Miguel Almiron

BONNES FEUILLES – Le trait de Jaume Pallardó, héritier de la ligne claire, est représentatif de la « nouvelle école valencienne ». Avec La Mort rose, il signe un récit de science-fiction poignant, captivant et, malgré lui, actuel. Un roman graphique qui devrait, grâce aux différentes formes fictionnelles par lequel il a déjà été abordé par le passé, nous faire davantage réfléchir sur ce que notre société doit être. Le fameux « monde d’après ».

BONNES FEUILLES - Bernard Boutet de Monvel (1881-1949), au-delà d'être un peintre spécialisé dans le portrait de sportifs et de dandys, s'est distingué comme décorateur et illustrateur emblématique de l'élégance masculine, collaborant avec des publications renommées comme la Gazette du Bon Ton et Harper’s Bazaar. 

BONNES FEUILLES - « La musique populaire doit être analysée dans son contexte global, on peut difficilement en mesurer la valeur depuis une perspective strictement musicale sans s’intéresser au cadre de vie de la communauté qui la produit et qui en jouit. Et c’est elle, au bout du compte, qui importe : la musique peut être d’une qualité exceptionnelle, mais si le public qui la justifie ne s’identifie pas pleinement avec elle, elle perd de son importance et reste sans effet. Par conséquent, pour comprendre la salsa, il faut aussi comprendre tout le spectre social et culturel pour lequel elle fut créée. »

BONNES FEUILLES - Paris de 1800. La Révolution a dévoré beaucoup de ses enfants et Bonaparte est devenu Premier Consul. Les arrivistes guettent l’occasion, des intrigues meurtrières se tissent. Le soir du réveillon de Noël 1800, le futur empereur est victime d’une tentative d’assassinat.