Calamité... nous sommes mercredi soir, et le Community manager de la rédaction pleure à gros bouillons sur son clavier. Premier réflexe, couper l’électricité à proximité. Point deux : s’approcher sans effrayer l’animal, et lui poser doucement la question, dont on redoute tant la réponse : « Il se passe quoi ? »
Le 11/10/2017 à 18:37 par Victor De Sepausy
Publié le :
11/10/2017 à 18:37
piotr mamnaimie, CC BY 2.0
Ledit CM est passé par plusieurs stades, et avec son mode d’expression à lui, il a pourtant cherché à communiquer son désarroi : trois stades clairement identifiés par toute l’équipe et qui indiquent un sérieux problème en cours.
Le CM quand @facebook est planté... pic.twitter.com/6eemnLgROj
— ActuaLitté (@ActuaLitte) 11 octobre 2017
LE CM quand @facebook est revenu pic.twitter.com/yxySEk1FYp
— ActuaLitté (@ActuaLitte) 11 octobre 2017
Le CM quand @facebook est revenu mais pas complètement.... pic.twitter.com/QrX4iyTJs8
— ActuaLitté (@ActuaLitte) 11 octobre 2017
Or, près d’une heure après son dernier message – on ne lance plus des bouteilles à la mer, à l’heure numérique : on poste des GIF sur Twitter... – toujours rien. Alors, on se prend d’affection pour ce pauvre CM démuni, dont la dépresse fait alors monter en soi une colère sourde, contre les réseaux, leur omniprésence, et combien ils empiètent sur nos libertés.
On lui suggère doucement d’aller sur le compte de notre Titi nationale, pour trouver éventuellement un livre à parcourir... Au moins le temps que Facebook revienne.
Mais notre pauvre CM est effondré, la lecture n’y changera rien. Même les facéties du vendredi qu’Antoine Chereau publie sans précaution ni ménagement ne le tranquillisent.
Qu'y faire ? Attendre, simplement, et le voir inlassablement, compulsivement, méthodiquement appuyer sur les touches CMD+R de son clavier, espérant voir revenir, enfin, la page Facebook d'ActuaLitté. On va le laisser, maintenant, de toute manière, il ne nous entend pas partir, fermer la porte...
CMD+R, CMD+R, CMD+R, CMD+R, CMD+R, CMD+R : rien n'y fait. Il lui reste encore la possibilité d'invoquer Saint Apache, le patron des serveurs... Ensuite ? Quelque chose me dit que derrière cette erreur 500, se cache un petit plaisantin...
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