Voyager à travers des mondes imaginaires, à la rencontre de personnages fantastiques, explorer des univers de magies, ou de science futuriste, croiser des créatures légendaires, voire monstrueuses, prendre part à des cérémonies avec des peuples féériques, ou extraplanétaires… Les littératures de l’imaginaire sont autant de portes ouvertes vers des ailleurs, qui vous tendent les bras.
Le 64e congrès de l'ABF se déroulera à La Rochelle à l'espace Encan, du 7 au 9 juin 2018, sur le thème : À quoi servent les bibliothèques ?
Né le 22 août 1920, Ray Bradbury est un des grands noms de la littérature de science-fiction américaine, particulièrement réputé pour la qualité de ses nouvelles, notamment grâce à ses recueils L'Homme illustré (1951), Un remède à la mélancolie (1958) ou encore les Chroniques martiennes (1950).
Muse, recherches acharnées ou nonchalance virtuose, l’inspiration reste le grand secret de la création. Mais dans quelles circonstances le premier pas vers l’écriture s’est-il opéré ? Comment ont-elles su qu’elles entamaient leur premier véritable livre, celui qui serait mené à terme ?
L’émerveillement ouvrirait ce qui est fermé. Souvent il passe par l’étonnement, la découverte. Sortir des sentiers battus, voilà un des grands moyens de l’éblouissement, ce dont sont capables les artistes. Parmi eux, les auteurs, grâce à leur style, leur propension à prendre le problème par un bout qui échappe à tout le monde, ou à leur trait de crayon.
Goncourt, Renaudot, Fémina, Medicis, Interallié... sans compter les prix qui sont créés par des enseignes, Leclerc, Cultura ou Fnac... Les occasions de faire sauter le champagne ne manquent pas.
« S’il y a un domaine pour lequel la bande dessinée est un formidable outil, c’est bien les sciences », estime l’éditrice de la collection, Alix de Sanderval. Octopus est un projet éditorial apportant des clés pour comprendre, réfléchir, explorer, découvrir. Astronomie, médecine, biologie, philosophie, rien n’échappe aux tentacules de cette collection.
L’accès à la littérature ou à la documentation dans les établissements pénitentiaires s’avère difficile. Outre la censure de nombreux titres dans les bibliothèques des prisons, les détenus se voient également souvent interdire de recevoir des livres, sous prétexte que ces expéditions alimentent le trafic de drogue ou la livraison d’armes.
La 31e édition du Salon du livre de Turin s’ouvrait sur un thème étonnant, résolument tourné vers l’avenir, Un giorno, tutto questo... Un jour, tout cela... comme un appel à l’uchronie, à la littérature du futur, à regarder vers demain, ce qui se passera, ou qui pourra se passer.