Laurence avait parlé pendant deux heures ; et la sympathie qu'il m'inspirait me faisait prendre un vif intérêt à ses aventures ; pourtant, je m'avisai qu'il devait être fatigué, et je l'emmenai dîner à mon auberge, où, après avoir repris des forces, il reprit aussi son récit. Nous en sommes restés, dit-il, à mon départ pour l'Italie avec la troupe de Bellamare. Avant de quitter Toulon, j'assistai à une représentation de clôture qui me parut fort étrange...
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