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Questions du quotidien

Médecine de la longévité : une révolution

Depuis toujours, certains ont cherché, sans succès, à dépasser les limites naturelles de notre espérance de vie. Aujourd'hui, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, nous avons les moyens de repousser concrètement cette dernière frontière : la sénescence (ou vieillissement négatif), processus qui nous conduit à la mort. Nous ne sommes plus dans l'imaginaire, dans la science-fiction, dans les fantasmes... mais dans la réalité scientifique. Certains en profites déjà aujourd'hui. Le vieillissement, qui a toujours été considéré comme un phénomène physiologique, est devenu une actualité brûlante avec l'accroissement de la durée de vie de la population et l'augmentation du coût social des pathologies chroniques et de la retraite. Il n'est plus question aujourd'hui de parler de vieillissement " normal " ou " réussi " mais d'un vieillissement modulable. On assiste à l'émergence de stratégie thérapeutique visant le processus de sénescence lui-même. La sénescence est en train d'évoluer, de simple processus " physiologique " vers la notion de " maladie primaire " sur lequel on peut agir efficacement, grâce aux sciences de la longévité, n'en déplaise à certains. Car biologiquement, l'affaire est réglée. Nous sommes capables d'immortaliser des cellules depuis plus de 25 ans. Nous cernons de plus en plus précisément les mécanismes de notre sénescence qui fragilisent notre organisme et font le lit des maladies. Nous sommes déjà capables aujourd'hui de ralentir le vieillissement de certains systèmes physiologiques, voire de l'améliorer. Demain, nous pourrons l'inverser grâce aux progrès de la médecine régénérative. Imaginez vivre en parfaite santé 125, 150 ans ou beaucoup plus longtemps encore grâce à la médecine de la longévité. Les problématiques actuelles d'âge de la retraite disparaitraient comme par enchantement. Imaginez une nouvelle organisation de la société avec non plus un simple cycle " formation-travail-retraite ", mais une multitude de cycles " formation-travail-repos " qui se succéderait à un rythme de tous les 15 ou 20 ans ? Imaginez les répercussions sur l'organisation de la société, sur votre façon de concevoir votre vie professionnelle, familiale... Imaginez avoir 50 ans aujourd'hui, rester identique pendant les 25 prochaines années, puis commencer à vous améliorer, à rajeunir. Mais vous pourriez aussi avoir 75 ans aujourd'hui et vouloir cesser de vous détériorer, en attendant que la médecine régénérative vous prenne en charge. Cela vous intéresse-t-il ? Il est probable que vous n'arriviez même pas à le concevoir et pourtant cela existe déjà aujourd'hui. Notre société va se trouver totalement bouleversée par cette révolution. Les vieux réflexes politiques, sociologiques, économiques... n'auront plus cours. Cette peur panique de cet avenir va d'ailleurs provoquer des réactions extrêmement violentes contre ce progrès pourtant inéluctable. Des firmes multinationales ont déjà créé des sociétés spécialisées à la recherche de l'industrialisation de l'immortalité sous toutes ses formes comme CALICO (Google), ALTOS (Amazon)... et se préparent à ce futur inéluctable. L'espérance de vie limitée devient de plus en plus un concept obsolète. Les enjeux sont immenses. Notre société, toujours prisonnière de vieilles certitudes philosophiques, de vieux réflexes anachroniques (âge pivot de la retraite)... ne perçois pas encore cette révolution qui est à nos portes et qui va déferler brutalement. L'ambition de ce livre est de vous raconter les enjeux de cette déferlante, qui dans les 10 à 15 prochaines années, va avoir des conséquences majeures avec des bouleversements personnels et sociétaux. Il faut anticiper cette période à venir, penser à apprendre à gérer et à investir dans votre propre capital santé. Nous pouvons le faire, à vous de décider, si vous voulez en être.

10/2023

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Littérature française

L'adultère ingénue

Roman moderniste, roman à clefs, roman épistolaire, roman-journal intime. Et l'un des premiers romans lesbiens. Quand elle écrivit Etude d'une passion en 1912, Natalie Barney avait 36 ans et sa légende, la légende de l'Amazone, était en train d'éclore. Dès les premières lignes d'Etude d'une passion, Natalie Barney nous indique son dessein, la ligne de son roman : analyser en profondeur le sentiment amoureux. Elle le décortique, ce sentiment, elle le met sous un microscope et nous raconte son développement, ses incertitudes, ses angoisses. Et ses joies et ses triomphes. Elle le fait avec un langage nouveau en rupture avec tout réalisme du XIXe , une écriture, la sienne, parfois informelle où il y a presque un refus de la linéarité au profit d'une structure plus circulaire. Natalie Barney, avec L'Adultère Ingénue, peut être considérée l'une des grandes romancières modernistes telles que Gertrude Stein, Djuna Barnes, Mina Loy, Katherine Mansfield, Rebecca West et Marianne Moore. Dans ce roman précurseur, Natalie Barney introduit des éléments technologiques absolument novateurs et hyper modernes : le téléphone, l'automobile et même l'avion. D'autre côté, en revanche, et cela justement pour déstabiliser le lecteur et déjouer tout rythme établi, elle y greffe une forme de style plus traditionnelle, celle du roman épistolaire, en insérant entre ses pages plusieurs vraies lettres échangées entre elle et Elisabeth de Clermont-Tonnerre. Natalie Barney n'a pas peur de dire l'amour charnel, impudique, entre deux femmes : " L'immense force de mon désir qui me change de sexe et même d'aspect, déchaîne le grand dieu du rut que je porte dans ma tête par mes flancs. ", écrit-elle. Jamais auparavant il y eut un roman rédigé avec cette même impulsion sensuelle et jubilatoire qui, contre toute attente de ses contemporaines, ne se termine pas avec la mort de l'une des deux héroïnes ou un adieu forcé par une catastrophe naturelle. C'est peut-être pour ces raisons qu'il ne trouva pas un éditeur " courageux " prêt à le publier. Ecrit directement en français par une Américaine - manuscrit d'abord dans deux cahiers noirs, dactylographié et corrigé à la main par la suite - il est resté cent dix ans caché dans des tiroirs. C'est le troisième roman de Natalie - le premier, Lettre à une connue (également inédit) dit l'histoire entre Natalie et Liane de Pougy, une sorte de réponse à Idylle saphique, le deuxième, Je me souviens (1910) est une réponse lui aussi à Une femme m'apparut de Renée Vivien - c'est ce troisième roman, qui est le plus novateur et original. Il était temps de lui donner la place qu'il mérite.

08/2022

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Pléiades

Histoire de ma vie. Coffret en 2 volume : Tome 2 ; Tome 3

Respecter une oeuvre longtemps malmenée, et par là renouveler l'image de Casanova ; faire en sorte que l'on considère l'écrivain et non plus seulement l'aventurier, et pour cela établir enfin une édition respectueuse du manuscrit avec lequel se confond l'Histoire de ma vie : tel est le projet de cette entreprise, aujourd'hui achevée. Le texte est scrupuleusement transcrit ; la langue propre à Casanova, respectée en tout point ; les repentirs de l'écrivain, lisibles au bas des pages, comme les notes qui fournissent la "traduction" des mots ou des passages susceptibles de faire difficulté. Au texte d'Histoire de ma vie s'ajoutent d'importants appendices, qui proposent pour l'essentiel des écrits de l'auteur, mais aussi le témoignage de quelques-uns de ses contemporains, qui l'ont connu, lu, aimé, ou qu'il a marqués, durablement. Le premier volume de cette édition retraçait la jeunesse vénitienne, le "bel âge", jusqu'à l'évasion de la prison des Plombs. Voici Casanova exilé. Il a trente-deux ans. On le retrouve à Paris, "en devoir de faire fortune". Les années 1757-1763 (t. II de notre édition) sont fastes. Naviguant dans les coulisses du pouvoir, opulent, éblouissant, Casanova roule carrosse. Mais une fabrique de toiles peintes le ruine. Son goût pour la magie, la cabale, l'alchimie lui vaut des succès qui tourneront à l'aigre. Affaires, plaisirs, fuites parfois : il voyage dans l'Europe de la guerre de Sept Ans, manque être enrôlé comme soldat, se jette dans un couvent, aspire un temps à une vie retirée, puis s'élance à la poursuite d'une belle amazone. Les longues fiançailles avec Manon Balletti restent sans suite. Le mariage est "le tombeau de l'amour". Casanova commence à se déclarer "libertin". En 1763 (t. III de notre édition), il est à Londres. Une syphilis le met en danger de mort. Vient le temps des longs voyages : Allemagne, Russie, Pologne, Espagne. La politique européenne le passionne. Il tente en vain de plaire aux souverains. Déceptions, errances, dettes. Quelques jolies passions encore, mais aussi de vilaines "galanteries". A mesure que le récit avance, le passage du temps se fait plus sensible. L'heure des bilans est venue. La maturité dépossède Casanova de sa véritable nature. Il a quarante-sept ans déjà, un "âge méprisé de la fortune". Il se rapproche de Venise. L'Histoire de ma vie s'interrompt à la date de 1774, à la veille de son retour. Inachèvement accidentel, ou volonté de ne pas raconter la fin ? A Venise, désormais, Casanova est un indicateur aux services des inquisiteurs. Pouvait-il investir les années 1774-1798 (date de sa mort) d'un désir qui était lié à l'énergie et à la séduction ? Il revient sur l'ensemble de son histoire, lui donne un nouveau titre, Histoire de ma vie jusqu'à l'an 1797, mais n'en prolonge pas le récit. Dans la préface qu'il écrit alors, c'est de ses "folies de jeunesse" que le lecteur est invité à se réjouir avec lui.

05/2015

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Cirque

Nouma Hawa, Reine des fauves. La véritable histoire de la première dompteuse du monde

Cet essai relate le parcours invraisemblable d'une petite lingère ardéchoise dévorée d'ambition qui va faire de sa propre vie un roman d'aventures digne d'un conte des mille et une nuits. Maîtresse de son destin comme un auteur déciderait de celui de son héroïne, elle se crée de toutes pièces un personnage spectaculaire, exotique et fascinant. Se jouant des conventions sociales, elle devient dompteuse de fauves puis propriétaire de sa propre ménagerie. Une maîtresse femme qui ne se laissera pas plus intimider par la domination masculine qui règne dans le monde forain que par les crocs du redoutable tigre du Bengale. A la scène comme à la ville, Nouma Hawa aura été une femme libre - en un temps où l'émancipation féminine n'est encore qu'un horizon. Mariée plusieurs fois, elle a connu les divorces, la solitude (si malvenue pour une femme mûre de l'époque) et même, selon certaines rumeurs, un libertinage assumé. Sur l'arène, elle alimente les fantasmes les plus troubles de ses contemporains, frêle sylphide parmi les bêtes sauvages, intrépide amazone face à des dangers souvent mortels, étendant l'empire de sa séduction jusqu'à réduire à des matous les fauves les plus féroces de son seul regard de braise. C'est la femme fatale à tous égards, faisant sienne sans sourciller la lourde réputation des premières dompteuses, qui seraient à la fois sauvages, dépravées et dominatrices. Apanage qui toucherait au vulgaire si notre héroïne n'avait su en faire, précisément, ses armes et sa parure, et disons-le, jusqu'à son bouclier médiatique. Née en 1845 (et morte en 1925), la belle Nouma Hawa va vivre "de plein fouet" le virage du XIXème au XXème siècle, période de profondes mutations qui se répercutent évidemment sur le monde du cirque. Tout d'abord, l'Exposition internationale d'Electricité (1881) ainsi que l'Exposition universelle de 1889 marquent un tournant dans l'économie du spectacle ambulant. On y découvre les inventions les plus révolutionnaires, notamment le phonographe et le kinétoscope, ainsi que d'autres créations de Thomas Edison comme l'ampoule et les générateurs électriques, dont les forains vont profiter pour développer des attractions originales et innovantes et des équipements modernisés afin de prendre en marche le train du progrès. De même, l'apparition du cinématographe (dont la popularisation devra beaucoup au monde du cirque) va bouleverser la conception des numéros qui sauront ingénieusement intégrer des projections filmées. L'industrie du cinéma, précédant de peu la Première Guerre mondiale, s'empare très vite elle-même de l'image des fauves qui ont le don de faire voyager les spectateurs (mobilisant par conséquent nombre de conseillers animaliers, souvent d'anciens dresseurs). Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si, en 1924, la Metro-Goldwyn-Mayer, l'un des plus anciens studios de cinéma, choisit pour emblème un lion rugissant, image acccompagnée bientôt du son (enregistré sur gramophone en 1928). Quant à Nouma Hawa, son sens inouï de l'adaptation, son intelligence et son inventivité en termes de stratégies commerciales ainsi que son génie dans l'utilisation des médias - et dans la médiatisation de sa propre vie - feront d'elle une star à tous les âges de son existence. Elle finira ses jours à Genève dont elle a marqué des générations d'enfants et de leurs parents magnétisés par celle que ses contemporains surnommèrent à juste titre "la Reine des fauves" et qui fut sans conteste la dompteuse la plus populaire de la Belle-Epoque.

11/2023

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Sociologie

Le Petit Livre Rose. Nous, le Peuple, On veut la Paix !

"Le Petit Livre Rose - Nous le peuple, on veut la paix ! " de Nathalie Kesler : avancer vers l'ingénierie de la paix pour annihiler toute barbarie. Tous les jours, sous nos yeux, le spectacle que nous livre le monde est d'une désespérante tristesse. Nous pouvons tous observer l'extrême pauvreté qui côtoie l'extrême richesse... Pourtant, alors que des politiques mondiales se sont rapidement mises en place pour la vaccination, il n'existe aucune volonté commune pour en finir avec la misère. L'erreur serait-elle d'attendre que la paix vienne des hautes sphères ? Avec "Le Petit Livre Rose", la Présidente fondatrice de l'ONG Pangée Nathalie Kesler veut faire évoluer rapidement les consciences car, tous, à notre échelle, nous avons le pouvoir de devenir des diplomates citoyens oeuvrant pour la paix. Il ne s'agit plus d'intervenir après les conflits et de se contenter de commémorer la paix. Désormais, les mesures et les moyens doivent porter sur la prévention. Ce mouvement commence à mobiliser partout dans le monde, où des projets éducatifs voient le jour (ex : Université de la Paix au Costa Rica), mais la France est encore très en retard dans ce domaine. Le Petit Livre Rose, à la fois court et dense, est une invitation à oser mettre en place une véritable ingénierie de la paix, cette nouvelle approche de la citoyenneté qui lutte contre la fatalité en s'attaquant aux racines du "Mal Radical". Il est actuellement disponible en pré-commande sur Amazon, et bientôt pour tous les habitants du monde, puisqu'il va être traduit dans de nombreuses langues (la traduction espagnole a par exemple déjà débuté). Il existe actuellement plein de livres de toutes les couleurs, mais tous avec la même finalité guerrière : le livre blanc de la défense, le livre vert de Mouammar Khafadi, le livre rouge de Karl Marx... Avec ce nouveau livre rose, je veux donner une tonalité radicalement à contre-courant, puisqu'évolutionnaire et pacifiste. Nathalie Kesler 51jprZq5MjL L'ingénierie de paix, un concept fort et riche de sens Pourquoi le thème de la paix est-il associé à des connotations utopistes ou "new age" ? Ce sujet n'est pourtant pas une notion floue, fruit d'une rêverie de quelques bobos rêveurs... La paix se construit et suppose donc une approche rigoureuse. "Le Petit Livre Rose" est ainsi structuré en 3 parties. Log PG 2 La première partie présente l'Ingénierie de Paix L'auteure tente d'en édifier une réalité augmentée par de l'intelligence conceptuelle, afin de densifier l'aura déjà acquise par les termes de "culture de paix", actuellement en usage au sein de l'UNESCO, l'organe international qui déploie le plus l'attention sur ce thème. Par un rapide historique de son évolution, la fusion des termes invite le lecteur à croire davantage au caractère rationnel et possible d'une future paix mondiale. Certaines propositions sont émises, dans le but d'éradiquer le maximum de conflits meurtriers, ainsi que de violences. La seconde partie propose un nouveau système dénommé " La Nouvelle Pangée", en référence au terme géographique de continent originel. Du découpage Aristotélicien de la monnaie en unités de mesure, vers un monde d'unités de valeur qui espère dans l'idéal kantien de paix perpétuelle, le nouveau système s'emploie à mettre en valeur les talents de chacun (terme autrefois utilisé pour de la monnaie), et se détourne de l'obscure "gouvernance mondiale" occulte qui se déploie de nos jours. Et ce, afin de faire éclore un système de participation des individus, qui soit transparent, et où chaque personne sur la planète peut faire éclore sa créativité et son aptitude au bonheur collectif. Nathalie Kesler pose par conséquent la première pierre au futur système d'échanges de biens et de services adossé à des valeurs éthiques : Ce programme politique, découpé en PARTS de ressources et en PANS d'activités, serait notamment basé sur l'égalité des temps de vie des individus citoyens, de plus en plus responsabilisés, et d'autres valeurs à haut potentiel (ex : pénibilité des tâches, mérite de générosité ou efforts concrets déployés pour la construction de la paix). La dernière partie concerne l'élaboration de termes nouveaux pour repenser l'impensé et les non-dits de ce monde. Il s'agit de conscientiser nos échecs à construire la paix du fait d'une vacuité conceptuelle béante autour de ces thématiques. Comment remédier à des maux dont le champ notionnel est pauvre ? Mettre l'accent sur la nécessité d'élaborer des néologismes pour désigner une réalité, ou élaborer une réflexion sur l'éradication de la misère dans le monde, qui oeuvre sur ses causes profondes, et non pas seulement sur ses conséquences, où le processus de résilience est parfois difficile, voire désespéré, une fois les traumatismes perpétrés. Nathalie Kesler : Je suis une preuve aberrante d'un des tabous de ce monde : le vol des enfants, un acte de fragilisation volontaire politique. On a beaucoup parlé des enfants volés de la RDA ou de ceux de La Réunion, mais cette situation est beaucoup plus fréquente qu'on ne le croit, et elle se déroule le plus souvent avec la coopération directe ou indirecte des Etats. La troisième partie s'achève donc par l'élaboration embryonnaire d'un lexique et de termes nouveaux élaborés pour la "Nouvelle Pangée". Ce livret, enfin, est un condensé de références incontournables pour penser un monde sans argent. Possibilité de remporter une version papier du Petit Livre Rose La version papier du livre est en effet offerte à celles et ceux qui auront acheté la version numérique (offre limitée aux 50 premiers participants) et laissé des commentaires intéressants de propositions pour la paix sur les espaces commentaires des livres sur internet. Une fois cela effectué, il faudra simplement envoyer la preuve du commentaire, ainsi que ses coordonnées de livraison, à l'adresse suivante : cadeaux@parapacem. com De plus, pour 3 ebooks commandés, il sera également possible de demander sa version brochée offerte en cadeau. Sommaire Citations célèbres Sommaire Introduction La Nouvelle Pangée Nommer la paix, au-delà du verbe UNESCO et culture de paix Au-delà des religions Un système alternatif à l'argent Quels outils créer ?? Ingénierie de l'éducation à la paix Opération Pang-Or Basculer vers un monde sans argent et Constat du monde de l'argent Opération "Pang-Or" Objectif n°1 : créer une application universelle pour un monde fraternel et solidaire sans Argent. Objectif n°2 : oeuvrer à notre déconditionnement culturel : l'éducation à l'attrait du bien commun. Objectif n°3 : sortir de notre expectative et prendre le destin du Monde en main pour mettre en oeuvre notre réflexion en commun. Plafond Zéro : décompter les parts de ressources mondiales Acquérir un cadre de vie serein et de qualité Redéfinir le "travail" en Ressources d'activités humaines Rééquilibrage des PARTS de ressources en fonction des PANS d'activités en vue d'un rééquilibrage des inégalités Créer un institut de formation pour la Paix (Ingénierie de paix) Créer une université ou une première école Mettre au point l'EMA Système de défense mondiale commune Système optimise des savoirs mondiaux Ingénierie de paix planétaire et interplanétaires En Résumé Webographie Bibliographie Lexique IMG-20210728-WA0007 © Grégoire de Gaulle ADAGP Extrait Souvent, lorsque les gens me disent : "? la paix, c'est pas pour demain ? ", ou "? c'est une belle utopie ? "? ; "? les guerres ont toujours existé, il y en aura encore toujours ? ", etc. , alors je m'étonne que des Occidentaux, qui ont vécu comme norme quotidienne, un monde sans guerres, dans la plupart des pays européens, notamment ceux qui sont nés après-guerre, ou qui ne s'en souviennent pas ? ; ce qui constitue actuellement, en 2021, une majorité, ceux nés en 1940 ont déjà 80 ans, pour ainsi dire, la mémoire des guerres s'estompe, et si les commémorations sont nécessaires, il vaut mieux éviter de créer de nouvelles guerres pour convaincre de s'en passer plutôt que de tenter de nouvelles formes de guerres insidieuses, non armées, mais tout aussi dangereuses, qu'elles soient bactériologiques ou économiques... ... En bref, pourquoi ceux qui justement jouissent de la paix au quotidien (ici dans le sens de paix sans conflits armés) s'obstinent à plaider qu'elle n'existe pas, puisqu'ils expriment un paradoxe quasiment en flagrant délit d'imposture dans le sens où ils ont vécu dans un havre de paix toute leur existence, sans JAMAIS expérimenter de conflits armés de leur vie ! A ce titre, il faut remettre les pendules à l'heure, peut-être préciser que les guerres semblent nécessaires aux pays vainqueurs afin de maintenir l'équilibre des pouvoirs d'après-guerre, et maintenir des guerres afin de continuer à asservir certains pays au service des intérêts des pays en paix. C'est ici que la leçon est apprise de nos actes de colloque où l'on apprend que le Président de la troisième assemblée générale de 1948, Herbert Vere Evatt, ayant participé aux actes fondateurs de la charte de San Francisco, à l'origine des Nations Unies, avait bien écrit en réponse au courrier de Garry Davis que "? la mission des Nations Unies n'était pas de faire la paix, mais de la maintenir ? "... Dans cette lettre de Evatt : il rappelle que l'ONU a voté une résolution "qui demande aux grandes puissances de faire la paix" et ajoute : "Cette résolution illustre le fait indubitable que l'Organisation des Nations Unies, et en particulier l'Assemblée générale, n'a pas le pouvoir général ou la prérogative de faire la paix" . (article 107.) Les Nations Unies ont comme fonction primordiale "le maintien de la paix internationale, une fois que la paix sera établie" . Et appelle les peuples à participer "à son activité pratique de tous les jours" . Albert Camus avait bien mis en évidence cette supercherie dans son texte de défense de Garry Davis, lors de son incarcération : "L'Organisation des Nations Unies s'est engagée dans une attitude dont la logique mène à l'arrestation d'hommes

09/2021