
Ensemble depuis quelques mois seulement, leur isolement relatif en amoureux n’est que très peu dérangé tant les visites des propriétaires sont rares.
Jusqu’au jour où l’un d’entre eux débarque au volant d’une Ferrari et au bras d’une fille bien plus jeune que lui, à un point tel qu’il paraît à Jack qu’elle pourrait en être la fille.
Le lendemain de leur arrivée, un appel téléphonique conduit Jack à aller dans l’appartement du couple, non pas pour un problème de chauffage comme il l’a d’abord compris, mais, comme il le découvrira sur place, pour trouver « Monsieur Ferrari » mort sur le balcon des suites d’une glissade sur un entassement de neige gelée qui l’a envoyé s’exploser la tête contre la porte vitrée.
Alors là, je vous arrête tout de suite.
Si vous pensez, comme je l’ai fait, que vous êtes partis pour un bon petit polar « de derrière les fagots » avec Monsieur Ferrari embringué dans des histoires sordides et mené par le bout du nez par une jeune fille facile, merveilleuse actrice, manipulée par des forces cachées que la police finirait par dévoiler au grand jour, alors vous avez tout faux.
Il y a bien des policiers, mais si peu.
Et la mort est avérée ainsi que Thérèse, la fille, l’a racontée.
Non, non ! Rien à voir avec une série noire bien que d’autres décès viendront émailler le récit.

Des obsessions et des angoisses mortelles vont se succéder et broyer menu les divers protagonistes dont les pauvres vies continuent de chercher (mais chercher quoi) à la frange d’un désert qui n’a rein d’un Paradis !
Finiront-elles par s’y trouver ? Rien n’est moins sûr.
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