Sophie Pailloux

Et vous, oulizévou ? ActuaLitté a posé la question à six autrices, par curiosité : loin des images d'Épinal et des confortables fauteuils du salon, toutes nous répondent sans malice. Parce qu'écrire, c'est avant tout lire. Et qui sait si l'on écrit comme on lit ?

L'Association des Bibliothécaires de France (ABF), groupe Rhône-Alpes, organise une journée d'étude en distanciel, jeudi 29 avril 2021, sur le thème : « No woman no crime : la figure féminine dans la littérature policière ». 

La Bibliothèque Stanislas, à Nancy, accueille l'auteure Sophie Loubière en résidence, entre octobre 2020 et mars 2021. « Sous le regard de Sophie Loubière, la bibliothèque va développer des échanges et des partages autour de la littérature, de la photographie et de la création contemporaine », annonce l'établissement.

L’ADAGP et le salon Multiple Art Days (MAD) s’associent pour la quatrième année autour de la Révélation Livre d’artiste, qui vise à promouvoir et révéler la création actuelle dans cette discipline artistique.

Publication remarquée de cette rentrée littéraire 2018, Ça raconte Sarah, premier roman de Pauline Delabroy-Allard publié par les éditions de Minuit, a été récompensé par le Prix du Style 2018. Créé par le label littéraire Plume et Plomb, le Prix du Style a vocation à récompenser un auteur vivant, d'expression francophone, pour un livre paru dans l'année écoulée.

On n'est jamais aussi bien servi que par soi-même, promet L'autre livre, association des éditeurs indépendants. Et pour dresser une liste de conseils de lecture, autant demander à des éditeurs de parler de leurs lectures, et de leurs titres. L'occasion également de valoriser les ouvrages publiés par la maison. On aboutit à une liste de 122 livres recommandés par les éditeurs de L'Autre livre.

L'Observatoire du livre en Île-de-France, le MOTif, associé à la Commission du film d'Ile-de-France, la SCELF (Société civile des éditeurs de langue française) et le BIEF (Bureau international de l'édition française) vont envoyer des éditeurs franciliens à Cannes. L'objectif est d'accompagner des maisons de la région, pour leur donner, à l'occasion du Festival, « une vitrine internationale, en vue d'une éventuelle adaptation cinématographique ».