L'avantage avec quelqu'un comme Jean-Sébastien Blanck ? il nous installe dans chacun de ses albums, au pied de la cheminée et nous emmène dans ses contes originaux avec une facilité déconcertante.
Sa dernière parution est un petit recueil de trois histoires de son cru (sans blague ? si, si…) : La vigne qui aimait un lierre et autres fables…
La première, conte éponyme, est une ode végétale à l'amour et au temps qui passe. La cité des sots a, comme chaque légende, un message à moitié caché sur notre société au présent et rien que le titre en dit long…
Le dernier Dieu, une histoire sur la disparition des anciens dieux à force de suffisance, d'égocentrisme et de temples dédiés à leurs seules gloires…
La dernière fois, je comparais Jean-Sébastien Blanck à une sorte de Shéhérazade moderne, je pense que l'on peut même aller jusqu'à des comparaisons comme Grimm ou Perrault ! J'en fais trop ? peut-être…
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