Les atrocités mises à charge de Daniel Bovek lui paraissent d'abord impossibles, invraisemblables, inventées de toutes pièces, puis enfin elles lui deviennent "?familiarisées?" comme quelque chose qui est lié à sa personne à tel point qu'il commence à douter de son innocence. S'il se trouve en détention préventive d'abord à Travnik et ensuite à Sarajevo, si les enquêteurs et les nombreux témoins trouvent que les preuves pour les crimes commis en Bosnie centrale sont "?du béton?", il doit y être pour quelque chose.
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