En pleine saison de grands prix littéraires pour littérature blanche, les auteurs se répartissent en deux catégories : ceux qui sont sur les listes, et ceux qui en sortent. Pour les autres, point de salut — encore que. Comme chaque année, les yeux sont rivés sur le Goncourt, qui entraînera quelques 300 ou 400.000 ventes.

Pour Hubert Ben Kemoun, salué en 2002 par le prix Sorcières pour Terriblement vert ! ou en 2005 avec Rapporteur !, les prix se distinguent en fonction des jurés. « Sans dénigrer le moins du monde les prix remis par des professionnels, les prix qui me sont les plus précieux sont ceux remis par les enfants, par mes lecteurs. »
PRIX NOBEL: Stephen King, un jour peut-être ?
Emmanuel Bourdier, salué à Gradignan avec Étoile filante, les prix ont parfois ouvert des portes plus grandes vers le monde. « On s’adresse tout de même à des enfants. Le prix, il est là : dans l’émotion que je procure à mes lecteurs, d’où qu’ils soient, quelle que soit leur position géographique ou sociale. »
Un prix littéraire, en jeunesse ou ailleurs, cela flatte l’ego. Mais ensuite ?
Retrouver - Les Mots en boîte, le livre et ses secrets de cuisine
Jingle réalisé par Planète Event
Commentaires
Pas de commentaires
Poster un commentaire