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Rosella Postorino

Extraits

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Santé, diététique, beauté

Vous pouvez guérir. Un instant, une seconde... Un déclic

"J'étais perdue, je suis guérie" Céline, Rossella, Marion... Nous possédons tous ce pouvoir naturel de guérison à l'intérieur de nous-mêmes, la maladie n'est pas synonyme de malchance, c'est un message utile dont la fonction est le changement. C'est ce que MJN se propose de nous faire découvrir en trois parties : Onze déclics pour rester en bonne santé le plus longtemps possible, un parcours thérapeutique reproductible par tous et une alimentation conforme à ce que la nature a prévu. Ce livre est destiné aussi bien aux professionnels de la santé qu'aux personnes désireuses de l'utiliser pour elles-mêmes ou pour leurs proches. Il apporte, non seulement la démonstration de notre pouvoir de guérison, mais aussi le processus pour l'utiliser. Comment un conflit psychologique peut-il devenir un conflit biologique ? Dans un langage simple, à la portée de tous, MJN nous apporte ici un éclairage extraordinaire, logique. Comment trouver le moment exact du déclenchement d'un problème, l'instant ? C'est tout un art qui demande un savoir-faire précis que MJN nous délivre ici, afin de l'utiliser facilement. Comment solutionner les conflits, transformer l'émotion et retrouver un état de santé ? Comment nos sentiments peuvent-ils changer la matière ? C'est toute l'histoire de ce livre. Michelle-J. NOEL nous emmène dans un parcours chronologique reproductible et efficace. Par le biais de notre cerveau, notre système nerveux et nos sentiments, elle nous démontre comment nous pouvons déclencher une maladie et, à l'inverse, recouvrer un état de santé. Quelques témoignages émouvants nous donnent ici la réflexion humaine et spirituelle que la guérison impose. Après son livre Être l'auteur de sa vie qui fut un succès dans le monde entier, Michelle-J. NOEL nous emmène dans une autre dimension, celle de faire de notre vie un chef-d'oeuvre d'humanité.

07/2012

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Critique

Retrait, effacement, disparition dans les arts et la littérature d'aujourd'hui

Des dispositifs de communication assurent aujourd'hui une forme démultipliée de visibilité. Nous pouvons volontairement y projeter une image valorisante de nous-mêmes, mais aussi nous trouver contraints à la présence, dépossédés de nos données, surveillés à distance. Ce processus technologique accompagne le déploiement de ce qu'il est convenu d'appeler l'individualisme contemporain, en même temps que sa dynamique est celle de la globalisation des échanges, avec ce qu'elle implique de contrôle. Sans doute est-ce la raison pour laquelle on a vu dans le champ social surgir une tentation, un désir paradoxal : celui de se retirer, de s'effacer, voire de disparaître. Les arts et la littérature en témoignent au premier chef, car c'est là que s'exposent nos hantises et nos aspirations. Ce volume ambitionne d'aborder un ensemble significatif de formes esthétiques actualisant ce processus de retrait, d'effacement ou de disparition, ou le donnant à voir, par la fiction notamment. Les modalités comme les finalités en sont diverses : mais on peut dans tous les cas en mesurer la force de fascination, ainsi que la puissance critique.

06/2022

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Littérature française

Images et signes

La semaine de conférences et de débats organisée du 21 au 28 août 1990 au Centre Culturel International de Cerisy-la-Salle, en présence de l'auteur, n'a négligé aucune des facettes d'une oeuvre aux prolongements variés : celle d'un philosophe chez qui l'on a pu déceler l'influence de Nietzsche ou de Sartre, celle d'un critique littéraire aux jugements pénétrants, sans oublier le passionné d'images, l'amateur d'art, le spécialiste de la photographie. Certains ont cherché à redéfinir le caractère "moderne" quelquefois contesté d'une écriture qui se présente comme délibérément classique. On s'est interrogé sur la place des écrits destinés aux enfants : ne trahissent-ils pas, en dépit des réductions imposées, les intimes arcanes d'une littérature pour initiés ?Si les grands thèmes de l'inversion bénigne ou maligne, les mythes de la germanité, l'obsession des origines furent examinés, des lectures plus centrées sur les oeuvres ont permis de mettre en lumière les aspects parodiques ou "ésotériques" de la "réécriture tourniérienne" . Cette diversité d'approches contribuera sans doute à faire mieux comprendre une oeuvre qui, sous une apparente limpidité, se montre volontairement ambiguë et polyvalente.

10/1991

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Photographie

Portraits / Visages, 1853-2003

Plutôt qu'une histoire du portrait en photographie, ce livre-catalogue présente, à travers un choix de plus de deux cents oeuvres, un panorama de la collection de photographies conservée à la Bibliothèque nationale de France. Au-delà de la métaphore, portrait de la collection à travers les visages qui la composent, ce thème permet d'explorer de grands courants de l'histoire de la photographie et de tracer la genèse de la collection publique la plus ancienne et la plus riche du monde dans le domaine de la photographie. Le propos est aussi de préfigurer ainsi la nouvelle collaboration de la Bibliothèque nationale de France et des éditions Gallimard. Sous le titre général Galerie de photographie seront explorés chaque année les multiples facettes de la photographie et des collections incunables du médium, icônes anciennes et modernes, œuvres contemporaines, mais aussi photographies de mode, de presse, albums d'amateurs, ensembles historiques donnés à la Bibliothèque. Dans le présent ouvrage, les œuvres du XIXe et du XXe siècle se succèdent chronologiquement, mais elles ont été choisies pour se répondre et correspondre entre elles enjeu de miroirs. Le choix fait dans le fonds du XIXe siècle met bien sûr en avant les grands auteurs, de Félix Nadar à Eugène Atget en passant par Adalbert Cuvelier et Julia Margaret Cameron. Une place importante est aussi réservée aux anonymes, aux amateurs célèbres comme Robert de Montesquiou, aux scientifiques comme Potteau. Des exemples de la diversité de la pratique photographique dans le monde sont représentés par l'atelier de Bonnevide au Sénégal, les travaux de Raoult à Odessa ou de Miot à Terre-Neuve. La sélection des oeuvres met en lumière le fait que le portrait photographique du XIXe siècle est, lucidement ou non, souterrainement ou non, une courbe parsemée de singularités qui aujourd'hui attirent notre attention comme autant de zones de fracture. Les reflets, ombres portées ou fragmentations qui apparurent d'abord comme des jeux ou des accidents sont réinvestis par les photographes modernes et contemporains, Paul Strand, André Kertesz ou Dieter Appelt. L'exigence documentaire ou scientifique, d'abord développée par Bertillon et Atget, conduit au XXe siècle à l'élaboration de protocoles de plus en plus précis. Le visage est peu à peu lessivé de tout contexte historique et social. Ce puissant courant esthétique, l'exploration de plus en plus aiguë de la représentation du visage sont vus à travers des œuvres françaises et étrangères : Paul Strand, André Kertesz, Raoul Ubac, Diane Arbus, Rossella Bellusci, Ralph Gibson, Florence Chevallier, Clarence John Laughlin, Vilem Kriz, Xavier Zimmerman. La lumière est faite aussi bien sur des pièces isolées, comme la photographie par Rudomine de La Vierge inconnue du canal de l'Ourcq, cette noyée rendue célèbre par Louis Aragon, ou des affiches déchirées vues à Tokyo par William Klein, que sur les séries de Vilem Kriz ou Connie Imboden.

10/2003