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BONNES FEUILLES – Enfin : le nouveau roman tant attendu de Kelly Barnhill après le succès de La fille qui avait bu la Lune (trad. Marie de Prémonville). L'Ogresse et les orphelins, toujours dans une traduction de Marie de Prémonville, sortira le 8 avril.

BONNES FEUILLES - En déconstruisant tout ce que l'on croit être le bouddhisme zen, grossièrement transformé par le développement personnel, Tōzan nous livre un récit de vie cru et sensible et partage un véritable carnet de méditation.

AVANT-PARUTION – Texte mythique dans la bibliographie de l'autrice et au sein de la littérature française moderne, L'Amant de Marguerite Duras a aussi marqué un genre, celui de l'autofiction. Ce récit publié en 1984 aux Éditions de Minuit vaudra le Prix Goncourt cette même année à Duras : la mangaka Kan Takahama en propose une adaptation dessinée, publiée par les éditions Rue de Sèvres. 

AVANT-PARUTION – Mattéo fait sa rentrée au collège Lovecraft, un bâtiment ultramoderne construit quelques mois plus tôt. Il ne connaît personne, excepté Glenn Torkells, sa bête noire depuis l’école primaire... Bienvenue au collège Lovecraft, un établissement affreusement pas comme les autres... La série à succès, avec plus de 50.000 exemplaires vendus, fait son passage en poche…

BONNES FEUILLES - Un jeune dessinateur argentin se retrouve à travailler sur les chantiers parisiens. Un roman d’apprentissage décalé et un portrait original plein d’humanité du monde ouvrier et de Paris. 

BONNES FEUILLES - Que faire quand un avion piloté par des gangsters s'écrase dans une campagne argentine pauvre, répandant des ballots de cocaïne par dizaines ? Ramasser la came bien sûr.

Après une pause de 7 ans, Daniel Clowes, célèbre pour Ghost World et Patience, revient avec une nouvelle pépite. Monica se présente comme une série d'histoires qui, bien qu'indépendantes, s'assemblent pour créer une narration biographique. L'ouvrage, traduit par Anne Capuron, sortira sous peu chez Delcourt.

BONNES FEUILLES – Attaquer la terre et le soleil narre le destin d’une poignée de colons et de soldats pris dans l’enfer oublié de la colonisation algérienne, au dix-neuvième siècle. Et en un bref roman, c’est toute l’expérience d’un écrivain qui subitement se cristallise et bouleverse, une voix hantée par Faulkner qui se donne.

AVANT-PARUTION – Guillaume Tranchant, cela ne parle qu’aux aficionados. Gringe, en revanche, son pendant Mr Hyde, a gagné ses lettres de noblesse dans le rap français. Seul ou avec Orelsan — son alcoolyte — il a également joué dans la série Bloqués, puis le film inspiré de leurs désaventures, Comment c’est loin. Les fans savaient que Gringe/Guillaume avait un frère. Jamais il n’en aura été autant question que dans ce livre.

BONNES FEUILLES - Un an après la mort brutale de son père musicien, Benny, treize ans, se met à entendre des voix.

BONNES FEUILLES – Depuis près de vingt ans, Bérengère Cournut écrit des romans qui explorent l’absence, la disparition. Après De pierre et d’os, et son étonnant succès (200 000 lecteurs à ce jour), elle réussit une nouvelle fois l’invraisemblable : mêler le chant à la prose pour dire en souriant la douleur, associer le quotidien aux rêves pour réinventer avec force un chemin de vie.

Les Jeux olympiques s'en viennent et ouvriront un temps de célébration pour le sport, au niveau mondiale. Philippe Delerm et le photographe Bruno Mazodier ouvrent une autre page : celle d'un recueil de textes poétiques et de photos spontanées pour rêver le football à hauteur d'enfant.

Les Presses universitaires de Lyon publient ce 11 mars un ouvrage d’Henri Calet, Je ne sais écrire que ma vie. Ce texte avait été préfacé par Joseph Ponthus, mettant en lumière l’admiration qu’il portait à l’œuvre de Calet, autant que les liens entrevus entre son propre travail et celui de l’écrivain. La diffusion de cette préface se fait en hommage des PUL à Joseph Ponthus.

RentreeLitteraire23 - Tiraillée entre deux mondes que sépare le Tibre, Laura a bien du mal à s’affranchir des deux puissantes figures féminines qui ont marqué son enfance et son adolescence : rebelle de pacotille dans le bouillonnement politique et culturel des années 1970 et 1980, elle est insensiblement ramenée à sa double lignée, aristocratique et juive.

HIVER2024 - En cette année 1994, nombreux sont les étudiants à gravir les marches de l’école des Beaux-Arts pour venir écouter, dans son atelier niché sous les combles, le séminaire de Christian Boltanski. François Jonas, le narrateur, boit ses paroles.