noir sans s'en inquiéter, comme si on pouvait lui trouver des circonstances atténuantes ! Les noirs le répugnent à tel point qu'il souhaite qu'ils quittent son Amérique à lui. Tout comme à son appartenance aux groupuscules qui rêvent d'un passé glorieux où les maîtres blancs exploitaient de pauvres noirs fraîchement débarqués de leur tropique par la force. C'est de cela que Monsieur Dylann Storm Roof rêvait depuis qu'il est devenu membre à part entière de ce groupuscule raciste. Pour eux, les noirs doivent rester esclaves ou quitter l'Amérique. Dylann Storm Roof se rêvait "maître justicier" pour punir et chasser les noirs comme le faisait le KKK en son temps. S'il était Dieu ? Le monde ne serait peuplé que de blancs. Mais la réalité est autre : maintenant les noirs et les blancs s'assoient à la même table comme l'a rêvé Martin Luther King.

08/2018

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Littérature française

J'en ai marre ! Je deviens con, raciste et intolérant

Cet ouvrage est le cri d'une âme profondément marquée par son époque. Amour, dégoût, révolte, autant de sentiments qui traduisent la violence d'un état. Une aperception construite sur des constats et exposée pour mieux confesser que le système a bien un impact sur chacun d'entre nous. Au fil des rencontres, des croyances, des rêves, des espoirs, mène-t-on réellement la vie que l'on souhaite ? Ou sommes-nous les illusionnistes de notre propre vie afin de la rendre meilleure face aux attentes d'une gouvernance, d'une société, d'un monde qui nous échappent, que nous ne comprenons plus, dont nous ne voulons plus ? Allons-nous tous devenir des cons, racistes, intolérants ? C'est en admettant ce qu'il y a de plus insoutenable à reconnaître, qu'Antoine Félix nous amène à nous interroger sur le fonctionnement de notre propre vie dans le système. Ainsi, chacun de ses raisonnements sonne comme une confrontation et dénonce les failles d'un monde façonné, bien loin de l'humanité que l'on pouvait encore espérer.

11/2017

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Cuisine

Traité de Cuisine arabo-andalouse dit Anonyme andalou. Traduction du manuscrit Colin, ms 7009 - BnF

Traduction du manuscrit Colin ms 7009 - BnF.

04/2016

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Moyen Age

Le manuscrit NAF 1104 de la BnF, volume 2. volume 2 (folios 15 à 32)

Le volume comprend l'édition du manuscrit en ancien français et la traduction, des folios 15 à 32. Soit les lais de Tyolet ; Yonec ; Guingamor ; l'Epine ; l'Epervier.

03/2023

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BD jeunesse

Les inséparables Tome 2 : Parfait est victime de racisme

Dans la bande des Inséparables, il y a Parfait, Léa, Aminata, Lucas, Tom et Juliette. D'origines et de milieux différents, ces amis vivent dans le même quartier et partagent les joies, les questionnements et les petits tracas du quotidien. Parce qu'à huit ans, même si on est déjà grand, la vie peut parfois être compliquée ! Heureusement, les Inséparables peuvent compter sur la complicité qui les unit et le soutien des adultes qui les entourent. Parfait n'est pas invité à la fête organisée par les 3 z'A. Il ne s'en préoccupe pas, Armande, Arielle et Appoline ne sont pas ses amies. Mais quand il se rend compte qu'il est le seul à ne pas être invité, il ne comprend pas ! Les Inséparables font leur petite enquête et comprennent que Parfait fait face à des préjugés racistes. Il n'est pas question de laisser leur copain tout seul faire face à ça. Avec les Inséparables, le problème du racisme est décrypté : qui est raciste ? pourquoi ? que pouvons-nous faire pour éviter cela ? Comment faut-il réagir ? Au coeur de ce sujet, le racisme mais aussi le vivre-ensemble et le respect. Avec ses phrases enjouées et ses expressions originales, Nathalie Dargent nous plonge dans le quotidien des Inséparables et soulève les problématiques rencontrées par les enfants, qu'elles soient liées à leur entourage familial, à leur caractère ou à la vie scolaire...

09/2018

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Sociologie

Kiffe ta race. Explorer les questions raciales sans tabou

Si les personnes visées en premier lieu par le racisme sont les plus qualifiées et légitimes pour en décrire les effets et déterminer les moyens d'action permettant la lutte anti-raciste, nous n'en sommes pas moins toustes concernées à différents niveaux. Car le racisme est une question de société qui appelle une réponse et un engagement collectifs. S'il affecte des individus, ce n'est pas pour autant un problème individuel, ni celui de ses seules cibles, mais bien le reflet d'un système sociétal global. Quelles formes prend le racisme dans nos vies quotidiennes ? Comment déconstruire le racisme ? Quels outils déployer face aux manifestations diverses du racisme ? Comment construire un destin politique commun ? Ce sont autant d'axes que Rokhaya Diallo et Grace Ly développent dans cet ouvrage, mêlant la théorie à leurs observations personnelles et intimes, dans le prolongement du podcast qu'elles ont créé ensemble en 2018 chez Binge Audio. Leur antiracisme n'est pas moral mais politique : il est avant tout, nourri par la volonté d'oeuvrer en faveur de la justice sociale.

01/2022

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Policiers

Le mystère de la parcelle 311 Bnd

A la recherche du champ perdu dans un hameau du Périgord De nos jours, entre Périgord, région parisienne et Islande... Début de vacances mouvementé pour Vick, jeune femme flic venue retrouver sa grand-mère adorée dans son village du Périgord blanc. Alors qu'elle aspire à profiter d'une pause estivale bien méritée au coeur d'un paisible environnement champêtre, elle est confrontée, dès son arrivée, à une véritable épidémie de disparitions toutes plus mystérieuses et inquiétantes les unes que les autres... Tout de même surprenant dans un si petit hameau ! Que se trame-t-il derrière tout cela ? Entre Pendard le voisin nanti et véreux par qui la sombre histoire a débuté, Nadia sa mère si distante qui semble avoir quitté sa terre islandaise de façon précipitée, son chéri qui vient de sortir de prison, Demaison l'inefficace responsable de l'enquête officielle et l'énigmatique Erick, lequel ou lesquels d'entre eux sèment donc la zizanie ? Qui pourrait élucider l'énigme mieux que Vick elle-même ? Dans cette intrigue riche en ressentiments, l'auteure ne délaisse pour autant jamais sa plume poétique débordant d'humanité et d'amour...

02/2020

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Supports pédagogiques

At. Complts du nb-Compl.2 enf

Ce matériel enrichit l'Atelier Compléments du nombre et permet de faire travailler 2 enfants supplémentaires Ce matériel enrichit l'Atelier Compléments du nombre et permet de faire travailler 2 enfants supplémentaires

06/2022

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Bibliothéconomie

La Revue de la BNU N° 26

Dans la suite du précedent, ce numéro aurait pu s'intituler "La fabrique de l'art", tant les divers usages commentés dans les pages qui suivent documentent, à différents degrés et suivant plusieurs étapes, la réalité du processus créatif. Les carnets d'artistes sont aussi des "musées de papier" et à ce titre, renvoient de façon plus générale à la fonction même des bibliothèques dont l'ouverture, toute récente, de ses espaces muséaux par la Bibliothèque nationale de France dans le "quadrilatère Richelieu" témoigne de façon éclatante. On y voit certes davantage de manuscrits que de carnets – l'étape ultérieure, au fond, du processus créatif ; mais on sait l'importance que ceux-ci ont pu avoir chez des auteurs aussi divers qu'Hugo, Flaubert, Valéry ou encore Butor... pour nous limiter à l'espace francophone, car on aurait tout aussi bien pu évoquer les carnets d'Hermann Lenz ou de Peter Weiss, ou encore les 14 000 pages noircies par Joyce pour la préparation de Finnegans Wake. Griffonner dans un petit carnet, une activité qui peut donc avoir plus de signification qu'elle n'en a l'air... et dont il nous semble important de rendre compte, car elle n'est peut-être plus évidente pour tous. A l'ère des iPhones, smartphones et autres tablettes numériques, le carnet d'artiste, d'écrivain ou de chercheur a-t-il encore une signification ? Pis encore, que représente-t-il dans l'imaginaire collectif alors que, dans le monde académique, l'expression "carnet de recherche" renvoie plutôt, aujourd'hui, aux blogs mis en place par l'infrastructure OpenEdition et qui sont, eux, totalement numériques. Dans ce cas aussi, les profondes mutations à l'oeuvre nous imposent de prendre le temps de réfléchir et de questionner la place que doit prendre, dans la valorisation de notre patrimoine, celle de nos "musées de papier". Car l'intelligibilité d'une oeuvre ne va pas de soi. De même qu'il n'y a pas de beau absolu, chaque époque et chaque civilisation créant régulièrement les siens, de même on ne saurait parler d'intelligence absolue, qui survivrait de façon mécanique et en dépit des convulsions chroniques du monde. Un savoir évident, intégré, qu'une époque donnée (et une génération donnée) va considérer comme un acquis définitif peut finir par disparaître ou ne devenir que l'apanage de quelques-uns : on ne saurait jurer que (par exemple) les tragédies de Corneille fassent encore partie du bagage obligé de l'étudiant en lettres, ni que le même étudiant soit encore en capacité de comprendre la langue de cet auteur. On ne saurait jurer non plus (pour revenir à l'histoire de l'art) que l'importance pour celle-ci du patrimoine religieux du 20e siècle soit véritablement un sujet d'appropriation collective, quand on constate l'état souvent préoccupant des églises de banlieues et de quartiers construits après la Seconde Guerre mondiale. C'est pourquoi il est nécessaire de s'intéresser à la "fabrique de l'art", de sonder ainsi le processus créatif et de voir comment les artistes, les écrivains ou les penseurs se sont nourris à la fois d'un dialogue avec leurs pairs comme d'une fréquentation des oeuvres du passé – pour mieux inventer le langage de leur temps.

01/2023

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Pape François

Pape François et le mensonge occidental

Selon la perspective divine, le Pape est perçu comme quelqu'un usurpant une identité spirituelle, propageant une vision raciste des réalités spirituelles. Cette représentation, non seulement empreinte de racisme, s'avère également erronée, aliénante, et asservissante. Cécile Manya, grâce à sa pensée libre et exploratrice, livre enfin la vérité bienfaisante contre le mensonge pernicieux qui a souillé le monde et perpétue un système injuste.

10/2023

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Histoire des mentalités

Nous qui ne cultivons pas le préjugé de race. Histoire(s) d'un siècle de doute sur le racisme en France

En 1919, bien avant Black Lives Matter, un policier militaire américain abat froidement à Nantes un promeneur guadeloupéen. On lit alors dans la presse indignée que les Français ne cultivent pas le préjugé des races, lequel est solennellement condamné par les députés de la seconde puissance coloniale du monde. Bars ségrégationnistes des années 1920 ou 1960, piscine fermée aux Algériens (1964) ou diarrhée antisémite d'un sénateur SFIO (1959), d'autres affaires offrent à l'opinion l'occasion de s'indigner et d'énoncer la norme idéale d'une France immunisée contre le racisme : Raymond Poincaré s'oppose à Paris à une discrimination, forcément américaine et René Pleven juge longtemps inutile une loi antiraciste finalement votée en 1972 et qu'on persiste à tort à lui attribuer. Loin de l'anachronisme dogmatique ou de l'idéalisation naïve, l'historien Dominique Chathuant explore le mythe immunitaire à l'échelle du XXe siècle, au coeur puis en aval du contexte colonial. Il nuance l'apparente nouveauté du présent en montrant qu'on dénonce déjà en 1917 l'importation d'idées américaines, qu'on teste les discriminations dès 1939 ou qu'on emploie très tôt les termes "raciste" (1924) et "racisé" (1965).

10/2021

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Anthologies

Anthologie et conférence de proverbes français, italiens et espagnols. Manuscrits FR1599 et Fr610 de la BnF

Catholique ardent, magistrat compétent, homme d'affaires tenace, Jean Lacurne (1569-1631) était aussi philologue, collectionneur de livres rares et lecteur avide. Erudit plutôt ordinaire parmi tant d'autres que sa Bourgogne a mis au monde, il accomplit pourtant deux faits peu ordinaires : 1º, durant le dernier quart de sa vie, il s'appliqua à constituer un ambitieux recueil de proverbes, locutions et brocards - quelque 4000 expressions françaises, italiennes, espagnoles, sans compter les citations latines et grecques parsemant ses commentaires ; 2º, moyennant presque toute sa fortune, il fit fonder un collège dans sa ville natale d'Arnay-le-Duc. Son collège exista pendant presque 300 ans, pour être fermé peu après la Grande Guerre. Les manuscrits de sa collection de proverbes s'égarèrent après son décès, avant d'aboutir, dès lors incomplets et anonymes, à la Bibliothèque royale. Le nom de Lacurne semblait voué à l'oubli. La présente édition fait d'une pierre trois coups : au lecteur curieux, elle offre cette riche collection parémiologique ; aux philologues, elle fait découvrir un confrère méconnu ; à l'Anthologie des proverbes, elle rend son créateur. Les index onomastique, bibliographique et thématique facilitent la navigation dans le corpus. L'éditeur munit de traductions celles des citations grecques que l'auteur ne traduit pas. Divers aspects de l'Anthologie et de la vie de Jean Lacurne sont examinés dans l'introduction, appuyée de documents donnés en annexe.

06/2022

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Sociologie

Nous et les autres. Des préjugés au racisme

Première grande exposition temporaire du musée de l'Homme qui a rouvert en octobre 2015, Nous et les autres : des discriminations au racisme (mars 2017-janvier 2018) s'inscrit dans la continuité des fondements et des engagements de l'institution, musée-laboratoire militant pour la prise en compte de la diversité et l'absence de hiérarchie entre les êtres humains. Avec ce sujet, le musée de l'Homme prend part aux débats d'actualité en abordant de front la question de l'identité, ses marqueurs, ses mythes, ses replis comme ses revendications. Nous et les autres vise à éclairer scientifiquement le processus d'exclusion et de haine de l'autre. L'exposition montre le mécanisme général de catégorisation sociale et son insertion dans une vision inégalitaire. Evoluant dans un monde aux multiples visages, nous tendons à ordonner les êtres à partir de critères de différenciation comme le sexe, la couleur de peau, la religion, le statut social. Si cette classification n'induit pas nécessairement de hiérarchisation, elle infère une assignation identitaire, le plus souvent génératrice de stéréotypes, de préjugés voire de discriminations. La ségrégation aux Etats-Unis, l'obsession de la pureté raciale du nazisme, l'opposition entre Hutu et Tutsi au Rwanda, l'assimilation forcée des Aïnus au Japon, le sort des Pygmées en Afrique centrale : autant d'exemples historiques appartenant à des contextes socio-politiques d'expansion coloniale ou de nationalisme, plus ou moins lointains et révolus, convoqués et développés pour illustrer ces mécanismes de racialisation des identités collectives qu'Etats, élites intellectuelles, médias et sociétés civiles contribuent à légitimer, institutionnaliser et diffuser. Après l'analyse scientifique et le décryptage historique, parole est donnée à des hommes et des femmes, citoyens français de culture française, perçus comme arabes, noirs ou asiatiques. Leurs récits personnels, qui manifestent la complexité de cette expérience intime et sociale d'être regardés comme non-blancs et d'avoir à penser sa "couleur", permettent la rencontre avec des êtres aussi singuliers que représentatifs de la société, mettant à mal l'opposition entre nous et les autres. Au-delà de l'étude critique et de l'expérience sensible, vient le temps de la réflexion collective. Comment les pouvoirs publics réagissent-ils face aux discriminations ? Quelles différences entre des politiques nommées "multiculturalistes" ou "universalistes" ? Quelles conclusions tirer des expériences de "discrimination positive" ? Pour aborder ce sujet sensible et les enjeux de société qu'il représente, cet ouvrage réunit des contributions de chercheurs issus de tous les champs disciplinaires pertinents (anthropologie, démographie, génétique, histoire, philosophie, sociologie, etc.), enrichies d'une iconographie et d'une infographie inédites rendant compte des résultats de recherche les plus actualisés.

04/2017

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Histoire et Philosophiesophie

Penser le racisme. De la responsabilité des scientifiques

Ouvrages, slogans, bons sentiments ont beau faire, le rejet de l'Autre semble être, aujourd'hui comme hier, la maladie chronique de l'Homo sapiens. Nul ne doit se dire immunisé, tant chacun peut en devenir le vecteur comme la victime. L'Occident, surtout celui des savants, porte une responsabilité majeure dans les justifications théoriques du racisme : ce dernier a été présenté, trois siècles durant, démonstrations à l'appui, comme une vérité scientifique à partir de laquelle tous les excès ont été justifiés - colonialisme, esclavage, apartheid, génocide. Désormais, la plupart des savants affirment que le racisme n'a aucun fondement scientifique et que l'avenir de l'espèce passe par la capacité de chacun à vivre en bonne entente avec les autres, au-delà de nos différences, réelles ou imaginaires. Pourtant, dans nombre de textes scientifiques, ou prétendus tels, il subsiste la marque de préjugés raciaux. Michel Girod, géologue de formation, s'est d'abord étonné de la survivance de ces clichés, au cours de nombreuses missions en diverses régions du monde, puis il a décidé de se replonger dans toute la littérature des sciences pour comprendre le rapport des scientifiques au racisme. Nul avant lui n'avait dressé un inventaire aussi exhaustif des discours et théories. Préjugés et exclusion ne sont pas inéluctables: le métissage a été, depuis la nuit des temps, le passage obligé de la marche en avant de l'espèce, par-delà la diversité constitutive des civilisations, cultures et religions. Ce livre, accessible à tous, est un plaidoyer argumenté contre le racisme.

01/2004

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Histoire de France

La République impériale. Politique et racisme d'Etat

Au tournant du XIXe siècle, les républicains favorables aux conquêtes coloniales ont réussi là où leurs prédécesseurs avaient échoué. Entre 1871 et 1913, les possessions françaises en outre-mer sont passées de moins d'un million de kilomètres carrés à treize millions. Quant aux " indigènes ", leur nombre a progressé de sept à soixante-dix millions en 1938. Extraordinaire expansion. Elle est sans précédent dans l'histoire du pays qui, devenu la deuxième puissance impériale du monde après la Grande-Bretagne, est confronté à des tâches multiples et complexes. Comment diriger un empire aussi vaste ? De quels instruments politiques, administratifs, juridiques - le droit colonial par exemple - et scientifiques la métropole a-t-elle besoin pour remplir les missions nouvelles qui sont les siennes désormais ? Quelles orientations - assimilation ou association - mettre en œuvre dans les territoires de la " Plus Grande France " ? Telles sont quelques-unes des questions auxquelles cet ouvrage entend répondre. En effet, les conséquences de cette construction impériale sur les institutions, la vie politique, l'enseignement supérieur et secondaire, les sciences humaines, qui voient se développer en leur sein des sciences dites coloniales consacrées par la création d'une académie ad hoc, et la littérature, mobilisée à des fins de propagande notamment, sont nombreuses. De là le surgissement inédit d'une véritable République impériale dotée de structures diverses, qui vivent par et pour les colonies, et d'un espace vital impérial jugé indispensable au développement de la métropole et à la vie de ses habitants. Pour rendre compte de ce processus complexe et multiforme qui a longtemps affecté l'État et la société civile, l'auteur a forgé le concept d'impérialisation et eu recours à une approche dédisciplinarisée qui fait appel à de nombreux textes philosophiques, politiques, juridiques et littéraires.

02/2009

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12 ans et +

Rosa Parks, elle a dit non au racisme

#ScrineoHistoire – Après sa journée de travail, Rosa, éreintée, monte dans le bus qui la ramène chez elle. Par chance, elle trouve un siège libre où elle peut s'asseoir. Mais en ce 1er décembre 1955, rien ne se passe comme d'habitude, car en cours de trajet elle refuse de céder sa place à un homme blanc.

Ce "non" qu'elle prononce entraîne son arrestation et son jugement, mais aussi une révolution dans cette Amérique où l'homme noir est opprimé. Il fait d'elle, simple couturière, épouse discrète et surtout femme, le symbole d'une lutte qu'elle n'imaginait pas. Une histoire vraie extraordinaire racontée dans un roman sensible et bouleversant.

08/2018

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Histoire internationale

La Mauritanie. Entre l'esclavage et le racisme

Ce livre révèle et dénonce une tradition d'esclavage et de racisme en Mauritanie, à seulement quelques heures d'avion de l'Europe, perpétuée et perpétrée, au nom de l'Islam, à l'encontre des Haratine. Il constitue un document culturel, éthique et politique qui porte toutes les qualités de l'enquête historique minutieuse et du procès à charge intenté aux survivances bien vivaces d'un système féodal.

07/2014

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Sciences politiques

La Mauritanie entre l'esclavage et le racisme

Ce livre est la traduction en arabe du livre paru en 2014. Ce livre révèle et dénonce une tradition d'esclavage et de racisme en Mauritanie, à seulement quelques heures d'avion de l'Europe, perpétuée et perpétrée, au nom de l'Islam, à l'encontre des Haratins. Il constitue un document culturel, éthique et politique qui porte toutes les qualités de l'enquête historique minutieuse et du procès à charge intenté aux survivances bien vivaces d'un système féodal.

04/2019