The Great Book Robbery, un documentaire paru plus tôt au cours de l'année a pointé le fait que les étagères de la Bibliothèque nationale de Jérusalem recèlent actuellement près de 6000 livres ayant appartenu à des Palestiniens, qui ont fui leurs domiciles au cours des événements de 1948. Des ouvrages en arabe, portant la mention propriété abandonnée, tandis que des documents israéliens se rapportant à la guerre feraient état de 70.000 titres, au total, qui auraient été saisis dans des bibliothèques privées du pays. Le patrimoine culturel comme prise de guerre ?