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Policiers

Fin de course

Dernier jour de travail avant l'été pour Joe Pickett. Ç'aurait dû être une patrouille de routine, or d'inquiétants jumeaux l'agressent, brandissant la Constitution américaine et la Bible. Bien décidé à arrêter ces braconniers reclus dans les bois, le garde-chasse les traque dans une Sierra Madre hantée par les wendigos, esprits cheyennes maléfiques et cannibales.

04/2014

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Littérature française

Fin de saison

Qu'est-ce qu'un catakit ? Quelle est la différence entre un bon vivant et un bon survivant ? Peut-on s'hydrater avec de l'eau-de-vie ? Quelle est la valeur nutritionnelle d'un rêve ? Peut-on se sauver en se sauvant ? Les lapins sentent-ils venir la mort ? Autant de questions que Victor, père de famille et gentil loser, ne s'est jamais posées... jusqu'au jour où il se retrouve enfermé dans sa cave avec un chien et un lapin pendant que le monde s'écroule. Survivaliste pathétique, cet antihéros ironique et incisif dit, sur un mode burlesque, quelque chose de nos aspirations et de nos échecs.

10/2020

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Policiers

Lumière de fin

L’attentat visait-il seulement le siège d’un parti politique colombien ? La caméra de surveillance a filmé la terrasse voisine en train d’exploser et les derniers instants des victimes. Parmi elles, David Eyam, le plus brillant serviteur du gouvernement britannique. Kate Lockhart, son amie et ancienne du SIS, pleure sa mort et enquête, alors que des personnes haut placées aimeraient oublier certaines questions qu’il laisse derrière lui. Car c’est bien de complot qu’il s’agit.

01/2013

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Policiers

Avant la fin

Dans un internat psychiatrique de la province anglaise, Gabrielle, jeune et jolie psychothérapeute clouée à son fauteuil roulant depuis un accident de voiture, a pour patiente Bethany, 16 ans, psychotique totalement ingérable, enfermée pour avoir tué sa mère à l'aide d'un tournevis. Manipulatrice, intelligente et agressive, Bethany a le pouvoir de prévoir les catastrophes naturelles. Tsunamis, cyclones, hurricanes, tremblements de terre, éruptions volcaniques, rien de lui échappe, surtout après ses séances d'électrochocs...Avec l'aide d'un physicien qui pour la circonstance met de côté ses a priori, Gabrielle va essayer de contrôler Bethany, et d'empêcher ainsi un nouveau drame. Car, quoi qu'en dise la communauté scientifique, chaque prédiction de Bethany s'est bel et bien réalisée....Course-poursuite infernale contre le temps et malgré l'hostilité des autorités, leur combat se heurte alors à un dernier obstacle : l'influence démesurée d'un prédicateur illuminé, le révérend Leonard Krall, qui n'est autre que le père de Bethany.

05/2012

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Littérature française

A la fin

Dès lors que les médecins pronostiquèrent l'imminence de sa mort, je quittai Paris pour me rendre au chevet de ma grand-mère, hospitalisée près de Clermont-Ferrand. Je m'installai à cette occasion chez mes parents, dans la chambre même où j'avais vécu jus qu'à l'âge de vingt ans. J'y séjournai une dizaine de jours, durant lesquels des souvenirs me reviendraient : l'écriture de ma première œuvre de fiction, ma découverte du plaisir, mon premier chagrin d'amour - et quelques autres encore.

03/2004

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Littérature française

Fin de pistes

Ils sont quatre. René, qui nous parle de " sa " guerre d'Algérie, de la Françafrique, de son amour pour cette terre qu'il a pillée avant de s'y ancrer. La sublime Makéda, juive éthiopienne, avocate, revenue d'une terre si peu promise afin de suivre les traces de Mandela. Albéric, fils d'un diplomate belge, devenu artificier installé à Zanzibar, pour illuminer le ciel des nantis et des damnés des Tropiques. Codjo, qui a renié ses origines vaudou et s'est engagé dans la lutte marxiste avant de finir trafiquant d'art tribal. Tous fuient le coup d'Etat sanglant qui vient de secouer la Namibie. Ils se retrouvent en fin de piste, à la frontière angolaise. Le compte à rebours de leur exil a commencé. Le temps d'une nuit, ils vont se raconter, faisant tomber les masques et les faux-semblants. Souvenirs après souvenirs, dates après dates, c'est l'histoire du continent noir qu'ils retracent. Avec Fin de pistes, Emmanuel Pierrat nous restitue une Afrique à la fois noble et déchirée.

08/2006

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Littérature française

Clap... De fin !

"Pour l'auteur, une histoire, c'est un début... Une fin... Mais quelle fin ? Dans ses nouvelles, une fin définitive et sans vie éternelle." Jamais, dans les écrits de Robert Charles Puig, le sous-titre Nihil Vitam Aeternam n'a eu son meilleur sens, parfois avec un brin d'humour noir comme il se doit, parfois comme un chant du cygne pour des fins étonnantes, douloureuses ou tragiques. Poussés par une main invisible ou par les fils d'un marionnettiste, les personnages se transforment sous l'effet de la jalousie, la haine ou la vengeance. "La nuit", "L'assassinat", "Le rendez-vous", "La cassure", "1962.07.03" ou "Dieu" nous donnent des frissons car nous ignorons quelle est la part du réel dans les faits divers que nous propose l'auteur.

04/2015

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Littérature étrangère

Vies sans fin

Dès sa plus tendre enfance, Gio Magnasco se passionne pour les vis, les clous et les boulons. Homme taciturne et méticuleux, il sera à l'aube du XXe siècle le fondateur de la plus grande entreprise de quincaillerie de son époque. Son intérêt obsessionnel s'étend aussi aux boutons et aux lacets des corsets féminins. Gio Magnasco est le maître des connexions et des jointures. Après avoir travaillé à la construction d'un paquebot transatlantique, il participe à l'ouverture de la ligne de chemin de fer qui doit relier Buenos Aires à Ushuaia, en Patagonie. De retour en Europe, il ouvre son gigantesque magasin, dessine des modèles de lingerie féminine et invente d'innombrables modèles de têtes de vis et de clous. A la naissance de son fils, il met au point un berceau qui peut non seulement s'agrandir jusqu'à devenir un lit nuptial, mais également se transformer en cercueil. Dans ce roman où s'entrelacent la rationalité méthodique et l'excentricité absolue, la froide pondération et la fantaisie débridée, tout semble à la fois impeccablement contrôlé et perfidement vertigineux. Précise et sans ombres, l'écriture de Vies sans fin n'en dégage pas moins une poésie insolite et fascinante.

10/2001

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Livres 3 ans et +

Histoires sans fin

J'ai trouvé quatre images. Je les ai ramassées, je les ai regardées, et elles m'ont raconté des histoires à l'infini !

01/2014

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Littérature étrangère

Fin de trêve

Roman d'introspection dune grande finesse littéraire, dans le sillon de la grande tradition juive de Vienne du XXe. Confession romanesque d'un personnage mutilé par la disparition de sa mère et par sa rupture amoureuse. « Lentement, l'image que je gardais de ma mère se dissout sous l'effet de l'oubli et du doute, sans que pour autant je parvienne à reconstituer une nouvelle image d'elle. Il ne reste plus que des fragments épars, marqués du nom de ma mère, mais peut-être en va-t-il ainsi, et ce n'est que lorsqu'il n'y a plus d'histoire racontable que l'on sait que quelque chose est réel ou susceptible de le devenir. La question, le plus souvent, n'est pas ce qui fut, mais ce avec quoi on peut continuer à vivre. »

03/2017

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Lycée parascolaire

Fin de partie

Une analyse de l'oeuvre, spécialement conçue pour les élèves de Tle L, qui préparent l'épreuve de Littérature. L'ouvrage comprend : - Toutes les clés pour décrypter l'oeuvre : résumé et repères pour la lecture, repères biographiques et historiques - L'étude des problématiques essentielles Existe aussi en DVD Copat. (Lien -> http : //www. editions-hatier. fr/livre/le-meilleur-du-theatre-beckett-fin-de-partie-dvd)

08/2009

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Poésie

Fin du monde

Aragon publie en 1922 dans la revue Littérature sa traduction du poème le plus célèbre de Hoddis, Fin du monde. Poème prophétique dont la parution a consacré son auteur de 22 ans comme chef de file de la poésie berlinoise. André Breton salue lui aussi le jeune écrivain : "Nous sommes ici à l'extrême pointe de la poésie allemande, la voix de Van Hoddis nous parvient de la plus haute et la plus fine branche de l'arbre foudroyé". En quelques textes parus entre 1910 et 1914, Jakob van Hoddis (pseudonyme de Hans Davidsohn) est devenu le symbole de l'expressionnisme, aux côtés de ses amis Georg Heym, Hugo Bail et Alfred Lichtenstein. Mouvement essentiel, sans lequel le dadaïsme et le surréalisme seraient incompréhensibles. Il faut revenir au Berlin du Nouveau Club, du Cabaret Néopathétique, des revues Der Sturm et Die Aktion et au geste novateur que représenta, dans un Reich militariste et matérialiste, la publication des textes de Hoddis avant la catastrophe. Hoddis ne tombera pas sur les champs de bataille. Mais la maladie mentale le gardera prisonnier pendant près de trente ans. Comme Hôlderlin chez le menuisier Zimmer, Hoddis partagera à Tübingen la vie de l'aubergiste Julius Dieterle. Diagnostiqué schizophrène en 1927, il ne quittera plus les institutions psychiatriques. En janvier 1933, Hitler accède à la chancellerie. Contrainte par sa situation matérielle, la mère du poète part pour la Palestine et le confie à un établissement de soins israélite, près de Coblence. En juillet 1939, Hitler décide d'incorporer les malades mentaux adultes au programme d'élimination déjà mis en oeuvre pour les enfants handicapés. Près de 250 000 malades mentaux et handicapés seront assassinés. Le 30 avril 1942, l'ensemble des malades et personnels de l'hôpital de Bendorf-Sayn sont déportés et gazés, semble-t-il, au camp de Sobibor. Ainsi Hoddis aura vu le désastre s'accomplir jusqu'au bout : l'hécatombe de la Grande Guerre, la déportation de masse des juifs, la persécution de "l'art dégénéré", l'extermination des êtres "qui ne valent pas de vivre". Quatre fois coupable : poète, pacifiste, juif, schizophrène.

09/2013

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Policiers

Nuit sans fin

Pendergast face à un psychopathe coupeur de têtes Quel point commun entre la fille d'un milliardaire, un ancien avocat véreux, un oligarque russe et une lauréate du Prix Nobel de la paix ? Tous ont été assassinés à New York, que la presse surnomme bien vite la Cité des Ténèbres. Surtout, ils ont tous été décapités, et leur tête a disparu, comme si l'assassin était une sorte de collectionneur morbide... Quelles sont ses motivations ? Comment choisit-il ses victimes ? C'est ce que Vincent d'Agosta, de la police de New York, et l'agent spécial Pendergast, du FBI, s'efforcent de comprendre. Et si l'ultime cible du psychopathe n'était autre que Pendergast lui-même ? Avec ce nouvel opus, Preston & Child renouent avec leur veine polar. Une enquête parsemée de fausses pistes où l'intelligence l'emportera sur la force brute.

04/2018

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Littérature française

Fin de journée

S'il ne trouve pas l'argent nécessaire à payer son échéance du lendemain, Albert Raynal, un industriel de cinquante ans, sera acculé à la faillite. Le récit, divisé en cinq chapitres (comme une tragédie l'est en cinq actes, et la rigueur de la composition accentue le rapprochement), retrace les différentes démarches que tente d'accomplir Raynal pour se sauver. Au cours de sa quête sans espoir, par-delà la faillite de son affaire, c'est celle de sa vie qu'il découvre peu à peu. A la fin de cette journée, dont il aura épuisé l'illusion, Raynal reçoit de sa femme la révélation que l'amour aurait pu être, pour lui, le salut. Roger Vrigny use ici d'une écriture dépouillée qui nous impose sa vision et, dans l'analyse d'une détresse particulière, nous suggère la vérité tragique de tout destin.

03/1968

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Littérature étrangère

Adieu sans fin

Un matin, sous une froide lumière d'hiver : un homme pénètre dans la chambre à coucher de son fils de dix-sept ans et le découvre mort dans son lit. A partir de cet instant, l'équilibre qui gouvernait son existence vacille. Il tente tant bien que mal de surmonter l'impuissance, la douleur et la mort. Dans ce bref livre de deuil, l'auteur nous dit toute la profondeur de la souffrance et de la mélancolie, et s'efforce de reconquérir par la grâce de l'écriture et du souvenir l'essence des heures précieuses du passé. D'une plume sereine, poétique et sensible, il saisit au plus près les oscillations du coeur, laisse affleurer la douceur et le réconfort au sein même de l'effroi, et s'attache à préserver toujours une lueur d'espoir.

02/2017

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Littérature étrangère

Après la fin

Adam Goldschmidt, un universitaire, a toujours fait passer sa famille avant sa carrière. Depuis quinze ans, c'est lui qui s'occupe de ses deux filles, veille à leur moindre besoin. Et c'est peu dire qu'il s'acquitte parfaitement de son rôle. Un jour, à l'heure du déjeuner, Adam reçoit un coup de fil du lycée de sa fille aînée, Miriam, l'informant qu'il y a eu "un incident". Pendant quelques minutes, l'adolescente a cessé de respirer et son coeur s'est arrêté. Rapidement prise en charge, elle a pu être ranimée : tout va bien. Mais pour combien de temps ? Tandis que sa femme Emma, médecin généraliste, continue de travailler sans relâche, Adam voit son quotidien bouleversé et doit reconsidérer son existence, celle de ses proches, à la lumière de cet événement. Racontée à travers les yeux d'un père - un homme acerbe, imparfait, pétri de contradictions, dont nous suivons le fil des pensées angoissées ou drôles, banales ou profondes -, cette chronique moderne et mordante nous plonge au sein d'une famille qui réapprend à vivre après avoir été confrontée à la possibilité du pire.

03/2018

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Poésie

Début et fin

Nous devions nous séparer exécuter la volonté de la mère à la lumière écarquillée sur nos visages nous avons offert l'ossature altérée un homme seul marqué sur la poitrine des rameaux d'exil célébraient son nom On retrouve dans "Inizio et Fine", "Début et Fin", un thème constant chez Luigia Sorrentino : tout début est déjà une fin. Son parcours poétique peut en effet s'interpréter comme une interrogation sur la perception, plus particulièrement celle de la naissance et de la mort. Les motifs de ce thème privilégié se tissent dans une forme qui tente de saisir la signification de la perception, ses modalités, ses caractéristiques. De manière plus spécifique, ce recueil au lyrisme retenu et mystérieux évoque la perception d'un moi qui perd ses repères et se dissocie, en proie à la maladie et la souffrance qui le diminuent, insinuent le froid dans ses os.

05/2018

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Littérature française

Après la fin

"Sans vouloir m'en vanter, il n'y avait pas de quoi, j'ai toujours cru qu'il n'y avait rien. Rien après. J'étais discret sur le sujet, ce n'était qu'une question de croyance ; croire en quelque chose ou pas. Je ne voulais pas offenser les croyants ; croire en rien, c'est encore une croyance. Si on me tarabustait un peu, j'ajoutais avec un petit sourire : "Jusqu'à preuve du contraire, et dans l'état actuel de nos connaissances…". Bref, rien après, j'étais sûr de moi, malgré le désespoir. Je me disais des choses comme ça, de mon vivant" Avec une tendresse et une sensibilité toute particulières, Isabelle Minière réussit un tour de force : elle nous parle de la mort, et on en ressort optimiste et souriant. Ce petit livre faussement détaché nous fait beaucoup de bien.

02/2020

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Littérature française

Route sans fin

La route est sans fin pour qui s'attache à résister aux bourreaux. Grand-père et grand-mère et tant d'autres encore étaient engagés totalement, sans la moindre hésitation, à la recherche de ce que l'humanité peut offrir de plus digne. Une étrange sensation s'est peu à peu emparée de l'auteur, mêlant l'envie de connaître, la peur de savoir, l'admiration pour les êtres d'hier et d'aujourd'hui. Son enfance s'était déroulée apparemment sans la moindre douleur de manque affectif. Tout était normal. Grand-père était mort pendant la guerre. Grand-mère n'en parlait que très rarement et jamais ne montrait une larme. Voilà, rien de troublant au premier abord pour les âmes enfantines : un simple fait. Survint un beau jour, vers la quarantaine bien sonnée, une incompressible souffrance. Un dialogue s'était instauré avec grand-père, le Résistant. L'héritage se faisait chaque jour un peu plus insistant, au point de mettre en route une écriture "flottant" entre passé vérifié ou imaginé et présent. Ils ont volé grand père, ils ont abîmé grand-mère et tant de héros ordinaires. Ils n'ont fait disparaître personne. Ils sont dans les mémoires des descendants, inaltérables, inoubliables. Ils vivent. Grand-père avait pris la main du petit fils. Merci, Grand père.

03/2021

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Critique littéraire

Paris sans fin

La légende de François Villon, prince des poètes et mauvais garçon, a traversé les siècles et parcouru le monde. Mais pourquoi d'innombrables lecteurs ont-ils reconnu " mon semblable, mon frère " en un poète du Paris de 1460 ? Villon, " né de Paris emprès Pontoise ", est le poète fondateur de l'imaginaire de Paris, le premier vrai représentant de son inimitable esprit. Paris est le monde de Villon. Merveilleux observateur satirique de la société parisienne au Moyen Âge, il nous invite à découvrir la physionomie de la capitale, théâtre de ses tribulations, dont il dépeint avec force détails la vie du haut en bas. Sa langue burlesque et simple, avec son argot des rues et son jargon de criminel, porte la trace vivante de la réalité vécue : la pauvreté mère de tous les vices, mais aussi la joie de vivre, la gourmandise, la paillardise, thèmes qui traversent la poésie de Villon et nous font percevoir le rapport intime entretenu entre le poète et la ville. Il est aussi le premier poète lyrique à tirer de la vie quotidienne de la cité de son temps la matière pour renouveler les thèmes éternels de l'amour et de la mort, du périssable et de l'éternité. Là est l'originalité de Villon et sa modernité. À travers des détails de plans du Moyen Âge, des illustrations anciennes et contemporaines inspirées par Villon et placées en regard de fragments choisis de sa poésie, se dessine le Paris d'alors dans sa topographie, ses lieux emblématiques, ses personnages, ses scènes de vie. Ce Paris de Villon qui nous hante encore aujourd'hui.

03/2005

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Divers

Fin de bail

Philippe Berthet, talentueux dessinateur du Privé d'Hollywood ou de la série Pin-up et Antonio Cossu, auteur de la série Alceister Crowley ou du formidable Marilyn's Blues, ont, dans les années 80 souvent collaboré ensemble. On leur doit notamment la série de science-fiction Le marchand d'idée chez Glénat mais aussi toutes une série d'histoires courtes allant du polar noir au fantastique grinçant parues à l'époque dans différentes revues de bande dessinée. C'est l'intégralité de ces histoires que nous vous proposons aujourd'hui de (re)découvrir dans une nouvelle colorisation.

03/2021

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Policiers

Fin de siècle

Une femme est sauvagement assassinée dans sa villa de Cap-Martin. Ses voisins n'ont rien entendu. Pour Armel Koestler, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase clos et luxueux où son mari et elle s'étiolent. Il faut fuir à tout prix. Mais c'est oublier les mégalodons, ces requins géants revenus de façon inexplicable du fond des âges. Personne ne s'aventure plus sur l'eau. Seule la Méditerranée est protégée par deux herses et les ultra-riches sont concentrés là, entre Gibraltar et Port-Saïd. Sauf que voilà ! L'entreprise publique qui gérait ces grilles a été vendue à un fonds de pension canadien qui en a négligé l'entretien. La grille de Gibraltar vient de céder et personne ne le sait encore. Conte noir et délirant, Fin de siècle se rit de notre ultra-moderne solitude, de l'absurdité des systèmes économiques et se réjouit d'une nature hostile reprenant violemment ses droits. L'humour noir de Sébastien Gendron, "le Mozart du genre" selon Le Figaro, fait mouche !

03/2020

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Littérature scandinave

Une fin heureuse

Comme sa mère, son grand-père et tous les hommes de la famille avant lui depuis sept générations, Nicolas est croque-mort et adore son métier. Il tient désormais les rênes de la florissante entreprise familiale. Pourtant, il s'apprête à prendre la décision la plus difficile de sa vie. En plus d'un héritage déjà lourd à porter, le voici à présent obsédé par d'inavouables pulsions. Tandis qu'il emmène ses deux enfants en voyage, Nicolas retrace l'histoire de cette lignée d'excentriques au service des défunts. D'une île perdue au milieu de l'océan Pacifique au XIXe siècle, berceau de leur généalogie, à l'actuelle Copenhague, se dessine une incroyable saga familiale où les gênes décident de l'avenir de chacun. Car la question se pose : une dynastie qui vit des morts depuis des siècles peut-elle vraiment connaître une fin heureuse ?

04/2023

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Littérature française (poches)

Quand vient la fin. Suivi de Après la fin

" Mais, tout de même, quand vient la fin, c'est là qu'on mesure à quel point tant et tant de perceptions, de visions, d'émotions, de sensations restèrent étrangères à mon père. Il s'est ruiné la santé, il s'est tué de travail, il a toujours vécu comme un malheureux, comme un paria, comme un esclave, et tout cela pour aboutir à quoi ? A cette faillite totale, à cette chute dans le trou sans fond d'une atroce maladie mortelle ! Oh ! je tiens compte des circonstances parfois pénibles dans lesquelles il dut se débattre. On ne peut pas juger avec les mêmes règles la vie de l'enfant riche et la vie de l'enfant pauvre. Il fallait que mon père se batte avec la vie avant de songer à en jouir. " " Quand vient la fin n'a visé qu'à atteindre une certaine crédibilité par dessus les principes et les conventions. Je ne prétends pas que l'art doive uniquement enfanter des œuvres d'entomologiste ou de clinicien, et j'admets un art de la fiction où l'auteur tiendrait compte des illusions qui permettent aux faits nus d'avoir aussi leur climat fabuleux. C'est ce que j'ai appelé la mythologie de la réalité. Chaque écrivain pouvant créer la sienne, selon son tempérament. "

03/2006

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Littérature française

La fin du monde ? Chroniques épistolaires d'une fin annoncée

Les millénaristes et autres prophètes nous prédisent pour bientôt la fin de l'humanité, improprement appelée "fin du monde". Une curieuse correspondance entre un sage cévenol et son neveu nous interroge sur cette éternelle question.

02/2012

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Musique, danse

Pop. Fin de siècle

Il existe différentes manières de servir la musique pop. A la fin du XXe siècle, d'innombrables groupes l'ont démontré qui ont été rangés, malgré leurs différences, sous l'appellation " rock indépendant ". Dans ce livre, Guillaume Belhomme raconte l'histoire d'une centaine de musiciens et de formations emblématiques qui, entre 1985 et 2000, ont rebattu les cartes du rock et de la pop : dans les pas de quelques anciens (The Cure, Nick Cave, Sonic Youth, Morrissey, Tom Waits...), c'est l'occasion d'en apprendre sur des noms aujourd'hui incontournables (PJ Harvey, Nirvana, Radiohead, Pixies, Björk, My Bloody Valentine, Beck, The Jesus and Mary Chain, The Breeders, Tortoise, Tindersticks...) et de découvrir ou de redécouvrir des groupes parfois oubliés (Moose, Pavement, Lush, Pale Saints, Medicine, The Wedding Present, Yo La Tengo, Superchunk, Ride...) ainsi que quelques curiosités d'importance (AC Temple, Cop Shoot Cop, Swirlies, Pitchblende, Pram...). Pour chacun de ces 100 groupes ou musiciens, une sélection d'enregistrements incontournables a été établie et chroniquée. En plus des pochettes de disques qu'il reproduit, le livre est illustré par quelques documents d'époque : billets de concerts, cassettes, presse, affiches...

11/2019

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Lecture 6-9 ans

Cendrillon. Fin de CP

A qui appartient cette pantoufle de verre perdue lors du bal ? J'apprends à lire avec les Grands Classiques Disney est une collection spécialement conçue pour accompagner les enfants dans leur apprentissage de la lecture. Elle propose des petites histoires courtes et faciles à lire. L'enfant peut lire tout seul dès le début de l'apprentissage de la lecture. La collection propose trois niveaux progressifs : - Niveau 1 - Début de CP - Niveau 2 - Milieu de CP - Niveau 3 - Fin de CP

07/2019

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Policiers

Une fin en soie

Un homme public, Grégoire Magrelle, adjoint au maire dans sa commune et suppléant du député local, est retrouvé assassiné dans un motel de luxe à Neuville sur Saône. Il est mort étranglé avec un bas de soie au cours, semble-t-il, d'une séance sadomasochiste. Il s'avère que ce conseiller financier, au demeurant de bonne réputation professionnelle, séparé de son épouse pharmacienne, bien que vivant de temps à autre dans leur propriété, mène une vie sexuelle très tumultueuse. L'enquête menée par l'Inspecteur divisionnaire Bonnier, de la PJ de Lyon et son groupe, notamment son jeune adjoint Guillaume Chopin, va connaître bien des rebondissements.

03/2019

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Littérature française

Un amour sans fin

Johan est un enfant comblé par l'amour de ses parents jusqu'à ses trois ans. Leur séparation bouleverse la vie de l'enfant qui, sans explication, ne revoit plus son papa. Il aime sa maman d'un amour inconditionnel pourtant elle le rejette pour refaire sa

01/2017

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Histoire internationale

La fin des empires

L’histoire serait-elle vouée à n’être qu’un éternel recommencement ? Cette fameuse question mérite particulièrement d’être posée concernant la naissance et la chute des empires. Depuis l’Antiquité, et sur tous les continents, certaines contrées, par le fer, l’or et l’esprit, se hissent au rang de puissance prépondérante et dominent une large partie du monde. Or, selon l’adage de Jean-Baptiste Duroselle, «tout empire périra» pour des raisons multiples, même si un noyau dur d’explications peut être avancé : crises de croissance, notamment en matière d’assimilation des populations conquises, paupérisation économique, épuisement du modèle militaire ; enfin et naturellement, apparition et renforcement de rivaux intérieurs et extérieurs. Sous la direction de Patrice Gueniffey et Thierry Lentz, des historiens de renom racontent et analysent le déclin et la chute des grands empires qui ont fait le monde. Ils nous entraînent dans le sillage d’Alexandre le Grand jusqu’au soft power de Washington, en passant par le modèle romain et son héritier byzantin, les empires des steppes, l’Empire ottoman, le binôme latino-continental espagnol, précédant le siècle idéologique (1917-1991) qui voit tour à tour s’effondrer l’empire des Habsbourg, le IIIe Reich, le Japon militariste, puis, après la guerre froide, le communisme soviétique, héritier de l’impérialisme séculaire des Romanov. Brisés par les deux guerres mondiales, la faillite des totalitarismes et le déclin de l’Europe qui avait dominé le monde depuis le XVIe siècle, les empires ont pu sembler, alors que l’on célébrait la fin de l’histoire, condamnés au bûcher des vanités. Seulement, si les empires trépassent, l’impérialisme ne meurt jamais, comme le prouvent les étonnantes métamorphoses de la Chine, l’éternel retour de la Russie, sans occulter le poids toujours majeur des Etats-Unis. Au final, une grande leçon d’histoire, inédite et essentielle, pour connaître le monde d’hier et comprendre celui d’aujourd’hui.

01/2016