À l’occasion de la Japan Expo, le Prix Asie de la Critique ACBD 2019 sera remis le dimanche 7 juillet en public, lors d’une table ronde animée par l’ACBD avec les éditeurs des ouvrages finalistes. L’Association des Critiques et journalistes de Bande Dessinée (ACBD) a établi sa sélection de cinq titres en compétition pour le prix.
Le 11/06/2019 à 14:56 par Heulard Mégane
Publié le :
11/06/2019 à 14:56
Le Prix Asie de la Critique ACBD distingue une œuvre de bande dessinée d’origine asiatique adaptée en français au cours de la saison passée. Les bandes dessinées en provenance du continent asiatique occupent une place toujours plus importante dans la culture contemporaine.
Afin de signaler les qualités parfois remarquables de ces œuvres, l’ACBD remet depuis 2007 le Prix Asie de la Critique décerné chaque année dans le cadre du festival parisien Japan Expo au mois de juillet.
Les cinq titres en compétition cette année sont :
Errance, d’Inio Asano traduit par Thibaud Desbief, Kana.
La Lanterne de Nyx, de Kan Takahama traduit par Yohan Leclerc, Glénat.
Les Mauvaises Herbes, de Keum Suk Gendry-Kim traduit par Loïc Gendry, Delcourt.
Les Montagnes Hallucinées, de Gou Tanabe traduit par Sylvain Chollet, Ki-oon.
Saltiness, de Minoru Furuya traduit par Anaïs Koechlin, Akata.
Le gagnant succédera au titre lauréat 2018, Sous un ciel nouveau, de Fujii et Hirai.
Hors compétition, le Comité de Sélection Asie-ACBD recommande la lecture des 15 séries ou titres suivants :
Aposimz, de Tsutomu Nihei traduit par Yohan Leclerc, Glénat.
Astra – Lost in Space, de Kenta Shinohara traduit par Manon Debienne, nobi nobi!
Au Loin une montagne, de Chongrui Nie traduit par Elia Lange, Steinkis.
Beastars, de Paru Itagaki traduit par Anne-Sophie Thévenon, Ki-oon.
Blue Giant, de Shinichi Ishizuka traduit par Anne-Sophie Thévenon, Glénat.
Eisbahn, de Tsuchika Nikimura traduit par Miyako Slocombe, Le Lézard Noir.
Journal d’une vie tranquille, de Tetsuya Chiba traduit par Satoko Fujimoto, Vega.
Les Liens du sang, de Shûzô Ôshimi traduit par Sébastien Ludmann, Ki-oon.
Magus of the Library, de Mitsu Izumi traduit par Géraldine Oudin, Ki-oon.
Miss Hokusai, d’Hinako Sugiura traduit par Patrick Honnoré, Édictions Picquier.
Origin, de Boichi traduit par Nathalie Lejeune, Pika.
Peleliu, de Kazuyoshi Takeda traduit par Satoko Fujimoto, Vega.
Rohan Kishibe, d’Hirohiko Araki traduit par Satoko Fujimoto, Delcourt/Tonkam.
The Red Rat in Hollywood, de Osamu Yamamoto traduit par Satoko Fujimoto, Vega.
La Vie devant toi, d’Hideki Arai traduit par Aurélien Estager, Akata.
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