
Plusieurs centaines de Readers donc seront distribués pour faciliter le travail. On l'utilisera pour lire les manuscrits et documents internes sous leur forme numérique. L'intention est bien évidemment de passer à l'objectif zéro papier, et d'éliminer la profusion de pages imprimées en les remplaçant par du numérique. Et en cas de plantage de la machine, on aura tout gagné...
Hachette, Simon & Schuster et St. Martin’s comptent également parmi les éditeurs qui ont franchi ce pas avec le Reader de Sony, pour la diffusion de documents au sein de l'entreprise. Si le gain paraît simple, le choix du modèle vendu par Sony peut également cacher une vision future, en donnant la part du lion au Japonais dans ce secteur du marché. Un avantage direct sur les concurrents du moment, qui devront envisager de faire évoluer leurs solutions ?
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