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Paul Verlaine

Extraits

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Santé, diététique, beauté

Le monde merveilleux du gras

Il est 17h30. Lucie rentre dans la cabine d'essayage, un joli maillot de bain échancré et rose fushia, à la main. Il est 17h40. Lucie sort de la cabine, le même maillot fushia à la main qu'elle rendra d'un air désolé et gêné. Il ne m'allait pas, merci. Au même moment, Jean-Paul consulte son médecin parce que depuis quelques temps il se trouve trop vite essoufflé et ressent des maux de tête qu'il n'avait pas avant. Il faut dire qu'en 10 ans, Jean Paul a pris 20 kilos. N'oublions pas non plus Marlène qui court désespérément derrière ses petits enfants et qui n'arrive plus à suivre. Ni Julie qui refuse d'être passée du 38 au 42, à la 3ème année de sa ménopause. Ni Eve qui a passé sa vie à faire des régimes et qui, de yoyo en yoyo, est passée de 10 kilos en trop, à plus de 30 kilos qui lui pèsent terriblement partout, au ventre, aux cuisses, aux fesses et au moral. Ni les 6 millions de Français qui souffrent d'obésité et les 15 millions, de surpoids modéré. Tous ces personnages ont un point commun : le Gras. Trop de Gras. Mais quel est il ce Gras ? Pourquoi ? Où ? Comment ? Pendant combien de temps encore ? A garder ? A perdre ? Dans quelles conditions ? Qui croire ? Des questions que vous vous posez tous et toutes, et auxquelles personne ne vous avez jamais répondu jusqu'à présent. Il est donc temps de vous immerger dans le Monde Merveilleux du Gras. Attention ça va secouer. Suivez Robert, le Guide. Mais qui est Robert ?

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Critique littéraire

Le chant du monde dans la poésie française contemporaine

Pour essayer d'y voir un peu plus clair dans le paysage brouillé de la poésie française contemporaine, Michel Collot en retrace l'évolution depuis 1960, en dégageant ses principales étapes et les diverses tendances qui l'animent. Pour compléter ou corriger l'image, souvent partielle et partiale, qui en est donnée, il met notamment l'accent sur celles qui, depuis les années 1980, ont contribué à " rouvrir l'horizon " de la poésie française et francophone : le renouveau du lyrisme, une plus large ouverture au monde, et la recherche d'une " nouvelle oralité ", qui concourent à faire réentendre le chant du monde. Après deux décennies marquées / dominées par le textualisme et le formalisme, les années 1980 ont vu l'émergence d'un " nouveau lyrisme " qui ne se limite pas à l'expression du sentiment personnel mais s'accompagne d'une plus large ouverture au monde et de nouvelles formes d'oralité qui renouent avec le chant, longtemps proscrit de la scène poétique française. " Il y a encore des chants à chanter ", écrivait Paul Celan, confronté aux tragédies de son siècle ; harmonieux ou dissonants, ils font entendre aujourd'hui. A ces diverses tendances correspondent autant de façons différentes d'aborder les rapports entre la poésie et la nature, l'écriture et les lieux / le langage et l'espace, la lettre et le sens, le vers et la prose. Michel Collot analyse les formes singulières et les enjeux multiples qu'elles revêtent dans quelques oeuvres marquantes du dernier demi-siècle : celles de Bernard Noël, Michel Deguy, Jean-Paul Michel, Lionel Ray, Jean-Claude Pinson, Antoine Emaz, Philippe Jaccottet, Pierre Chappuis, François Cheng, et André Velter.

02/2019

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Philosophie

Philosophie et kénose chez Simone Weil. De l'amour du monde à l'Imitatio Christi

C'est en 1941, dans le contexte chaotique de la Deuxième Guerre mondiale, que Simone Weil, très tôt préoccupée par les questions du malheur et de la vérité, découvre le principe de la kénose divine en lisant l'hymne aux Philippiens de saint Paul (Ph 2, 5-11). La lecture de ce texte est un moment philosophique et spirituel décisif dans le parcours de la philosophe car, prenant pleinement en charge les questions universelles et paradoxales de l'amour de Dieu et du malheur, l'hymne paulinien lui permet de tisser un lien de cohérence métaphysique entre sa recherche personnelle de la vérité, l'existence du malheur et ses expériences spirituelles. A contrario d'un texte-miracle qui nierait le réel et minimiserait l'impact du malheur sur nos vies, Simone Weil accueille effectivement cet hymne comme l'expression universelle de l'abaissement du divin qui s'incarne dans la condition humaine et appelle tout homme à le suivre, et à se libérer de son sentiment de toute-impuissance face au mal écrasant. Après cette rencontre scripturaire. Simone Weil n'aura alors de cesse d'actualiser, dans ses écrits et ses engagements dans le monde, cette invitation explicite de saint Paul à l'imitatio Christi. Sa pensée s'élaborera en une théologie pratique nourrie par l'Amour du Père et du Christ qui rejoint chacun de nous. II s'agira alors, pour elle, de comprendre concrètement "comment nous pouvons l'imiter ?" et d'étudier de quelles manières le caractère universel de la vérité de la kénose divine est, comme l'exprime l'antique doctrine des "semences du Verbe", préfiguré dans les différentes cultures et traditions du bassin indo-européen.

02/2016

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Histoire de France

L'Affaire Touvier. Quand les archives s'ouvrent...

Paul Touvier incarne toutes les vicissitudes de l'histoire de Vichy. Né pendant la Grande Guerre dans un milieu très catholique, affecté plus qu'il ne le dira jamais par la mort de sa mère, de nature instable, Paul Touvier se trouve une carrière dans la Milice dont il devient un serviteur zélé. Craignant pour lui-même toute violence, il est, selon le mot du grand reporter de l'Express Jacques Derogy qui le débusque en 1972, un "fasciste" moyen dénué de tout scrupule. Telle est l'impression qui peut s'en dégager de prime abord... Mais le crime de trop, la fuite, les condamnations à mort ont fait de ce délinquant presque ordinaire un fugitif plein de ressources : l'Eglise lui apporte son soutien durant sa vie clandestine et ses tentatives de réhabilitation... De rebondissements en scandales, Bénédicte Vergez-Chaignon raconte l'histoire de ce manipulateur hors pair, durant et après la guerre, si habile qu'il parvient à convaincre un président de la République, Georges Pompidou, de le gracier, malgré des faits accablants. L'affaire Touvier naît de la révélation des complaisances dont il a bénéficié pendant trente ans. Le parcours de l'ancien chef du service de renseignement de la Milice jusqu'à son procès où il est condamné à la réclusion criminelle à perpétuité pour complicité de crime contre l'humanité, a donné lieu à des débats passionnés qui, souvent, dépassèrent la seule personne de Touvier. Les archives ouvertes – tout spécialement pour ce livre – éclairent ainsi l'affaire, dont le dénouement est dû pour l'essentiel à une poignée d'hommes et de femmes épris de justice et de vérité.

04/2016

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Littérature érotique et sentim

Les mystères de Londres Tome 1 : Les Gentilhommes de la nuit ; La fille du pendu

Inspirés des Mystères de Paris d'Eugène Sue, publiés l'année précédente, le roman "Les Mystères de Londres" de Paul FEVAL sera publié le 20 décembre 1843 sous le pseudonyme de "Francis Trolopp". Le succès populaire est immédiat. Lorsque la première partie du feuilleton s'achève le 28 janvier 1844, Féval est déjà parti à Londres pour se documenter afin de rédiger la suite et d'y amener une touche locale. Le roman sera prolongé jusqu'au 12 septembre 1844. Ce roman en version intégrale se compose de quatre parties que nous avons regroupé en 2 tomes. Ce livre vous entraîne dans une étonnante plongée dans l'ombre des sociétés secrètes, vision hallucinée où se mêlent la réalité sociale de Dickens et le mystère de Willie Collins. Ce roman ouvrira à Paul FEVAL les portes du succès. Résumé : Dans les années 1840, tout Londres ne vit que des frasques du marquis de Rio-Santo, dandy insolent dont la richesse parait sans limite, qui subjugue l'aristocratie et règne en même temps sur les bas fonds de la capitale. Rio-Santo est irlandais, et se trouve à la tête d'une association de malfaiteurs baptisée "Les Gentilhommes de la nuit". Il prépare en secret une révolution destinée à libérer l'Irlande. Complots, poursuites, assassinats nous entraînent à un rythme d'enfer de rebondissements en rebondissements, égarés d'une fausse piste à une autre dans le Londres noir. Ce roman noir écrit en 1844 est un des premiers romans noirs modernes. Impossible de résumer l'intrigue de cette fresque littéraire en quelques mots même en quelques lignes, je vous laisse y pénétrer... . . Bonne lecture.

01/2021

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Thèmes picturaux

New York des peintres et des écrivains

New York est un "pays à lui seul" , une "ville monde" qui ne dort jamais. Véritable Terre promise pour des millions de migrants, symbole arrogant du monde libre et du capitalisme, capitale mondiale de l'art, elle est toutes ces villes à la fois. Ses gratte-ciel de verre et d'acier, ses quartiers légendaires de Brooklyn, Manhattan et Harlem, sa statue de La Liberté éclairant le monde ont forgé le mythe de l'American dream et n'ont cessé de nourrir l'imaginaire et la créativité des plus grands artistes. De John Dos Passos à Paul Morand, d'Edith Wharton à Henry James, New York se prête à toutes les formes d'écriture. Et bien d'autres encore, comme Walt Whitman, Francis Scott Fitzgerald, Arthur Miller, Tom Wolfe ou Paul Auster, ont rêvé et fantasmé cette cité, en ont fait le théâtre de leurs explorations les plus intimes. Mais si New York a acquis le statut de mythe littéraire, cette ville est aussi celle des peintres, de George Bellows et Colin Campbell Cooper à Joan Sloan, Childe Hassam et Edward Hopper, qui ont su chacun en sublimer l'architecture, la lumière et l'atmosphère. Cette anthologie illustrée puise dans la littérature et la peinture, du XVIIe siècle à nos jours, pour mettre en valeur toute la beauté de New York, depuis ses origines de petit village néerlandais jusqu'à son statut de "capitale du monde" . Ce dialogue entre citations choisies et tableaux célèbres révèle un New York tantôt flamboyant et prestigieux, tantôt mystérieux et poétique, dans une variation ininterrompue d'atmosphères et d'émotions.

11/2022

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Romance historique

Les mystères de Londres Tome 2 : La grande Famille, Le Marquis de Rio-Santo

Inspirés des Mystères de Paris d'Eugène Sue, publiés l'année précédente, le roman "Les Mystères de Londres" de Paul FEVAL sera publié le 20 décembre 1843 sous le pseudonyme de "Francis Trolopp". Le succès populaire est immédiat. Lorsque la première partie du feuilleton s'achève le 28 janvier 1844, Féval est déjà parti à Londres pour se documenter afin de rédiger la suite et d'y amener une touche locale. Le roman sera prolongé jusqu'au 12 septembre 1844. Il se compose de quatre parties que nous avons regroupé en 2 tomes. Ce livre vous entraîne dans une étonnante plongée dans l'ombre des sociétés secrètes, vision hallucinée où se mêlent la réalité sociale de Dickens et le mystère de Willie Collins. Ce roman ouvrira à Paul FEVAL les portes du succès. Résumé : Dans les années 1840, tout Londres ne vit que des frasques du marquis de Rio-Santo, dandy insolent dont la richesse parait sans limite, qui subjugue l'aristocratie et règne en même temps sur les bas fonds de la capitale. Rio-Santo est irlandais, et se trouve à la tête d'une association de malfaiteurs baptisée "Les Gentilhommes de la nuit". Il prépare en secret une révolution destinée à libérer l'Irlande. Complots, poursuites, assassinats nous entraînent à un rythme d'enfer de rebondissements en rebondissements, égarés d'une fausse piste à une autre dans le Londres noir. Ce roman noir écrit en 1844 est un des premiers romans noirs modernes. Impossible de résumer l'intrigue de cette fresque littéraire en quelques mots même en quelques lignes, je vous laisse y pénétrer... . . Bonne lecture.

01/2021

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Critique littéraire

Sur Arthur Rimbaud. Correspondance posthume (1901-1911)

Ce volume fait suite à deux précédents : le premier a été l’édition de la Correspondance d’Arthur Rimbaud (2007), le deuxième a été l’édition de sa correspondance "posthume" (2010), qui regroupait les lettres échangées à son sujet au cours des dix années qui ont suivi sa disparition, en même temps que les articles ou ouvrages qui lui étaient consacrés. Ce nouveau tome couvre la période 1901-1911, au cours de laquelle le nom de Rimbaud est encore loin d’avoir la célébrité mondiale qui sera la sienne quelques décennies plus tard, mais la connaissance de son œuvre dépasse désormais, et de beaucoup, les milieux littéraires d’avant-garde. Le poète reçoit même, dans sa Charleville natale, l’hommage officiel d’un buste, œuvre de son beau-frère Paterne Berrichon. C’est l’époque où des écrivains qui vont compter dans le siècle — Jacques Rivière, Paul Claudel, Alain-Fournier, André Gide, Victor Segalen — mentionnent Rimbaud dans leur correspondance. Paul Valéry écrit ainsi à Gide: "Vraiment ce bougre-là a deviné et créé la littérature qui reste toujours au-dessus du lecteur." Tandis que le sonnet des Voyelles poursuit son bonhomme de chemin, des inédits du poète sont retrouvés et publiés avec ferveur. Paterne Berrichon et Georges Izambard, le beau-frère et l’ancien professeur de rhétorique, s’invectivent dans le Mercure de France sur leur vision du poète. Et le mythe va bon train, se solidifiant d’année en année : l’adolescent de génie, le déserteur de la poésie, l’explorateur de l’Abyssinie, autant de figures de Rimbaud que le public d’avant la Première Guerre mondiale apprend à connaître et à admirer.

10/2011

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Littérature française

Anthologie des écrivains français racontés par les écrivains qui les ont connus

Publié pour la première fois en 1995, Les écrivains français racontés par les écrivains qui les ont connus est une passionnante anthologie réalisée et préfacée par Charles Dantzig. Elle rassemble, du XVIe siècle au XXe siècle, des témoignages de première main rarement, sinon jamais reproduits jusque-là sur trente-sept des plus grands auteurs de notre littérature. Voici Claude Binet, ami de Ronsard, évoquant la séduction qu'exerçait l'auteur des Sonnets pour Hélène sur le roi Charles IX. Au XVIIe siècle, c'est Marie de Gournay, la " fille d'alliance " de Montaigne, qui est racontée par le mémorialiste le plus spirituel de son temps, Tallemant des Réaux, et Molière par La Grange, le secrétaire de sa troupe, tandis que Charles Perrault parle avec sagacité et affection de La Fontaine. Au XVIIIe siècle, Rousseau est portraituré de manière inattendue par Bernardin de Saint-Pierre, l'auteur de Paul et Virginie. Un siècle plus tard, Mérimée raconte son ami Stendhal avec sa vivacité habituelle ; Victor Hugo se remémore les derniers jours de Chateaubriand, à qui il avait tant voulu ressembler ; les Goncourt, pourtant si méchants dessinent un Flaubert à la fois attendri et admiratif. Au XIXe siècle, c'est au tour de Maurice Sachs de se remémorer Jean Cocteau, sa séduction et son talent. Quant à Serge Doubrovsky, il met en scène sa rencontre avec un Jean-Paul Sartre épuisé et malade, mais à l'intelligence aussi vive que toujours : " Je m'arrête, j'attends. [... ] La tremblote a disparu par enchantement. L'oeil terne se rallume, lance des éclairs. " Qui connaît mieux les écrivains que les écrivains ? Le complément indispensable du Dictionnaire égoïste de la littérature française.

09/2021

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Espagne

Défense du statut de Tolède

Depuis leur apparition en Espagne au milieu du XVe siècle, les statuts de "pureté de sang" ne cessèrent de susciter d'âpres controverses entre partisans vieux-chrétiens et adversaires, judéo-convers le plus souvent, de ces mesures discriminatoires décidées localement et destinées à exclure ces derniers de certains offices publics, de charges honorifiques ou à leur interdire l'entrée dans certains groupes et corporations prestigieux. Ecrite au début des années 1570, la Defensio statuti toletani de Diego de Simancas, atteste la prégnance et la longévité des crispations autour du plus retentissant de tous les statuts, celui imposé par le cardinal Siliceo au chapitre de la cathédrale de Tolède, plus de vingt ans auparavant. En réponse à la prédication, à Rome, d'un franciscain espagnol de renom, Simancas déploie avec mordant dans ce "petit livre d'or" — selon le jugement de Baltasar Porreno — l'arsenal d'arguments divers élaboré durant plus d'un siècle pour justifier l'exclusion des descendants des juifs. Ce texte, expression radicale de l'antisémitisme officiel, est une bonne illustration de cet esprit de fanatisme et d'exclusion, qui prévalut dans la monarchie de l'Escurial et de l'Inquisition, dénoncé par la légende noire antiespagnole. Traduit pour la première fois et accompagné d'un appareil de notes complet, il est précédé d'une présentation de la question de la "pureté de sang" afin de le saisir dans toute sa complexité. Fabrice Quero est professeur de littérature de l'Espagne moderne a l'université Paul-Valéry Montpellier 3. Raphaël Carrasco est professeur émérite d'histoire et de civilisation de l'Espagne moderne de l'université Paul-Valéry Montpellier 3.

06/2021

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Littérature francophone

Dans l'ombre des souvenirs

"... Paul, est-ce vrai ce qui nous arrive ? Nous revoir ainsi au bout de nos vies... J'ai peine encore à y croire. Et pourtant, au bout de l'allée, c'est bien toi que j'ai vu venir vers moi. Non, pas vers moi. Vers personne à vrai dire. Tu marchais. Tu avançais. Peu importait vers qui tes pas te menaient ; qui était au bout du chemin ; qui te regardait : il n'y avait plus personne vers qui tu allais... Je l'ai compris au premier face à face de ces étranges retrouvailles : elle était en toi la grande faucheuse ! Pas celle qui coupe les vies d'un coup tranchant, mais celle qui, sournoisement, glane une à une les pensées et les souvenirs, les emmêle, les met en gerbe pour en faire de grands feux. Jusqu'à laisser se calciner doucement tout ce qui fit une vie ; jusqu'à faire "champ brûlé" de tout le passé de celui qu'elle étreint". (p. 9) Et ce sont les traces de ce passé-là que Lucie, la narratrice, ne veut pas voir disparaître tout à fait. Avec elle, vont ressurgir l'Histoire et les histoires dramatiques qui ont marqué sa jeunesse liée à celle de ce Paul qu'elle vient de retrouver, atteint de la maladie d'Alzheimer : leur amour né dans cette guerre 1940-45, les déchirures qui suivirent dans de l'après-guerre, et puis sa quête pour retrouver l'enfant qui lui fut enlevé dès sa naissance dans l'une de ces "Fontaines de Vie" ou Lebensborn, ces maternités nazies conçues pour générer des êtres de race pure...

09/2021

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Littérature anglo-saxonne

Cycle de Tarzan Tome 20 : Tarzan et la cité interdite

"Paru sous forme de feuilleton en 1938 et en livre la même année, Tarzan and the forbidden City est le vingtième tome du monumental Cycle de Tarzan qui n'en comprend pas moins de 26 ! Sa première publication en français date de 1948. Paul d'Arnot et Tarzan participe à l'expédition de Gregory et de sa fille Hélène vers Ashair, la Cité Interdite où a disparu Brian, le frère d'Hélène. Simultanément Atan Thome et son complice, Lal Taask, veulent s'emparer du fabuleux Père des Diamants qui se trouve à Ashair. A l'issue d'un long trajet, les deux groupes arrivent en vue du volcan éteint où se trouve le lac sacré d'Horus et près duquel se dressent deux cités ennemies : Ashair et Thobos. Atlan Thome et Lal Taask sont capturés par des guerriers d'Ashair ainsi que Paul d'Arnot et Hélène. Ils sont conduits au temple de Brulor, situé au fond du lac sacré d'Horus d'où ils s'évadent grâce à un ancien prêtre, Herkuf, en compagnie de Brian Gregory et d'autres prisonniers. Mais bien des épreuves attendent encore Tarzan, entre les cités de Thobos et d'Ashair, dont celui de libérer Hélène qui se retrouve emprisonnée dans un pavillon situé au fond du lac sacré qui, inexorablement, se remplit d'eau. Pour ce faire, des équipements de plongée seraient nécessaires... Tandis que d'autres aventuriers n'ont, eux, qu'une idée : mettre la main sur le Père des Diamants... Et pendant ce temps, la flotte de Thobos s'est lancée à l'assaut de sa rivale, Ashair..."

10/2021

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Préparation au CRFPA

Grand oral du CRFPA. Libertés et droits fondamentaux, Edition 2021

Dans une perspective de culture générale juridique, cet ouvrage traite, dans toute leur ampleur et leur diversité, des libertés et droits fondamentaux de la personne, prise en tant que telle mais aussi comme justiciable, citoyen ou acteur économique et social. 40 thèmes pour aborder les points essentiels, les débats fondamentaux et les questions d'actualité. Discussions générales et exemples précis, outils indispensables à la maîtrise de l'épreuve. Exemples de questions susceptibles d'être posées le jour de l'épreuve, qui sont autant de pistes de réflexion. O Un style clair et accessible, présence d'encadrés en exergue de chaque article mettant en évidence les éléments les plus fondamentaux et actuels de l'étude. Cette 27e édition, oeuvre de spécialistes reconnus, s'adresse également aux candidats aux concours administratifs de catégorie A, notamment au concours d'entrée à l'ENM, et plus généralement à ceux qui veulent comprendre ce qui s'impose aujourd'hui comme le coeur du droit au XXIe siècle. Christophe Albiges, Elie Alfandari, Jeremy Antippas, Bernard Beignier, Florence Benoit-Rohmer, Alexandra Bensamoun, Romain Boffa, Rémy Cabrillac, Lise Casaux-Labrunée, Dany Cohen, Xavier Dupré de Boulois, Dominique Fenouillet, Didier Ferrier, Nicolas Ferrier, Natalie Fricero, Léna Gannagé, Jean-Eric Gicquel, Catherine Ginestet, Jean-Louis Halpérin, Anne d'Hauteville, Hervé Henrion, Christine Hugon, Jean Paul Jacqué, Mélanie Jaoul, Paul Lagarde, Annie Laboley, Yves Lequette, Rémy Libchaber, Pascal Lokiec, Fabien Marchadier, Jean-Pierre Marguénaud, Marie-Laure Mathieu, Mustapha Mekki, Philippe Pédrot, Xavier Philippe, Florian Poulet, Didier Rebut, Jacques Robert, Dominique Rousseau, Olivier Salati, Philippe Ségur, René Sève, Marie-Christine Sordino, Yves Strickler, François Terré, Emmanuel Terrier, Didier Thomas, Raymonde Vatinet, Pierre-Yves Vekindt, Patrick Wachsmann.

05/2021

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Théâtre

Icare et I don't. Drames contemplatifs

Icare & I don't, vaudeville métaphysique, se compose de trois pièces organiquement liées: Paul des Oiseaux, Le Chant du rien visible et Le Quadrige invectif. Quatre personnages - avec pour accessoire suffisant une échelle, retournée en bolide spatial puis en automobile - reviennent dans chaque pièce avec des rôles différents mais analogues. Paul des Oiseaux, qui reprend un synopsis abandonné d'Antonin Artaud, présente un dialogue sur la " perspective" entre les deux grands maîtres de la Renaissance, Paolo Uccello et Brunelleschi, et un jeune peintre contemporain, Antoniucci ; la seconde pièce raconte ou chante la course intersidérale de deux autres chercheurs d'absolu, Giotto et Bill Halley, qui chevauchent la sonde éponyme (Giotto) de l'Agence spatiale européenne à la rencontre de la comète de Halley ; dans la troisième pièce, les coureurs s'interpellent comme sur la route du Tour, Richard Mille dans sa Bugatti, Fausto Coppi sur son vélocipède, Pégase et sa jument Let's go Darling - la course du quadrige du soleil contre le temps. "De toute oeuvre, assure l'auteur, il n'y a au fond qu'une chose à savoir: est-ce qu'elle est abyssale ou pétillante?" Ces pièces - qui seraient à voir par-dessous, en levant les yeux: ce sont des "drames contemplatifs" - réunissent deux types de personnages dramatiques, les icariens (qui chutent magnifiquement) et les dédaliens (qui réussissent le vol mais assistent à la chute). L'ambition de Icare & 1 don't ne serait rien moins que d'atteindre à un alliage très rare de poésie et d'humour, de légèreté et de profondeur." En sorte que le théâtre, vu par-dessous et s'il était drôle (allegro serioso), pourrait se faire renversant."

06/2007

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Beaux arts

Signac et les Indépendants

Catalogue officiel de l'exposition Paris 1900 et le postimpressionnisme - Signac et les Indépendants au musée des Beaux-Arts de Montréal, prolongée jusqu'au 25 octobre 2020. Un ouvrage complet et exceptionnel sur la vie artistique parisienne au temps de la Belle Epoque, où une révolution culturelle s'engage avec la création à Paris d'un Salon des Indépendants - dont Paul Signac (1863-1935)est cofondateur -, et la naissance du postimpressionnisme (ou néo-impressionnisme). Paris, 1900 : une révolution s'engage au temps de la Belle Epoque. " L'art pour tous ! " , clament les artistes qui exposent " sans jury ni récompense " . Cofondateur du Salon des Indépendants, Paul Signac s'impose comme le théoricien des " impressionnistes dits scientifiques " . Il divise la couleur en taches pures et serrées sur la toile pour que la forme surgisse du mélange optique : il ambitionne un art total entre le paradis perdu de l'âge d'or et l'utopie sociale. Il défend une peinture positiviste, promoteur d'une modernité technique et politique. Ses compagnons répandent le style " pointilliste " comme une traînée de poudre de Paris à Bruxelles : les " néos " exaltent les lendemains qui chantent. L'artiste pose en intellectuel engagé, sous la plume de critiques tels que Fénéon, à l'époque de l'affaire Dreyfus. Un corpus grandiose de peintures et d'oeuvres graphiques de Signac et des avant-gardes, des impressionnistes (Monet et Morisot) aux fauves (Dufy, Friesz, Marquet) : symbolistes (Gauguin, Mucha, Redon), nabis (Bonnard, Denis, Lacombe, Sérusier, Ranson, Vallotton), néo-impressionnistes (Cross, Guillaumin, Luce, Pissarro, Seurat, Van Rysselberghe), témoins de la vie parisienne (Anquetin, Degas, Lautrec, Picasso, Steinlen). Une collection privée d'exception pour la première fois exposée dans son ensemble.

06/2020

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Littérature française

Où va le chagrin quand il s'en va ?

Il y a quatre ans, Solange a perdu Lenny, l’homme qu’elle aimait et le père de sa fille. Depuis, elle a « refait sa vie » avec Paul. Une vie de famille paisible et heureuse, jusqu’au jour où le numéro de téléphone de Lenny éclaire à nouveau l’écran de son portable. Cet appel est-il le fruit du hasard ? Ou celui d’un imposteur ? Ou le signe du destin ? Et s’il s’agissait de Lenny, s’exprimant par-delà les limbes, pour ramener Solange à la réalité de leur amour et de son chagrin de l’avoir perdu ? Car en vérité, son chagrin, l’a-t-elle vraiment vécu ? Et si oui, qu’est-il devenu ? Où va le chagrin quand il s’en va ? Pour avoir enfin le courage de se confronter à cette question, Solange se laisse emporter, là où les vivants côtoient les morts, là où l’effroi devant les manquements de l’existence n’est plus l’obstacle à fuir mais le miroir à traverser pour accéder à la vitalité de ses sentiments. Où va le chagrin quand il s’en va raconte aussi la peur d’une petite fille âgée de six ans d’accéder à l’âge de raison et de perdre le lien avec son père mort. Et celle de Paul, le nouvel amour, bien vivant, qui craint soudain de ne plus faire le poids. Avec comme toile de fond la ville des amoureux, Paris, des quais de la Seine aux bancs du canal Saint Martin, comme autant de souvenirs et de fantasmes dessinant la carte du tendre de Solange.

03/2016

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Religion

N'AYEZ PAS PEUR ! Regards sur l'Eglise et les ministères aujourd'hui

Quels ministères dans l'Église d'aujourd'hui et pour le monde de demain ? Bernard Sesboüé, avec la maîtrise théologique et la pédagogique clarté qu'on lui connaît, aborde sereinement et méthodiquement cette question. Il le fait avec les ressources de la réflexion théologique, une humble passion pour les responsabilités auxquelles l'Église ne peut faillir, une lumineuse espérance qui a l'art de traverser nos morosités. Bref, il s'agit de ne pas avoir peur. Cette parole de Jean-Paul II au tout début de son pontificat résonne sur la même longueur d'onde que celle de Jésus dans l'évangile de Luc et elle va à la rencontre de nos hésitations ou de nos malaises. Pratiquement, Bernard Sesboüé nous invite d'abord à vérifier notre langage et nos références. Pourquoi aujourd'hui hésiter à employer, comme l'avait fait Paul VI, le mot ministère pour désigner certains rôles de baptisés non ordonnés ? Et pourquoi reprendre les termes et les perspectives du concile de Trente, quand il est question des ministères ecclésiaux, comme si Vatican II ne suffisait pas ? Ensuite, l'auteur réfléchit au statut des laïcs ayant un rôle effectif et repérable dans l'Église catholique. Il tient à bien distinguer ce qui relève, en ces fonctions, du commun baptême et ce qui découle d'une participation à la responsabilité pastorale. Enfin, Bernard Sesboüé aborde une question délicate mais urgente, celle de l'ordination au ministère pastoral. On sait que les prêtres ne suffisent plus à tout ce que l'on attend d'eux. Que faire alors dans une Église qui ne peut se passer d'eucharistie ou de réconciliation sacramentelle ?

08/1996

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Religion

Promotion de la foi sur la route des temps nouveaux

Notre époque est marquée, dans ses modes de pensée comme dans ses modes de vie, par de profonds bouleversements, L'Eglise elle-même, n'étant pas hors du temps, ne peut éviter d'en porter sa part. Le discernement n'est pas aisé, actuellement, entre ce qui représente pour elle une promesse de renouveau authentique ct ce qui ne constitue qu'une très mondaine parodie de ce renouveau. Ce n'est pas la première fois que dans l'histoire chrétienne, la partie se joue serrée entre l'une et l'autre, Seulement, cette fois, c'est nous qui sommes les acteurs, et c'est par nous que doivent s'effectuer d'urgence des discernements. Ce livre veut être une brève analyse des signes des temps, à l'intention de ceux qui jugent que la recherche ne dispense jamais de la fidélité doctrinale. Exposant ses raisons, l'auteur prend parti pour l'Eglise, telle qu'elle chemine aujourd'hui en Dieu, guidée par ses pasteurs, Paul VI ouvre la marche et il n'y a de route praticable que celle où Il s'est engagé, à la suite du Christ, Cette route passe par la contradiction et la croix. Paul TOINET est prêtre. Il a consacré jusqu'à maintenant l'essentiel de son ministère à l'enseignement. Il souhaite contribuer à la rencontre entre l'intelligence de l'homme moderne et la foi de l'Eglise, sur la base d'une philosophie ouvertement chrétienne. l\1ais dans cet ouvrage, il évite résolument des considérations trop techniques. Son propos est d'indiquer quelques repères indispensables pour aider le croyant à se retrouver au milieu des problèmes confus du moment.

04/1997

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Histoire internationale

L’Europe des surprises. A l'effondrement du Rideau de fer - Parcours de Prague à Moscou.

Ce voyage inédit fascine par ses faits historiques, ses portraits, ses paysages. En choses vues se déploie l'ampleur de l'année 1990, extraordinaire événement politique et culturel : le virage de l'Europe qui suit immédiatement la chute du Mur de Berlin. Le Rideau de fer s'écroule. L'auteur zigzague de Prague à Moscou à travers huit pays où il observe le communisme qui s'effondre, la Tchécoslovaquie se casser en deux, la Pologne ressuscitée sous le souffle de Jean-Paul II, les Baltes miraculés reconstituer leurs Etats indépendants. Moscou enfin, où dans des chapitres forts Gorbatchev et Eltsine s'affrontent en pleine crise économique, dans le climat d'une perestroïka qui approche de son terme. Du même coup l'auteur voit se lever le voile sur des événements d'une extrême barbarie qui, avec migrations forcées, massacres et victimes par millions, ont été postérieurs à la fin de Deuxième guerre mondiale. Et largement ignorés. L'expulsion des Allemands, le retour malheureux des juifs en Pologne, les affrontements entre Ukrainiens et Polonais de diverses obédiences. Avec l'influence décisive de Jean-Paul II, et les aveux de Gorbatchev, le livre dresse l'état des mémoires nationales en 1989 sur la Shoah et sur Katyn. Il démontre la lenteur d'une prise de conscience globale, par l'Europe, de sa propre histoire. Une synthèse se dégage de multiples entretiens passant des plus pauvres aux ministres, des écrivains et musiciens aux savants, jusqu'aux deux plus hautes figures personnellement rencontrées et acteurs de ce bouleversement : le pape et le physicien Edward Teller, créateur de l'Initiative de défense stratégique, le dispositif qui fit exploser l'Union soviétique.

04/2017

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Ecrits sur l'art

Écrits sur l'art

Avant de rencontrer "? l'ange terrifiant ? " des Elégies de Duino, achevées en 1922, Rainer Maria Rilke avait croisé le regard énigmatique des anges qui peuplent la peinture italienne, regard faisant signe vers "? le paysage qui brille derrière eux comme une âme qu'ils possèdent en commun ? ". Des deux Lettres de Munich sur l'art en 1897 aux Lettres sur Cézanne en 1907, le poète de langue allemande a éprouvé sa prose au contact des arts visuels, à travers une vingtaine d'études, toutes recueillies dans cette édition, comprenant sept inédits en français. Au cours de cette décennie formatrice, il porta attention tant aux artistes du passé, comme Léonard de Vinci, Fra Bartolomeo, ou Marco Basaiti, qu'aux artistes de son temps, comme Auguste Rodin et Paul Cézanne, mais aussi Heinrich Vogeler et Otto Modersohn, ou, quoiqu'il ne leur consacra directement aucune étude, Clara Westhoff et Paula Modersohn-Becker, qu'il rencontra au sein de la communauté de Worpswede. Ecrire sur les arts, il le dit souvent, c'est avant tout chercher à "? ne pas juger ? ". Etre juste, c'est retrouver dans chaque oeuvre l'étrangeté fascinante de chaque existence singulière, par-delà raisons et fins. "? C'est ainsi que doivent être vues les oeuvres d'art ? : comme de vastes paysages solitaires aux ciels en hautes voûtes, comme de grands arbres sombres, comme des mers s'étendant calmement dans le soir, comme des maisons au loin dans des plaines, comme de beaux enfants qui dorment ou de jeunes animaux qui tètent, comme mille choses de cette vie éternelle et intemporelle que le jour ignore et que l'heure affairée laisse de côté. ? " Dans cette façon étrange qu'ils peuvent avoir de renouer avec la vie cosmique, les arts ont, pour le jeune Rainer Maria Rilke, une portée prophétique, voire messianique. Ils annoncent une vie "? qui ne peut pas encore être vécue aujourd'hui ? ", une vie à venir, une vie nouvelle. En attendant, il reste à faire l'effort, chaque fois, de s'ouvrir à ce qu'on voit, de se défaire du sentiment de peur devant ce qu'on ne comprend pas. "? Nous aurons à nous arrêter souvent devant l'inconnu ? ", dit-il.

10/2023

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Littérature française (poches)

Interdit

Je m'appelle Saül Weissmann, mais ne vous fiez pas à mon nom qui n'est pas juif en dépit des apparences. J'ai été, pendant soixante-dix ans, un imposteur pour les autres et pour moi-même. Ainsi commence la confession du narrateur, un vieux survivant d'Auschwitz qui apprend de la bouche d'un rabbin qu'il n'est pas juif selon la Loi de Moïse. Rejeté par les siens, Saül Weissmann se retrouve en proie à une véritable crise identitaire qui va faire surgir son double, issu de la négation de sa judéité. S'engage alors un dialogue difficile entre ce juif et ce non-juif qui cohabitent en lui : quelle identité Weissmann doit-il revendiquer ?

11/2012

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Comics divers

Star Wars Légendes : La Guerre des Clones T02

La Guerre des Clones fait rage ! Le Général Kenobi et son premier lieutenant, Anakin Skywalker, se rendent sur Jabiim où ils vont devoir faire face à des attaques sur deux fronts. Et vous retrouverez également Asajj Ventress, Bail Organa, Quilan Vos, le Comte Dooku et Mace Windu dans ces épisodes explosifs de Star Wars Republic, avant de suivre un récit complet consacré à Dark Maul ! La réédition des épisodes dans le format EPIC COLLECTION (et pour la première fois dans l'ordre chronologique) a vite trouvé son public ! A noter que la mini-série Darth Maul - Death Sentence est signée par le duo Tom Taylor & Bruno Redondo qui officie actuellement sur Nightwing,

01/2023

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Comics divers

Star Wars Légendes : La Guerre des Clones T02 (Edition collector) - COMPTE FERME

La Guerre des Clones fait rage ! Le Général Kenobi et son premier lieutenant, Anakin Skywalker, se rendent sur Jabiim où ils vont devoir faire face à des attaques sur deux fronts. Et vous retrouverez également Asajj Ventress, Bail Organa, Quilan Vos, le Comte Dooku et Mace Windu dans ces épisodes explosifs de Star Wars Republic, avant de suivre un récit complet consacré à Dark Maul ! La réédition des épisodes dans le format EPIC COLLECTION (et pour la première fois dans l'ordre chronologique) a vite trouvé son public ! A noter que la mini-série Darth Maul - Death Sentence est signée par le duo Tom Taylor & Bruno Redondo qui officie actuellement sur Nightwing,

01/2023

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BD tout public

Etoilé Tome 2 : Plat de résistance

"- Je vais me réveiller, c'est pas possible. - Et qu'est-ce qu'on va faire, madame ? - On n'a plus d'étoile. On n'est même plus dans le guide. On n'a plus rien." Avec leur première étoile au Vermont, le chef Samuel Lejeune et sa femme Paula Balta cherchent un lieu prestigieux pour en décrocher une deuxième. Le mariage d'amour s'efface au profit de la seule association professionnelle. Mais un restaurant plein ne suffit ni au bonheur ni à combler les dettes accumulées. Pietruch, le célèbre financier collectionneur d'étoiles, se rapproche du chef Samuel, il a de grands projets pour lui... Un déménagement se prépare, à mille lieues de celui dont rêvait Paula.

06/2018

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Littérature française

Mouettes et Rock'n'Roll

Juliette, jeune trentenaire Saumuroise, vit une vie qu'elle qualifie "d'heureuse"... Jusqu'au jour où tout va basculer. Les souvenirs de son enfance vont alors ressurgir et la pousser à prendre des décisions risquées. Le soutien de ses proches, en particulier de sa mère adoptive, Paula, sera déterminant ; bien que Juliette soit à des lieues d'imaginer les activités parallèles auxquels se livrent Paula et ses amis. Antoine surgit alors de son imagination et sera à la source d'une folle histoire, jusqu'au jour où la réalité reprend ses droits. Laissez-vous emporter par les flots, la Loire est proche et vous accompagne jusqu'au bout de ce récit dans lequel tout est possible.

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Romans de terroir

La vigne et la maison

A la mort de sa mère, Paule se retrouve à la tête de la propriété viticole familiale. Du haut de ses vingt ans, elle entend diriger ses affaires seule, rejetant les exhortations de sa famille au mariage ou à la vente. Mais les difficultés s'amoncellent rapidement et les opportunistes, avides d'abuser de l'inexpérience de la jeune fille, ne tardent pas à se rapprocher dangereusement. Au sein de ce décor pittoresque de la société girondine, Paule apparaît comme l'ébauche moderne d'une jeune femme indépendante, tiraillée entre l'ardeur de sa jeunesse et le poids de ses responsabilités, cherchant à échapper à la pression des hiérarchies et des convenances sociales.

01/2019

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Critique littéraire

C'était Jacques Doucet

Secret, masqué par son extrême élégance, Jacques Doucet reste une énigme au centre de la Belle Epoque dont il est le couturier (il est le seul à rivaliser avec Worth, son presque voisin de la rue de la Paix) et le confident. Grâce à la fortune que lui assure sa clientèle d'actrices et de femmes, venues des deux côtés de l'Atlantique admirer le raffinement de ses collections (il habille Sarah Bernhardt, Réjane, la Belle Otéro...), cet homme constitue de fabuleuses bibliothèques qu'il offre aux savants. Après avoir réuni des objets d'art du XVIIIe siècle, peintures, dessins, sculptures, ou encore des chefs-d'œuvre d'ébénisterie, il vend cette première collection en 1912 afin d'acquérir, entre autres, des toiles de Cézanne, de Van Gogh, de Picasso ou de Matisse. Son mobilier évolue également - il s'assied dans des fauteuils de Jacob, puis d'Iribe, enfin de Legrain, tandis qu'il s'entoure de conseillers littéraires tels qu'André Suarès et André Breton. Il s'intéresse ainsi aux manuscrits de Stendhal, Verlaine, Rimbaud, puis à ceux d'auteurs contemporains (Apollinaire, Proust, Gide, Claudel, Mauriac...). Il pensionne Reverdy, Max Jacob, Aragon, Desnos en échange de lettres, manuscrits et enquêtes. Les bibliothèques d'art et d'archéologie, puis de littérature française, qu'il forme avant de les offrir à l'Université de Paris, sont des ressources documentaires exceptionnelles, constituant un ensemble considérable de livres, de manuscrits, mais aussi d'estampes, de photographies, de dessins. Il crée la première cinémathèque. Il rajeunit ses visées là où les autres, vieillissant, récapitulent. Il se recommence sans cesse. Cette vertu scandalise. On mesure sa singularité dans la réprobation de ses contemporains. Proche de tout ce qui compte dans les années 1880-1930, sa présence se devine, discrète, efficace, déconcertante. On reste confondu de cette sûreté instinctive, chez un homme sans culture, qui a été notamment un des initiateurs du style Art déco, 1925. François Chapon a mené une enquête difficile sur les pas de ce mécène exceptionnel. Il nous introduit, à sa suite, au cœur d'une des périodes les plus brillantes de notre civilisation.

10/2006

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Critique littéraire

Metz au miroir des écrivains. Regards français et étrangers des origines à nos jours

Nombreux sont les écrivains qui ont illustré par leur oeuvre la ville de Metz, certains n'ayant pas manqué de la décrire et de nous en laisser une image d'autant plus précieuse qu'elle n'a cessé de se modifier à travers les siècles. Ce livre est né d'un constat, l'absence d'un ouvrage consacré à la ville de Metz vue par les écrivains. Un travail collectif dû à la plume de quelque quarante membres de l'Académie nationale de Metz comble cette lacune. L'éventail est élargi à des écrivains d'autres horizons, allemands certes, mais aussi anglais, suisses, luxembourgeois, belges, danois, polonais. Ainsi le lecteur trouvera-t-il dans ces pages, à côté de Philippe de Vigneulles, Rabelais, Bossuet, Madame de Staël, Chateaubriand, Balzac, Barrès ou Verlaine, des étrangers en nombre comme Giacomo Casanova, Alexander von Humboldt, Mary Shelley, Charles Dickens Jr, D.H. Lawrence, Joseph Roth, et bien d'autres. C'est ce regard d'écrivains venus d'ailleurs qu'il est intéressant de confronter avec celui de ceux qui sont nés ou ont vécu à Metz, francophones ou germanophones. Une place est réservée, à côté des grands auteurs reconnus, à de petits maîtres souvent fort oubliés, mais dont certains, comme le pasteur évangélique allemand Wilhelm Ludwig Steinbrenner, ou Ludwig Emil Grimm, illustrateur des contes de ses célèbres frères, ont su évoquer notre cité avec une précision, une richesse de détails, un sens du pittoresque et de la vie qu'on ne rencontre pas toujours chez les plus grands. Plus d'une fois, des regards croisés et contrastés sur Metz sont mis en parallèle selon le vécu propre d'écrivains contemporains les uns des autres, en particulier pour la période de l'Annexion et des deux guerres mondiales, où des descriptions parfois opposées évoquent la ville, selon qu'on a le coeur du côté allemand ou français ou qu'on est déchiré de devoir choisir. Dans le déploiement des siècles, le lecteur verra la ville se transformer, prendre de nouveaux visages, et pourra confronter la cité d'aujourd'hui avec les étapes de son histoire à travers le temps.

03/2019

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Théâtre - Pièces

Théâtre III, Nous avons les mains rouges

Adaptée de son roman paru en 1947, la pièce est créée au théâtre Verlaine en 1950, l'année de la sortie de son premier titre d'une longue production à la "Série Noire" , Y'a pas de bon Dieu ! , signé du pseudonyme de John Amila. Les critiques comparent la pièce à celle de Sartre, Les Mains sales (1948) et à celle de Camus, Les Justes (1949), le titre de l'un des articles consacré à Nous avons les mains rouges s'intitulant même : "Les Justes aux Mains sales" . Mais Meckert ne s'est inspiré ni de l'une ni de l'autre. L'idée est ancienne : dès 1946, il fait paraître une courte nouvelle, "Les Spectres" , dont l'intrigue et les enjeux sont déjà ceux du roman et de la pièce, que Jean Meckert rappelle au public : "Le drame se joue dans un village savoyard, deux ans après la Libération, mais cela pourrait se placer en n'importe quel temps et n'importe quel lieu. C'est avant tout la tragédie des purs qui n'acceptent aucun compromis et ne connaissent qu'un seul mot : la Justice. Dans un chalet montagnard, les circonstances ont réuni autour de M. d'Essartaut et de ses deux filles une bande de gars qui prétendent poursuivre une oeuvre d'épuration publique qu'ils jugent nécessaire. [... ] Leur passion vient des tripes et s'ils deviennent des justiciers c'est qu'une indignation vraie les y amène, et non un simple esprit de système. Mais rien n'est pur, rien n'est absolu. La chaleur humaine pousse à la violence, et la violence tourne rapidement à la dernière perversion". "Oh ! nous savons bien que tout n'a pas été rose dans la résistance et qu'elle n'a pas compté que des anges" , écrit un critique d'alors, qui ajoute : "Mais était-il nécessaire de l'étaler en public, de le montrer sur une scène ? " Oui, répond Jean Meckert, qui porte un regard sans concession sur cette période mais plus profondément sur la terreur du fanatisme politique au nom de la Justice et de la Pureté.

01/2024

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Musique classique

Les mélodies de Guy Sacre. Aux sources vives de l’enfance

Compositeur français, né en 1948, Guy Sacre n'appartient à aucune école et ne suit aucune mode. Son attachement indéfectible à la tonalité ne lui enlève ni sa liberté, ni sa désinvolture, aiguisé qu'il est par son goût pour la bitonalité et les échelles modales. Sa musique, d'une grande économie de temps et d'espace, joue sur le paradoxe entre un mélodisme simple, apparenté à l'univers de la comptine, et une écriture harmonique élaborée, inventive, éminemment personnelle. Guy Sacre cultive tout autant la musique que la littérature et la poésie, et apparaît, selon l'angle d'approche, tout à la fois comme un compositeur, un écrivain et un poète, sans que l'on puisse déterminer quelle est la part prépondérante. Cette publication, la première à paraître sur le compositeur, s'intéresse plus particulièrement à son oeuvre pour chant et piano, tout un monde où se rencontrent, avec ardeur et tendresse, musique et poésie. Les qualités dominantes de la musique vocale de Guy Sacre sont sa sobriété mélodique, son extrême raffinement harmonique, sa concision formelle et son économie de moyens. L'étude de ses mélodies révèle une attention extrême à la construction strophique des poèmes, au poids des mots, à leur sonorité propre, leur accentuation, comme aux images qui orientent chaque composition dans le sens de la vérité émotionnelle. Chaque recueil de mélodies parvient ainsi à créer une couleur spécifique, la musique de Fargue toute différente de celle de Verlaine ou de celle de Rilke. Ce livre tente d'ouvrir quelques portes pour aider le lecteur à pénétrer au coeur de cette musique rare, d'une grande unicité, où dominent comme une force de gravité les sentiments de regret, de nostalgie, de douleur, souvent dissimulés derrière un masque, atténués par une suprême délicatesse. Au centre de l'ouvrage, chaque mélodie est présentée dans sa chronologie, analysée, parfois avec minutie, pour mettre en valeur les qualités de l'écriture comme pour souligner les relations subtiles, toujours renouvelées, entre poésie et musique. Aux sources vives de l'enfance est aussi un portrait de Guy Sacre, et nous invite à découvrir et apprécier toute la singularité de son écriture, de son style et de sa pensée.

01/2024